On peut vraiment tomber amoureux après 40 ans ?
A en croire Jean d'Ormesson, à 80 ans on courre toujours les filles
On part en chasse, donc? :-))
Voilà! Critique postée.
Je n'ai pas eu du tout du tout la même lecture que Septu.
J'ai beaucoup aimé ce livre, qui n'a rien d'une bluette mais qui explore magnifiquement l'incertitude, la peur de plonger dans la vie réelle et le refuge qu'est le rêve.
Après...comme je l'ai dit, je ne prêterai pas ce livre à DBZ, les tourments intérieurs, je conçois très bien que ça n'intéresse pas, mais je ne pense pas qu'on puisse dire que ce livre est foncièrement mauvais.
Phéromones, non, plutôt?
Non, non c'est bien hormones...
Ah mais j'y crois beaucoup aussi, n'empêche qu'on ne sait pas pourquoi ces "messages" finalement subliminaux envoyés par phéromones interposées provoquent de l'attirance envers une personne et pas envers une autre.
Il faudrait plutôt dire... Pas encore!...
Tu dis ses "je te quitte je reviens", mais pas du tout!
Beh si, elle qui Thomas plusieurs fois et elle se remet avec lui!...
Parce que leur histoire a du mal à s'ancrer dans le réel.
Ah non puisque la dernière fois où ils rompent c'est tout à la fin du livre quand ils se sont déjà ensemble...
Ce n'est quand même pas l'essence du livre et ces allers et retours ne durent quand même pas très longtemps.
Franchement ce n'est que secondaire et complètement anecdotique. Le coeur du livre, la problématique finalement, c'est " Mais est-ce que ce qui est en train de m'arriver est bien vrai? Est-ce que c'est bien réel?".
D'accord avec toi. Mais peut-être que je lis différemment que toi, peut-être que justement chez moi ces "anecdotes" ne passent pas et provoques justement ces incohérences que j'ai relevé dans le livre...
Ils ne sont pas mariés ;-)
Le "mari", Guillaume, on ne sait rien de ce qu'il pense. Encore une fois il y a beaucoup d'ellipses, l'histoire se déroule grosso modo sur un an et demi- même deux je ne sais plus- et comme c'est avant tout réflexif et non factuel, de grands pans de qui se passe nous échappent, on ne nous dit pas tout...
Et behn justement....
Mais on peut quand même opérer des déductions à travers quelques faits qui nous sont rapportés: lorsqu'elle lui parle de sa rencontre avec Thomas, il ne dit rien (tout du moins à ce moment-là) mais redouble d'ardeur pour la combler (et ce à tous les niveaux), et puis le fameux jour qui sonne un peu le glas de leur amour, lors de la promenade en forêt, qui a lieu plus d'un an après la fameuse rencontre (il a dû s'en passer des choses, entre temps, on ne nous les dit pas, c'est tout!) il la somme de s'expliquer, enfin bien plus tard on apprend que suite à cette promenade et l'aveu de sa "femme", quelque chose s'est brisé définitivement pour lui..
D'accord avec toi ici, mais l'histoire se déroule sur plus qu'un an.
Alors on peut bien combler tous ces trous comme on veut, considérer qu'on n'aurait pas réagi comme ça, mais je vois aucune incohérence là-dedans.
Même réponse que plus haut...
Alors il est vrai que même Anne reconnaît qu'il ne l'a pas retenue tant que ça, mais ça veut sans doute dire que leur amour n'était pas si fort que ça, ou tout du moins qu'ils le croyaient?
C'est justement un des points qui m'avais le plus interloqué.
J'en parle d'ailleurs dans ma critique. Et justement pour moi c'est un des points où l'histoire "sonne faux"!
Ben dis donc, tu as une vision très simplifiée de la vie, toi...;-)
Non simplement je ne vois pas l'histoire comme toi...
Mais bon les goûts et les couleurs...
Dommage : Petite table fait partie des livres dont je ne me séparerai pas - c'est dire !
Mais, je n'ai jamais dit que la séparation devait être définitive...
Ah mais ça n'a rien d'une attaque personnelle ! Au contraire, Radetsky en tant que personne est quelqu'un que j'apprécie (pour autant que je puisse en juger évidemment). Ce qui m'énerve, c'est l'approche qu'il fait des livres et de la littérature et ça me semble donc avoir toute sa place sur un site littéraire.
Ah bon?
"c'est de la plus haute paresse intellectuelle et les opinions pré-mâchées de Radtesky, malgré la réelle sympathie que j'éprouve pour lui, commencent à me courir : veuillez, messieurs, penser pour moi, ça me fatigue !" ????
Me hasarderais-je à suggérer que c'est peut-être un livre pour les femmes ?
Désolé mais personnellement je n'y crois pas du tout à la théorie qu'il y a des livres pour hommes et d'autres pour femmes...
On peut vraiment tomber amoureux après 40 ans ?
A en croire Jean d'Ormesson, à 80 ans on courre toujours les filles
On part en chasse, donc? :-))
Rââââhhh !!! Rien ne t'échappe, hein, Sissi... ;-))
A en croire Jean d'Ormesson, à 80 ans on courre toujours les filles mais on ne sait plus pourquoi...;-))
Voyons, voyons, SJB, si on "courre" à 80 ans, ce ne peut être qu'en meute, à cheval, armé jusqu'aux dents et en sonnant du cor : il est vrai que ça doit réveiller les ardeurs somnolentes chez quelques mâles... l'inconvénient, c'est qu'il y a des dates imposées (sauf pour le renard, mais où est la gloire dans ce cas...?)
A en croire Jean d'Ormesson, à 80 ans on courre toujours les filles mais on ne sait plus pourquoi...;-))
Voyons, voyons, SJB, si on "courre" à 80 ans, (...) ça doit réveiller les ardeurs somnolentes
(...) mais où est la gloire dans ce cas...?)
Ben, Radetsky, tu as raison : à 80 ans, si on « courre » les filles, c'est qu'il faut ranimer les ardeurs somnolentes mais, d'après d'Ormesson, si à 80 ans on court encore les filles, c'est pour la gloire et... pour des prunes !
;-))
Ben, Radetsky, tu as raison : à 80 ans, si on « courre » les filles, c'est qu'il faut ranimer les ardeurs somnolentes mais, d'après d'Ormesson, si à 80 ans on court encore les filles, c'est pour la gloire et... pour des prunes ! ;-))
Une récision, SJB : à cet âge en principe ce sont des pruneaux....
Non, non, pas une "récision"... quelle horreur ! mais une précision
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