Il y a plus de 2000 ans, les Grecs avaient démontré que les nombres premiers sont indivisibles et que tous les autres nombres sont un produit de nombres premiers. Ce qui fait dire à nos mathématiciens qu’ils sont : « les atomes de l’arithmétique ». Ce qu’on cherche depuis lors, c’est l’équation qui permettrait de trouver tous les nombres premiers ; parce que, actuellement, quand on établit leur liste, on ne peut jamais prévoir quand arrivera le suivant.
Les mathématiciens, qui se veulent volontiers poètes et mystiques, nous disent que : « les nombres premiers sont les pierres précieuses enchâssées dans l’immense étendue de l’univers infini des nombres que nous explorons depuis des siècles. 1, 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, 23, 29… sont pour nous, disent-ils, une source d’émerveillement ; comme sont aussi d’ineffables merveilles les nombres premiers jumeaux : 5-7, 11-13, 17-19, 29-31, 41-43, 59-61…
Selon eux, « les nombres premiers existent dans un monde indépendant de notre réalité physique ; ils sont un don de la Nature » (c’est eux qui mettent le grand N à Nature). Et on ne peut que leur donner raison quand ils affirment que : « les nombres sont le seul langage universel entendu dans l’infini du cosmos et ils le resteront toujours quelle que soit la galaxie où on les comptera ».
Mais ces mêmes mathématiciens ne peuvent admettre que la Nature ait ainsi décidé du destin de chaque nombre en laissant agir le hasard et le chaos. Ils sont persuadés : « qu’il existe, indépendamment de l’esprit humain, une réalité mathématique brute et immuable, et qu’au cœur du monde, se trouve l’éternelle liste des nombres premiers qui pourrait, selon certains, conduire à de sublimes divinités ».
Mathématiciens pêcheurs de lunes…
Les mathématiciens, qui se veulent volontiers poètes et mystiques, nous disent que : « les nombres premiers sont les pierres précieuses enchâssées dans l’immense étendue de l’univers infini des nombres que nous explorons depuis des siècles. 1, 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, 23, 29… sont pour nous, disent-ils, une source d’émerveillement ; comme sont aussi d’ineffables merveilles les nombres premiers jumeaux : 5-7, 11-13, 17-19, 29-31, 41-43, 59-61…
Selon eux, « les nombres premiers existent dans un monde indépendant de notre réalité physique ; ils sont un don de la Nature » (c’est eux qui mettent le grand N à Nature). Et on ne peut que leur donner raison quand ils affirment que : « les nombres sont le seul langage universel entendu dans l’infini du cosmos et ils le resteront toujours quelle que soit la galaxie où on les comptera ».
Mais ces mêmes mathématiciens ne peuvent admettre que la Nature ait ainsi décidé du destin de chaque nombre en laissant agir le hasard et le chaos. Ils sont persuadés : « qu’il existe, indépendamment de l’esprit humain, une réalité mathématique brute et immuable, et qu’au cœur du monde, se trouve l’éternelle liste des nombres premiers qui pourrait, selon certains, conduire à de sublimes divinités ».
Mathématiciens pêcheurs de lunes…
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