Le livre comprend beaucoup de petits chapitres , peut-être pourrions-nous convenir de lire un nombre de chapitres et dès que tous l'ont lu on en discute ?
Pourquoi pas?
Reste à se mettre d'accord sur le nombre de chapitres...
10 peut-être?
10 peut-être?
Oui ça serait pas mal car ils sont courts
Vu que le livre fait environ 380 pages et qu'il y a une cinquantaine de chapitres, cela représente à peu près 5 étapes et environ 76 pages par étape. Pourquoi pas ...Chacun peut s'obliger à faire part de son sentiment à chaque étape tout en poursuivant à son rythme et n'est pas obligé d'aller voir les commentaires de ceux qui le devancent afin de ne pas être influencé. Au moins, on parlerait de la même chose.
Banco sur la méthode de division de la lecture (plus exactement des réactions)
Un peu de clémence, s’il te plaît, Lesie, au café du Commerce on parlera foot et pas de Lonesome Dove, tu comprends ?
Non absolument pas d'accord… Lonesome Dove est génial !!! Tu le ferais passer après le foot ? Au secours :)))
;-)))
Non absolument pas d'accord… Lonesome Dove est génial !!! Tu le ferais passer après le foot ? Au secours :)))
Un peu de clémence, s’il te plaît, Lesie, au café du Commerce on parlera foot et pas de Lonesome Dove, tu comprends ?
;-)))
Bon d'accord, mais du coup vous me verrez jamais au café du Commerce… car moi et le foot :)))
Sinon il me reste encore 80 pages à finir et après….
Vu que le livre fait environ 380 pages et qu'il y a une cinquantaine de chapitres, cela représente à peu près 5 étapes et environ 76 pages par étape. Pourquoi pas ...Chacun peut s'obliger à faire part de son sentiment à chaque étape tout en poursuivant à son rythme et n'est pas obligé d'aller voir les commentaires de ceux qui le devancent afin de ne pas être influencé. Au moins, on parlerait de la même chose.
Oui mais il faudra annoncer à quel niveau on est de la lecture avant de faire un commentaire. Ne pourrait-on pas faire un point apres les 10 chapitres ?
Je ne dis rien d'autre Piero: faire un point à l'issue de chaque étape soit de 10 chapitres en 10 chapitres. Du coup peu importe de faire savoir où on est arrivé plus loin si c'est le cas.
Et bien ça y est c'est le moment de commencer à lire!...
Page 67 édition Folio, 10 chapitres lus.
Impression mitigée.
Je trouve que les descriptions sont inutilement très longues. Elles ne servent pas le récit.
On ne « voit » pas les décors, on n’est pas « dedans ».
Les personnages, jusqu’à présent, ne sont pas très bien définis, malgré des descriptions un peu tatillonnes et volontiers répétitives. Combien de fois nous a-t-on dit que le vieux monsieur a des sourcils blancs, des moustaches comme des blocs de neige, la tête inclinée sur l’épaule gauche et un œil mis-clos…
A partir du 8ème chapitre, l’auteur a l’air de vouloir faire passer ses idées sur Darwin, Flavius Josèphe, voire la rupture entre Ben Gourion et Abravanel...
Espérons qu’on va entrer dans quelque chose ! Mais jusqu’à présent, je reste sur ma faim.
Impression mitigée.
Je trouve que les descriptions sont inutilement très longues. Elles ne servent pas le récit.
On ne « voit » pas les décors, on n’est pas « dedans ».
Les personnages, jusqu’à présent, ne sont pas très bien définis, malgré des descriptions un peu tatillonnes et volontiers répétitives. Combien de fois nous a-t-on dit que le vieux monsieur a des sourcils blancs, des moustaches comme des blocs de neige, la tête inclinée sur l’épaule gauche et un œil mis-clos…
A partir du 8ème chapitre, l’auteur a l’air de vouloir faire passer ses idées sur Darwin, Flavius Josèphe, voire la rupture entre Ben Gourion et Abravanel...
Espérons qu’on va entrer dans quelque chose ! Mais jusqu’à présent, je reste sur ma faim.
Je suis assez d'accord avec toi, SJB...
Le personnage principal, Shmuel Asch, ma parait particulièrement ?repoussant? (je n'arrive pas à trouver le terme exact). Sans même parler de sa vision des femmes (Ch2 p19 ed Folio, lors de la scission du Cercle du renouveau socialiste "Les deux seules femmes du groupe s'étaient jointes aux dissidents et, sans elles, l'entreprise perdait tout intérêt")
J'ai aussi trouvé incohérent son comportement: au chapitre 1, il est décrit comme aimant pérorer et n'écoutant pas les autres. Ce qui n'a pas l'air de le gêner pour sa fonction "homme de compagnie".
Le personnage principal, Shmuel Asch, ma parait particulièrement ?repoussant? (je n'arrive pas à trouver le terme exact). Sans même parler de sa vision des femmes (Ch2 p19 ed Folio, lors de la scission du Cercle du renouveau socialiste "Les deux seules femmes du groupe s'étaient jointes aux dissidents et, sans elles, l'entreprise perdait tout intérêt")
J'ai aussi trouvé incohérent son comportement: au chapitre 1, il est décrit comme aimant pérorer et n'écoutant pas les autres. Ce qui n'a pas l'air de le gêner pour sa fonction "homme de compagnie".
Je trouve que cette première partie de 10 chapitres correspond à la mise en place des personnages avec leur personnalité et la part de mystère qui alerte la curiosité du lecteur. Le fait que l'action se passe à Jérusalem et qu'il y est question de Jésus, de Judas ,de la naissance de l'Etat d'Israël me semblent tout de même de nature à titiller notre curiosité de lecteur!
Il est vrai que le personnage de Shmuel Asch, n'est pas sympathique , compte tenu de son physique décrit par des traits ou caractéristiques négatives. Son hypersensibilité, son manque de volonté, le fait qu'il n'a pu garder sa fiancée,etc...
Par contre , le personnage féminin, Atalia, devrait jouer un rôle important dans cette histoire ainsi que son père Shealthiel Aravanel, compagnon de Ben Gourion, mais écart par lui pour "traîtrise".
Shmuel doit converser ou échouter Gershom Wald chaque jour . Il semble tout savoir sur les évènements impliquant le "traître" Aravanel, la guerre d'indépendance, Ben Gourion, etc...
Les parallèles entre les les figures controversées de personnages comme Jésus et Judas, certains héros de la naissance de l'Etat d'Israël et leur statut dans nos mémoires posent des questions intéressantes.
J'ai donc, quant à moi, envie de savoir comment Amos Oz va faire évoluer ses héros, et peut être nous emmener à participer à leurs tribulations .
Moi, je crois et j'espère qu'il nous réserve des surprises!!
Il est vrai que le personnage de Shmuel Asch, n'est pas sympathique , compte tenu de son physique décrit par des traits ou caractéristiques négatives. Son hypersensibilité, son manque de volonté, le fait qu'il n'a pu garder sa fiancée,etc...
Par contre , le personnage féminin, Atalia, devrait jouer un rôle important dans cette histoire ainsi que son père Shealthiel Aravanel, compagnon de Ben Gourion, mais écart par lui pour "traîtrise".
Shmuel doit converser ou échouter Gershom Wald chaque jour . Il semble tout savoir sur les évènements impliquant le "traître" Aravanel, la guerre d'indépendance, Ben Gourion, etc...
Les parallèles entre les les figures controversées de personnages comme Jésus et Judas, certains héros de la naissance de l'Etat d'Israël et leur statut dans nos mémoires posent des questions intéressantes.
J'ai donc, quant à moi, envie de savoir comment Amos Oz va faire évoluer ses héros, et peut être nous emmener à participer à leurs tribulations .
Moi, je crois et j'espère qu'il nous réserve des surprises!!
Il me semble que vous oubliez l'humour dans ces portraits, l'ironie aussi, surtout dans celui de Shmuel. On a l'impression d'un gros nounours qui se cogne un peu à tout et qui a bien du mal à se trouver. En 10 petits chapitres on sait déjà où ont est dans cette Jerusalem (celle des années 50!) bien délimitée avec ces quartiers qui l'entourent. Moi j'adore les descriptions qui permettent de situer les personnages déjà en profondeur. Le portrait de Wald est saisissant. On voit aussi à quels personnages, hors normes, Shmuel va se confronter . Celui de Wald qui , en une simple conversation téléphonique plante le décor concernant les reflexions et contradictions de cet endroit qu'est Jerusalem et Israel à cette époque trés proche de sa creation.Il évoque déjà la question de la persécution, de la victimisation, d'une façon provocante...
Concernant le comportement de Shmuel il est clair que son entrée dans cet antre qu'est la maison de Wald et de Abranavanel (dont on devine l'importance) va le transformer , il pérorait et n'écoutait pas (il papillonnait en fait superficiellement) et déjà il commence à écouter grace à quelqu'un d'extrêmement interessant dans son extravagance.
Et puis on commence à connaître son mémoire avec la recherche sur l'histoire du juif Jesus , ce que personnellement je trouve trés interessant.
Concernant le comportement de Shmuel il est clair que son entrée dans cet antre qu'est la maison de Wald et de Abranavanel (dont on devine l'importance) va le transformer , il pérorait et n'écoutait pas (il papillonnait en fait superficiellement) et déjà il commence à écouter grace à quelqu'un d'extrêmement interessant dans son extravagance.
Et puis on commence à connaître son mémoire avec la recherche sur l'histoire du juif Jesus , ce que personnellement je trouve trés interessant.
Voilà voilà… le décor est planté et je suis plutôt de l'avis de Pieronnelle pour la description des personnages, ils sont tous très ou trop quelque chose. On dirait des caricatures.
Rien que le passage où est décrit la façon de marcher de Shmuel (page 15 éditions Gallimard) est improbable et m'a beaucoup amusée.
Attention, ceci ne veux pas dire que je le trouve sympathique, il est très laid, pleurnichard, apparemment pas très courageux…
Quant à la suite, j'attends un peu l'avancée dans le livre, pour donner mes impressions le temps que ça se mette un peu plus en place.
Rien que le passage où est décrit la façon de marcher de Shmuel (page 15 éditions Gallimard) est improbable et m'a beaucoup amusée.
Attention, ceci ne veux pas dire que je le trouve sympathique, il est très laid, pleurnichard, apparemment pas très courageux…
Quant à la suite, j'attends un peu l'avancée dans le livre, pour donner mes impressions le temps que ça se mette un peu plus en place.
Pas vraiment séduite pour le moment:
un incipit un peu trop banal, un personnage central peu sympathique et attirant en particulier par certains traits de caractère (centré sur lui-même), une prose descriptive trop répétitive, des images parfois un peu tirées par les cheveux, une volonté d'humour qui pour moi est tombée un peu à plat...bref, sur le plan littéraire, j'ai le sentiment que je resterai sur ma faim.
On sent bien que l'intérêt sera ailleurs: historique, théologique, et qu'en dehors de cela (qui m'intéresse) le reste risque de n'être qu'un enrobage destiné à faire partager certains questionnements ou thèses à un plus large public que ne l'aurait fait un essai. J'ai toujours un peu de mal avec ce type de démarche.
Sur ces questions, j'avoue que pour le moment, j'ai beaucoup de mal à saisir le positionnement du vieillard à travers ses propos qui m'apparaissent encore flous et contradictoires.
un incipit un peu trop banal, un personnage central peu sympathique et attirant en particulier par certains traits de caractère (centré sur lui-même), une prose descriptive trop répétitive, des images parfois un peu tirées par les cheveux, une volonté d'humour qui pour moi est tombée un peu à plat...bref, sur le plan littéraire, j'ai le sentiment que je resterai sur ma faim.
On sent bien que l'intérêt sera ailleurs: historique, théologique, et qu'en dehors de cela (qui m'intéresse) le reste risque de n'être qu'un enrobage destiné à faire partager certains questionnements ou thèses à un plus large public que ne l'aurait fait un essai. J'ai toujours un peu de mal avec ce type de démarche.
Sur ces questions, j'avoue que pour le moment, j'ai beaucoup de mal à saisir le positionnement du vieillard à travers ses propos qui m'apparaissent encore flous et contradictoires.
Ce n'est pas parce que le livre a un intérêt historique et théologique qu'il doit être "enrobé" Myrco. Il est clair que tu ne trouveras pas le côté littéraire que tu espères. Cela ne veut pas dire qu'il n'existe pas mais lié intrinsèquement au thème. Si on ne s'interesse pas à ce thème je crains la déception.
Je ne sais pas pourquoi vous voulez absolument un personnage beau et sympathique ! Et est-il donc si laid ce garçon qui se cache sous une tignasse et une barbe ? Il est maladroit, un peu ridicule, mal dans sa peau et insatisfait malgré son papillonnage pour donner le change. Moi je le trouve plutôt touchant...
Je ne suis pas d'accord avec Ludmilla concernant la femme. Atalia est la maîtresse, le chef d'orchestre, elle règne sur ce monde d'hommes. Il y a un véritable ode à la femme.
Compte tenu du titre , du rêve de Shmuel et de l'évocation de Abravanel , le thème principal est celui du "traitre" qui se dessine...
Je ne sais pas pourquoi vous voulez absolument un personnage beau et sympathique ! Et est-il donc si laid ce garçon qui se cache sous une tignasse et une barbe ? Il est maladroit, un peu ridicule, mal dans sa peau et insatisfait malgré son papillonnage pour donner le change. Moi je le trouve plutôt touchant...
Je ne suis pas d'accord avec Ludmilla concernant la femme. Atalia est la maîtresse, le chef d'orchestre, elle règne sur ce monde d'hommes. Il y a un véritable ode à la femme.
Compte tenu du titre , du rêve de Shmuel et de l'évocation de Abravanel , le thème principal est celui du "traitre" qui se dessine...
Je me suis endormie au milieu du 5° chapitre...tant pis, je reviendrai demain !
Bon dimanche à tous
Bon dimanche à tous
Je me suis endormie au milieu du 5° chapitre...tant pis, je reviendrai demain !
Bon dimanche à tous
:-)
Je ne parlais pas d'Atalia, mais du passage sur la scission du Cercle du renouveau socialiste.
Je ne suis pas d'accord avec Ludmilla concernant la femme. Atalia est la maîtresse, le chef d'orchestre, elle règne sur ce monde d'hommes. Il y a un véritable ode à la femme.
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