Et Bluewitch doit être ravie...et soulagée !
Mais tu as eu chaud, hein ! Blue.
;-))
Ch 15.
Stupeur !
Ce type est détestable et pourtant on ne peut s’empêcher d’avoir de la sympathie pour lui.
Bizarre !
Impatient de voir ce qui va se passer…
Stupeur !
Ce type est détestable et pourtant on ne peut s’empêcher d’avoir de la sympathie pour lui.
Bizarre !
Impatient de voir ce qui va se passer…
Fin du chapitre 12: c'est comme si son acte l'avait fait tomber dans la mine, dans des couloirs sans ciel de la mine.
Ch 4, 5, 6.
Par contre, au ch 5, la maladie et la mort de Cécile, je trouve que c’est exagéré. Il y a un côté morbide, comme une délectation à raconter une mort qui n’en finit pas, avec la crémation, les cérémoniales, la chanson « Jojo »…
…
d'accord avec toi, la mort de sa femme, il en fait trop... mais il y a des gens comme çà, qui aiment le spectacle de la mort qui n'en finit pas.. Il doit y avoir une certaine jouissance à le contempler.. un sentiment de toute puissance ? Une âme de bon samaritain qui se découvre ? Je connais qqun qui ne se complaît qu'avec des conjoints en souffrance..
Allez, je poursuis mes chapitres..
Tout le monde est convaincu que l'écriture est sublime.. perso, je trouve que son union avec sa famille, sa femme est très fusionnelle comme si la vie ne se résumait qu'à cela.."après la mort de ma femme, je n'avais plus que moi..."
Je trouve que la mort de sa femme marque un tournant dans la vie de Michel. "Libre" de retourner, retourner dans le passé, comme si, seule son épouse était capable de le maintenir en vie.
Comme Brel, sa femme semble être décédée d'un cancer, relativement jeune, Brel, lui avait 49 ans et le héros du livre est à 4 ans de sa retraite.. J'ai calculé, il en a 56.. J'aime bien savoir à quel âge on fait mourir les gens...
J'ai fait moi aussi ce calcul; surprise quand j'ai lu que son épouse, enseignante, n'avait profité de sa retraite que pendant quelques années.
effectivement, j'ai fait le calcul également...son épouse institutrice devait avoir 55 ans lors de son décès, car à cette époque, on était retraité dans l'enseignement primaire à 50 ans, du moins en Belgique..
Ch 15.Chapitre intitulé à juste titre (...) : "La sidération"
Stupeur !
Ce type est détestable et pourtant on ne peut s’empêcher d’avoir de la sympathie pour lui.
Bizarre !
Impatient de voir ce qui va se passer…
Chapitre qui remet en cause les premiers chapitres
Et qui donne un sens plus fort au titre du livre...
J'ai terminé la lecture
Afin de nous expliquer l'importance de l'accident de la mine (42 morts) et que cela n'est pas une fatalité mais bien la conséquence d'un manque de sécurité pour améliorer la rentabilité d'une entreprise, l'auteur crée une fiction : le n°43 .
L'auteur nous tient en haleine tout le livre avec Michel. En tant que lectrice je suis passée par toutes sortes de sentiments vis à vis de Michel et même de la haine pour son père.
Mais que de rebondissements!
Bravo à l'auteur!
Un des derniers meilleurs livres lus...
Merci aussi à tous et toutes pour cette lecture commune.
Afin de nous expliquer l'importance de l'accident de la mine (42 morts) et que cela n'est pas une fatalité mais bien la conséquence d'un manque de sécurité pour améliorer la rentabilité d'une entreprise, l'auteur crée une fiction : le n°43 .
L'auteur nous tient en haleine tout le livre avec Michel. En tant que lectrice je suis passée par toutes sortes de sentiments vis à vis de Michel et même de la haine pour son père.
Mais que de rebondissements!
Bravo à l'auteur!
Un des derniers meilleurs livres lus...
Merci aussi à tous et toutes pour cette lecture commune.
J'en suis au chapitre 12. Si il n'y avait pas eu le foot (et la superbe victoire de la Juve !) j'aurais fini le livre car c'est un récit très prenant. Le personnage devient nettement antipathique, j'espère qu'il va retomber sur ses pattes car je m'y étais attaché.
Par rapport à l'autre livre de cet auteur que j'ai lu, Retour à KillyBegs, on a ici aussi une histoire de traitre (le porion) et de vengeance, mais ce qui m'ennuie ici c'est que l'histoire est assez improbable: le père qui écrit un mot à son fils pour demander vengeance, la mère qui lui dit de ne pas faire d'enfant, le type qui garde son projet de vengeance en tete pendant 20 ans (et pourquoi la vengeance se cristallise sur un homme en particulier ?).
Mais ceci dit je trouve que l'auteur a une plume très agréable et que l'histoire est prenante. Ca me fait penser à du Armel Job, le genre d'auteur qu'on lit pour se détendre quoi.
Par rapport à l'autre livre de cet auteur que j'ai lu, Retour à KillyBegs, on a ici aussi une histoire de traitre (le porion) et de vengeance, mais ce qui m'ennuie ici c'est que l'histoire est assez improbable: le père qui écrit un mot à son fils pour demander vengeance, la mère qui lui dit de ne pas faire d'enfant, le type qui garde son projet de vengeance en tete pendant 20 ans (et pourquoi la vengeance se cristallise sur un homme en particulier ?).
Mais ceci dit je trouve que l'auteur a une plume très agréable et que l'histoire est prenante. Ca me fait penser à du Armel Job, le genre d'auteur qu'on lit pour se détendre quoi.
Chapitres 12 - 13- 14
Chalandon nous emmène vraiment là où on ne s'attendait pas !
Vengeance effectuée...mort, pas mort, mutisme puis confession...
Nouveau personnage, bien sûr, puisque porté toute sa vie par cette vengeance, plus rien pour le faire tenir, pour lui donner envie de continuer.
Difficile à suivre le Michel, et à comprendre aussi.
On a juste un point commun, nous sommes nés la même année :-)
Je vais essayer de ne pas terminer le livre ce soir pour profiter plus longtemps du plaisir d'une lecture commune...mais c'est pas gagné !
Chalandon nous emmène vraiment là où on ne s'attendait pas !
Vengeance effectuée...mort, pas mort, mutisme puis confession...
Nouveau personnage, bien sûr, puisque porté toute sa vie par cette vengeance, plus rien pour le faire tenir, pour lui donner envie de continuer.
Difficile à suivre le Michel, et à comprendre aussi.
On a juste un point commun, nous sommes nés la même année :-)
Je vais essayer de ne pas terminer le livre ce soir pour profiter plus longtemps du plaisir d'une lecture commune...mais c'est pas gagné !
Chapitres 10 & 11
Ca se corse, Michel, un brin vélléitaire, tourne autour du pot et finit par passer à l'action. Comme un acte désespéré et qui n'a plus de sens après tant d'années mais qu'il doit réaliser parce que ... parce que ça fait des années qu'il avait formaté cet acte et que ... Qui bien sûr ne se déroule pas comme imaginé ...
Le récit a changé de vitesse. Le temps se couvre !
Ca se corse, Michel, un brin vélléitaire, tourne autour du pot et finit par passer à l'action. Comme un acte désespéré et qui n'a plus de sens après tant d'années mais qu'il doit réaliser parce que ... parce que ça fait des années qu'il avait formaté cet acte et que ... Qui bien sûr ne se déroule pas comme imaginé ...
Le récit a changé de vitesse. Le temps se couvre !
Chapitres 15 - 4 - 16 - 17 - 18
L'art de trouver le mot exact en titre de chapitre ! "La sidération" ! Aude Boulfroy n'est pas la seule à l'être.
Je me suis dit que j'avais dû manquer quelque chose (comme dans les romans policiers où des indices comme des petits cailloux sont laissés sur le chemin...); mais on n'est pas dans un roman policier et même en relisant le chapitre 4 "La catastrophe", je n'ai pas trouvé ce qui aurait pu me mettre la puce à l'oreille.
Ou alors, peut-être, le départ de Sylwia ?
Y-a-t-il un(e) lecteur(trice) qui se doutait de ce qui allait suivre ?
Il y a vraiment plusieurs livres en un.
Complètement !
On reproche parfois aux auteurs des héros qui manquent de nuances; ce n'est vraiment pas le cas ici. Même certains psys ont du mal à le cerner ;-)
Je vous laisse, j'ai trois chapitres à finir !
L'art de trouver le mot exact en titre de chapitre ! "La sidération" ! Aude Boulfroy n'est pas la seule à l'être.
Je me suis dit que j'avais dû manquer quelque chose (comme dans les romans policiers où des indices comme des petits cailloux sont laissés sur le chemin...); mais on n'est pas dans un roman policier et même en relisant le chapitre 4 "La catastrophe", je n'ai pas trouvé ce qui aurait pu me mettre la puce à l'oreille.
Ou alors, peut-être, le départ de Sylwia ?
Y-a-t-il un(e) lecteur(trice) qui se doutait de ce qui allait suivre ?
Il y a vraiment plusieurs livres en un.
Ch 15
Chapitre intitulé à juste titre (...) : "La sidération"
Chapitre qui remet en cause les premiers chapitres
Et qui donne un sens plus fort au titre du livre...
Complètement !
L'auteur nous tient en haleine tout le livre avec Michel. En tant que lectrice je suis passée par toutes sortes de sentiments vis à vis de Michel et même de la haine pour son père.
Mais que de rebondissements!
On reproche parfois aux auteurs des héros qui manquent de nuances; ce n'est vraiment pas le cas ici. Même certains psys ont du mal à le cerner ;-)
Je vous laisse, j'ai trois chapitres à finir !
Chapitres 12 à 16
A vrai dire difficile de freiner la lecture quand on aborde ces chapitres, l'histoire prend un tel virage et une telle dimension différente que ... En même temps, s'agissant d'une lecture commune il faut bien freiner les choses. Sinon c'est clair que ce roman serait terminé de ma part vue sa facilité à absorber les pages et l'intérêt qu'il éveille ...
Nous sommes donc rentrés en zone grise, de grande turbulence, après le passage à l'acte et la remise entre les mains de la police/justice.
Dialogues (ou plutôt attitudes) surréalistes vis à vis de son avocate, en tête à tête, puis non dialogues lors de la garde à vue. On ne comprend pas bien dans un premier temps la démarche de Michel et, Chapitre 15 "La sidération" vaste remise en question de tout ce qu'on croyait savoir, ce qui bouscule le lecteur dans ses certitudes. Un peu comme si on se rendait compte que l'image qu'on observait depuis un certain temps était en fait le reflet dans un miroir et que tout était en réalité à l'envers.
Mais avant ce chapitre 15 on a eu droit, enfin, à la version de Michel, racontée à son avocate puis à la juge d'instruction. Droit aussi à des pages sur l'ambiance prison, qui m'ont paru très justes.
Mais ce chapitre 15 donc, sur lequel je ne m'étendrai pas par égard à celles et ceux qui n'en sont pas encore là (bien qu'à mon avis, quand on rentre dans la "zone grise" la lecture est difficile à lâcher.
Chapitre 16, un peu plus de détails ... On n'est pas au bout de nos surprises !
Et pour jouer encore un peu les pinailleurs, cette phrase lue p169 de mon édition (Grasset), chapitre 12, m'a fait sourciller : (il parle de son avocate, Aude Boulfroy)
"de pointer la langue en coin de lèvres pour masquer sa gêne"
Ca m'a fait tiquer. D'abord parce que ça ne représente rien pour moi, je ne visualise pas et je ne comprends pas trop cette attitude qui ne m'est pas naturelle, et puis parce que j'étais certain d'avoir tiqué avant, sur la même phrase. Je l'ai retrouvée, p 63, début du chapitre 5, parlant de Cécile, sa femme :
"de pointer la langue en coin de lèvres pour masquer sa gêne"
Exactement la même formulation, qui ne correspond toujours pas à quelque chose d'existant pour moi.
En même temps, puisqu'on comprend à plusieurs reprises qu'il retrouve sa femme, jeune, dans Aude Boulfroy ce n'est pas totalement bizarre. Ce qui me fait ressentir la bizarreté de la chose c'est le fait que ce qu'il décrit ne correspond à rien pour moi.
(c'était ma séquence "pinaillage") !
A vrai dire difficile de freiner la lecture quand on aborde ces chapitres, l'histoire prend un tel virage et une telle dimension différente que ... En même temps, s'agissant d'une lecture commune il faut bien freiner les choses. Sinon c'est clair que ce roman serait terminé de ma part vue sa facilité à absorber les pages et l'intérêt qu'il éveille ...
Nous sommes donc rentrés en zone grise, de grande turbulence, après le passage à l'acte et la remise entre les mains de la police/justice.
Dialogues (ou plutôt attitudes) surréalistes vis à vis de son avocate, en tête à tête, puis non dialogues lors de la garde à vue. On ne comprend pas bien dans un premier temps la démarche de Michel et, Chapitre 15 "La sidération" vaste remise en question de tout ce qu'on croyait savoir, ce qui bouscule le lecteur dans ses certitudes. Un peu comme si on se rendait compte que l'image qu'on observait depuis un certain temps était en fait le reflet dans un miroir et que tout était en réalité à l'envers.
Mais avant ce chapitre 15 on a eu droit, enfin, à la version de Michel, racontée à son avocate puis à la juge d'instruction. Droit aussi à des pages sur l'ambiance prison, qui m'ont paru très justes.
Mais ce chapitre 15 donc, sur lequel je ne m'étendrai pas par égard à celles et ceux qui n'en sont pas encore là (bien qu'à mon avis, quand on rentre dans la "zone grise" la lecture est difficile à lâcher.
Chapitre 16, un peu plus de détails ... On n'est pas au bout de nos surprises !
Et pour jouer encore un peu les pinailleurs, cette phrase lue p169 de mon édition (Grasset), chapitre 12, m'a fait sourciller : (il parle de son avocate, Aude Boulfroy)
"de pointer la langue en coin de lèvres pour masquer sa gêne"
Ca m'a fait tiquer. D'abord parce que ça ne représente rien pour moi, je ne visualise pas et je ne comprends pas trop cette attitude qui ne m'est pas naturelle, et puis parce que j'étais certain d'avoir tiqué avant, sur la même phrase. Je l'ai retrouvée, p 63, début du chapitre 5, parlant de Cécile, sa femme :
"de pointer la langue en coin de lèvres pour masquer sa gêne"
Exactement la même formulation, qui ne correspond toujours pas à quelque chose d'existant pour moi.
En même temps, puisqu'on comprend à plusieurs reprises qu'il retrouve sa femme, jeune, dans Aude Boulfroy ce n'est pas totalement bizarre. Ce qui me fait ressentir la bizarreté de la chose c'est le fait que ce qu'il décrit ne correspond à rien pour moi.
(c'était ma séquence "pinaillage") !
J’avais beaucoup d’estime pour Michel, maintenant je le plains amèrement et je ne l’aime plus du tout. En plus de tout le reste, il ne pense qu’à lui, il emmène sa malheureuse femme sur les lieux de son enfance et lui fait revivre son passé comme si elle n’avait pas eu, elle aussi, une enfance, un passé.
Mais j’admire la façon dont l’auteur en a fait un vrai personnage, dans toute son épaisseur humaine, un personnage réellement tragique, incapable d’assumer son passé dramatique, rongé par le remord et le besoin de justice, jusqu’à une espèce de folie destructrice...
J’ai terminé le livre malgré les matches de foot avec les incroyables prouesses de la Juve et du Barça… C’est dire si ce livre est prenant !
(Messi est mon Steve McQueen, je vais mettre son poster au-dessus de mon lit). ;-))
J’aime beaucoup son avocate – l’avocate de Michel, pas de Messi – et alors, la plaidoirie de l’avocat général, c’est un morceau d’anthologie ! Je suis content, il a remis les pendules à l’heure. C’est lui qui a raison. L’avocate de Michel a fait ce qu’elle pouvait mais elle a été pitoyable.
Sans rien révélé de l’histoire aux traînards, dans la postface, l’auteur a presque tout faut.
Mais j’admire la façon dont l’auteur en a fait un vrai personnage, dans toute son épaisseur humaine, un personnage réellement tragique, incapable d’assumer son passé dramatique, rongé par le remord et le besoin de justice, jusqu’à une espèce de folie destructrice...
J’ai terminé le livre malgré les matches de foot avec les incroyables prouesses de la Juve et du Barça… C’est dire si ce livre est prenant !
(Messi est mon Steve McQueen, je vais mettre son poster au-dessus de mon lit). ;-))
J’aime beaucoup son avocate – l’avocate de Michel, pas de Messi – et alors, la plaidoirie de l’avocat général, c’est un morceau d’anthologie ! Je suis content, il a remis les pendules à l’heure. C’est lui qui a raison. L’avocate de Michel a fait ce qu’elle pouvait mais elle a été pitoyable.
Sans rien révélé de l’histoire aux traînards, dans la postface, l’auteur a presque tout faut.
Ah flute, dans mon édition e-book je n'ai pas de postface. J'ai fini, je reviendrai dire mon avis mais la tournure du livre me laisse dubitatif. Je trouve que la lettre du père est improbable et finalement je n'ai pas tout à fait cru au personnage de Michel. Mais une bien belle lecture malgré tout et les plaidoiries sont biens tournées avec une préférence pour celle de l'avocate.
Terminé le livre aussi.
Un peu déçue par les trois derniers chapitres après les chocs des précédents. Le dernier me laisse particulièrement perplexe.
Qui est vraiment Michel ?
Effectivement, comme SJB l'a dit, un homme qui suscite la compassion puis l'interrogation et l'incompréhension ; même si je ne vais pas jusqu'à la haine.
Une lecture commune réussie et efficace, en une semaine, la majorité des participants a lu le livre.
Merci à Bluewitch d'avoir proposé ce titre que nous avons, à priori, eu tous, du plaisir à découvrir.
Je ne saurais que conseiller la lecture à ceux qui n'ont pas pu se joindre à nous.
Et merci à tous les participants,
rendez-vous à la prochaine lecture !
Un peu déçue par les trois derniers chapitres après les chocs des précédents. Le dernier me laisse particulièrement perplexe.
Qui est vraiment Michel ?
Effectivement, comme SJB l'a dit, un homme qui suscite la compassion puis l'interrogation et l'incompréhension ; même si je ne vais pas jusqu'à la haine.
Une lecture commune réussie et efficace, en une semaine, la majorité des participants a lu le livre.
Merci à Bluewitch d'avoir proposé ce titre que nous avons, à priori, eu tous, du plaisir à découvrir.
Je ne saurais que conseiller la lecture à ceux qui n'ont pas pu se joindre à nous.
Et merci à tous les participants,
rendez-vous à la prochaine lecture !
Ah flute, dans mon édition e-book je n'ai pas de postface.Dans la postface, l’auteur raconte qu’il a assisté à la commémoration du drame le 27 décembre 2017 à Liévin.
On lui a demandé de lire un passage de son livre et il a lu, dit-il, le texte du dernier chapitre où Michel est en prison et se souvient. C’est sans doute le passage qui commence par : « j’ouvre les bras face à l’horizon gris... »
Où je ne suis pas d’accord, c’est qu’il parle de « la mine qui les a assassinés ».
L’assassin serait la mine, sous-entendu ceux qui l’ont fait fonctionner, les dirigeants. Accusation odieuse !
C’est comme si on disait à propos d’un type qui se tue en Porsche que le fabricant des Porsche et un assassin.
Je n’ai pas aimé cet aspect du livre où il oppose les mineurs et les responsables des charbonnages. En tout cas, en Belgique, cette opposition n’a jamais existé. Les charbonnages belges étaient des modèles de « paternalisme » avec tout ce que ça suppose de solidarité entre personnel ouvrier et direction.
Oui, merci Bluewitch, c’était un bon choix, tu l’a échappé belle. Et merci Marvic, c’était une belle organisation.
Une lecture commune réussie et efficace, ...
Merci à Bluewitch d'avoir proposé ce titre
Mais, patience, tout le monde n’a pas encore dit son dernier mot...
Je n’ai pas aimé cet aspect du livre où il oppose les mineurs et les responsables des charbonnages. En tout cas, en Belgique, cette opposition n’a jamais existé. Les charbonnages belges étaient des modèles de « paternalisme » avec tout ce que ça suppose de solidarité entre personnel ouvrier et direction.
Incorrigible ! Toujours les bons patrons, jamais responsables de rien ! Les mineurs meurent dans la mine mais c'est la faute à pas de chance !
Il y a un excellent film "dix minutes de silence" qui évoque ce type d'évènement !
Une minute de silence pardon
http://allocine.fr/film/…
http://allocine.fr/film/…
c'est parti...j'ai lu également les 2 premiers chapitres,... je me suis demandé où j'avais raté un détail, je suis revenue en arrière et je 'ai rien trouvé.. où et quand donc son frère est il mort ? dans la mine ? en empruntant la moto ? Là, il y a comme un vide...
C'est incroyable.. je suis fière de moi... car en lisant le chapitre 15 "la sidération" , j'avais bien deviné, dès le chapitre 2 qu'il y avait un hic dans la mort de son frère..donc pour moi, ce n'est pas un rebondissement..:-)
Il y a aussi de belles trouvailles : (chapitre 10. Pépé Bowette)
"les larmes du salaud coulaient sur mes joues.
je ne pleurais pas.
Il pleuvait"
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