@SJB@Rad
Alors, une fois le crime accompli, à quoi bon juger les criminels...,?
...éviter les tombereaux d'hypocrisies (...) les cérémonies de "repentance" ... de "pardon",
Le crime ne peut pas rester impuni. Mais je pense que la justice d’après la guerre était partiale. Les vainqueurs jugeaient les vaincus. Ça ressemblait souvent à de la vengeance.
Par contre, je suis de ton avis, ces repentances et demandes de pardon sont rarement sincères et ne riment à rien.
Je trouve qu’elles sont d’autant plus stupides quand c’est nous aujourd’hui, qui demandons pardon pour des crimes qui ont été commis par nos ancêtres : croisades, colonies, esclavagismes… etc. Nous, on n’y est pour rien et puis, il faudrait d’abord savoir si nos ancêtres seraient d’accord…
Brasillach était un naïf ... il aurait pu comme beaucoup de collabos en 44 s'enfuir en Allemagne. Lui est resté tranquillement à Paris et s'est laissé prendre sans résistance ne se sentant coupable de rien d'autant qu'il avait déjà quelque peu pris ses distances avec "Je suis partout" dès 1943.
De plus, Brasillach, contrairement à beaucoup d'autres, était officier en 1939-1940, capturé en juin 40 il a passé quelques mois dans un camps de prisonniers en Allemagne dont il est libéré en 1941.
Si il avait été jugé après la guerre, il s'en serait sorti sans grand dégâts, même Pétain fut grâcié !!!
De plus, Brasillach, contrairement à beaucoup d'autres, était officier en 1939-1940, capturé en juin 40 il a passé quelques mois dans un camps de prisonniers en Allemagne dont il est libéré en 1941.
Si il avait été jugé après la guerre, il s'en serait sorti sans grand dégâts, même Pétain fut grâcié !!!
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