Page 1 de 1
jE SUIS D'ACCORD : LE LIVRE EST INÉGAL : toute la 1ère partie, autour du cas de conscience jusqu'à la prise de décision est très intéressante ; mais les démélés conjugaux de la juge ne nous intéressent guère, et son comportement ensuite n'est guère convaincant.
Mais on peut lire jusqu'au bout quand même car il y a des rebondissements intéressants
Mais on peut lire jusqu'au bout quand même car il y a des rebondissements intéressants
On peut considérer que le volet personnel et intime du roman est soit moins bien traité, soit aussi bien traité que le volet public et judiciaire, mais cet aspect intime est, à mon avis, partie intégrante de l'intrigue car Fiona n'est pas une juge tout court , mais spécifiquement une juge aux affaires familiales. Elle n'est pas un pur intellect et en plus elle s' expose émotionnellement dans sa pratique professionnelle "en allant sur le terrain" et en l'occurence au chevet du jeune homme qui est le sujet de l'affaire principale du roman. Outre cette affaire principale le quotidien de cette juge ce sont les divorces. L 'envahissement de sa vie privée par son métier va (en tout cas selon son mari) provoquer ses problèmes conjuguaux. En revanche sa pratique professionnelle ne lui est d'aucun secours en la circonstance car elle adopte tout de suite des comportements irrationnels tels que n'importe quel juriste débutant les déconseilleraient. Quant à son engagement personnel en faveur du jeune homme, il lui sauvera la vie, mais elle lui fera perdre ensuite par maladresse et dérapage par rapport à l 'éthique de la profession. Pas facile tous lesjours d'exercer de tels métiers : juge, DRH, .... L e sujet du roman n' est donc passeulement unrillant exercice de réthorique, mais aussi de montrer son exercice par des êtres de chair et de sang avec des répercussions sur la vie des autres et sur la sienne
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre