Ta critique m'a amusée, Septu, tant ton exaspération est palpable.
Ça a le mérite d'être très clair :-)
Pour autant, j'ai envie quand même de lire ce livre (on ne se refait pas, l'introspection et les histoires d'amour compliquées, j'en raffole) alors si tu souhaites t'en débarrasser, je suis preneuse samedi.
J'aimerais beaucoup également un avis féminin.
En fait ça m'intrigue.
Ça a le mérite d'être très clair :-)
Pour autant, j'ai envie quand même de lire ce livre (on ne se refait pas, l'introspection et les histoires d'amour compliquées, j'en raffole) alors si tu souhaites t'en débarrasser, je suis preneuse samedi.
J'aimerais beaucoup également un avis féminin.
En fait ça m'intrigue.
D'Anne Serre je n'ai lu que Petite table sois mise, que j'ai beaucoup aimé.
Et moi rien du tout (mais j'aime beaucoup beaucoup le titre du tien, de celui que tu as lu).
Tout comme Feint. Je n'ai lu que Petite table, sois mise ! et j'ai beaucoup aimé.
Je ne peux donc rien dire de celui-ci (également publié chez Verdier avant de passer en poche ? si oui, ce serait étonnant que ce soit si mauvais ; si non, ça peut l'expliquer), mais ce qui m'a fait rire dans la critique de Septu, c'est qu'Anna tombe amoureuse "sans hésiter".
Je ne peux donc rien dire de celui-ci (également publié chez Verdier avant de passer en poche ? si oui, ce serait étonnant que ce soit si mauvais ; si non, ça peut l'expliquer), mais ce qui m'a fait rire dans la critique de Septu, c'est qu'Anna tombe amoureuse "sans hésiter".
ce qui m'a fait rire dans la critique de Septu, c'est qu'Anna tombe amoureuse "sans hésiter".
Ah moi aussi :-)
Et aussi ça:
" Trop de tergiversations, de retours en arrière, d’introspection, de doutes, de questionnements etc..."
Dans la situation où elle se trouve, il est quand même un petit peu normal que l'héroïne soit en proie à ce genre de tourments non?
Et aussi (ce qui m'a fait sourire), c'est ce besoin (quand même un peu masculin selon moi) de rationalité...là où on ne peut finalement pas vraiment en trouver.
Mais bref, j'ai bien envie de le lire, ce livre, et aussi l'autre!
Je viens d'aller voir s'il y avait une(des) critique(s), et bien oui, et ça me donne envie...de passer à table.
(mais bon, on m'écoute je veux toujours tout lire tout voir)
Ta critique m'a amusée, Septu, tant ton exaspération est palpable.
Ça a le mérite d'être très clair :-)
Exaspération? Non. Ennui profond? Oui.
Pour autant, j'ai envie quand même de lire ce livre (on ne se refait pas, l'introspection et les histoires d'amour compliquées, j'en raffole) alors si tu souhaites t'en débarrasser, je suis preneuse samedi.
Et moi qui comptait t'amener "Les frères Karamazov" de DOSTOÏEVSKI...
J'aimerais beaucoup également un avis féminin.
Moi aussi!...
En fait ça m'intrigue.
Bon, behn ma critique aura au moins servi à quelque chose...
Tout comme Feint. Je n'ai lu que Petite table, sois mise ! et j'ai beaucoup aimé. Je ne peux donc rien dire de celui-ci
Et bien je reste à attendre ta critique...
(également publié chez Verdier avant de passer en poche ? si oui, ce serait étonnant que ce soit si mauvais ; si non, ça peut l'expliquer),
C'est non!
L'éditeur est Mercure de France
mais ce qui m'a fait rire dans la critique de Septu, c'est qu'Anna tombe amoureuse "sans hésiter".
C'est a interpréter ici dans le sens : si facilement. Mais, si cela est sujet à une compréhension faussée, je peux toujours réécrire ce passage.
ce qui m'a fait rire dans la critique de Septu, c'est qu'Anna tombe amoureuse "sans hésiter".
Ah moi aussi :-)
Voir + haut.
Et aussi ça:
" Trop de tergiversations, de retours en arrière, d’introspection, de doutes, de questionnements etc..."
Dans la situation où elle se trouve, il est quand même un petit peu normal que l'héroïne soit en proie à ce genre de tourments non?
Tout à fait vrai ici. Je le dis d'ailleurs aussi dans ma critique.
Après quand le tout reviens sur 190 pages, forcément ça lasse un peu!
Et aussi (ce qui m'a fait sourire), c'est ce besoin (quand même un peu masculin selon moi) de rationalité...là où on ne peut finalement pas vraiment en trouver.
Oulà vaste, très vaste débat...
Après, la "rationalité" il en faut quand même un peu, pour faire "tenir débout" l'histoire, non?
Mais bref, j'ai bien envie de le lire, ce livre, et aussi l'autre!
Je viens d'aller voir s'il y avait une(des) critique(s), et bien oui, et ça me donne envie...de passer à table.
(mais bon, on m'écoute je veux toujours tout lire tout voir)
Ok, ok ce ne sera donc pas DOSTOÏEVSKI cette année...
Et moi qui comptait t'amener "Les frères Karamazov" de DOSTOÏEVSKI...
ooh mais c'est gentil, ça!
Je l'ai déjà lu, mais pas traduit par Markovicz.
Tout comme Feint. Je n'ai lu que Petite table, sois mise ! et j'ai beaucoup aimé. Je ne peux donc rien dire de celui-ci
Et bien je reste à attendre ta critique...
Il l'a déjà faite.
Après, la "rationalité" il en faut quand même un peu, pour faire "tenir débout" l'histoire, non?
Oui et non.
De ce que j'en comprends, c'est que beaucoup de questions restent sans réponses, que rien n'est logique, que les réactions sont inexplicables, incompréhensibles, mais c'est ça qui est intéressant, justement, quand il s'agit de sentiment et plus particulièrement du sentiment amoureux.
De ce que j'en comprends encore, on n'a que le point de vue de Anne, donc savoir ce qui se passe dans la tête de l'époux...il faut l'imaginer, le deviner, ou pas finalement, juste le constater, et je trouve ça intéressant aussi.
Mais bon, je ne l'ai pas lu et peut-être serai-je complètement de ton avis!
mais ce qui m'a fait rire dans la critique de Septu, c'est qu'Anna tombe amoureuse "sans hésiter".
C'est a interpréter ici dans le sens : si facilement. Mais, si cela est sujet à une compréhension faussée, je peux toujours réécrire ce passage.
Non, non. Ca ne voulait pas être une "critique de critique", c'est seulement la formule qui m'a fait rire.
Oui et non.
De ce que j'en comprends, c'est que beaucoup de questions restent sans réponses, que rien n'est logique, que les réactions sont inexplicables, incompréhensibles, mais c'est ça qui est intéressant, justement, quand il s'agit de sentiment et plus particulièrement du sentiment amoureux.
De ce que j'en comprends encore, on n'a que le point de vue de Anne, donc savoir ce qui se passe dans la tête de l'époux...il faut l'imaginer, le deviner, ou pas finalement, juste le constater, et je trouve ça intéressant aussi.
Tout a fait d'accord avec toi ici.
Après quand ça revient, et c'est ressassé sur 200 pages, cela devient quand même très très long et ennuyeux!...
Et puis sur le même thème, je dois dire que j'ai quand même déjà lu beaucoup mieux. Ceci p. ex. :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/8404
Mais bon, je ne l'ai pas lu et peut-être serai-je complètement de ton avis!
Je sens que nous allons très vite être fixés...
Non, non. Ca ne voulait pas être une "critique de critique", c'est seulement la formule qui m'a fait rire.
Pas de problèmes, je ne l'ai pas pris comme cela...
Je ne vois d'ailleurs pas d'objections à ce que l'on me le dise si une mauvaise tournure de phrase (ou autres...), fait que la lecture d'une critique que j'ai écrite devient "difficile"....
Après tout, c'est pour le confort de tout le monde!
Mais bon, je ne l'ai pas lu et peut-être serai-je complètement de ton avis!
Je sens que nous allons très vite être fixés...
Moi aussi! (tu ne l'oublies pas, hein?)
J'aimerais beaucoup également un avis féminin.
Moi aussi!...
Et bien le voilà (à plus d'un tiers du livre, je ne pense plus que la suite puisse contredire ce que j'en pense à présent): comme je le pressentais vaguement, je suis complètement happée par ce livre et je ne fais que me dépêcher de faire ce que j'ai à faire pour y retourner au plus vite.
Alors, le fait que j'aie sensiblement le même âge que l'héroïne, que je sois une femme, que j'aie habité Bordeaux et patati et patata ont forcément une incidence sur ma lecture, mais je peux t'assurer que je ne m'ennuie pas une nanoseconde et que je suis en passe de tout dévorer.
J'y reviendrai et je ferai, bien sûr, une critique pour le coup, mais je trouve qu'Anne Serre réussit magistralement à parler de ce moment, pourtant indicible et difficilement "racontable" qu'est celui où l'amour (pour l'un) qui s'en va doucement et l'amour (pour l'autre) qui naît petit à petit se chevauchent.
C'est d'une justesse!!
Et j'en profite pour redemander ici ce que j'ai demandé ailleurs et que tu ne verras peut-être pas: les passages soulignés au crayon de papier, c'est toi?
En tout cas, merci!
Le malheur des uns fait le bonheur des autres, même en littérature! :-)
Le malheur des uns fait le bonheur des autres, même en littérature! :-)
Et bien le voilà (à plus d'un tiers du livre, je ne pense plus que la suite puisse contredire ce que j'en pense à présent): comme je le pressentais vaguement, je suis complètement happée par ce livre et je ne fais que me dépêcher de faire ce que j'ai à faire pour y retourner au plus vite.
Alors, le fait que j'aie sensiblement le même âge que l'héroïne, que je sois une femme, que j'aie habité Bordeaux et patati et patata ont forcément une incidence sur ma lecture, mais je peux t'assurer que je ne m'ennuie pas une nanoseconde et que je suis en passe de tout dévorer.
En même temps 180 pages cela se lit vite...
J'y reviendrai et je ferai, bien sûr, une critique pour le coup, mais je trouve qu'Anne Serre réussit magistralement à parler de ce moment, pourtant indicible et difficilement "racontable" qu'est celui où l'amour (pour l'un) qui s'en va doucement et l'amour (pour l'autre) qui naît petit à petit se chevauchent.
C'est d'une justesse!!
Dans ma critique je ne dis pas que ce qu'elle décrit n'est pas juste... Je dis que la même chose sur tout le livre cela dévient vite lassant!...
J'ai la vague sensation que je vais me faire "allumer" grave!....
Et j'en profite pour redemander ici ce que j'ai demandé ailleurs et que tu ne verras peut-être pas: les passages soulignés au crayon de papier, c'est toi?
Oui madame!...
Fini à l'instant.
Non seulement j'ai aimé, mais je suis assez bouleversée, en fait.
Je suis bonne pour y penser toute la journée je pense (qu'est-ce que je pense!)
Au delà du thème qui m'a parlé, je trouve que c'est un très beau livre, riche, poétique. Tout en ellipses, avec sa dose de mystère.
Ça va bien au-delà du finalement banal triangle amoureux, ça évoque (et même presque plus) la difficulté à faire la distinction entre la vie vécue et la vie imaginée et rêvée.
Jusqu'au bout, Thomas n'est qu'un personnage de fiction, et elle se demande, d'ailleurs, si elle arrivera à l'aimer hors de la fiction, hors du songe.
Bref, je digère, et je fais une critique, demain sans doute.
Mais ça me donne vraiment envie de lire d'autres livres d'Anne Serre d'une part, et Jude l'Obscur d'autre part!
Et non, je ne vais pas "t'allumer" du tout, l'ennui et à l'inverse le fait d'être accaparé(e) dans une lecture, ça ne s'explique pas vraiment.
Personne n'a raison et personne n'a tort.
Ta critique a été suffisamment éloquente pour que je "comprenne" que c'était pour moi. Et que tu ne l'aies pas aimé, toi, n'est pas grave et encore moins un problème.
Je l'ai redit plusieurs fois, ce que j'attends d'une critique, c'est finalement peu le ressenti du critiqueur, c'est une présentation la plus claire possible de l'ouvrage.
Il s'était passé exactement la même chose (mais de manière inversée) avec le film Drive dont Stavro avait fait l'éloge dans un topo tellement bien ficelé qu'il m'avait persuadée que je n'aimerais pas ce film (confirmé au visionnage).
Les goûts, les couleurs, ce qui touche, laisse indifférent, fait monumentalement ch... ou met en extase, c'est propre à chacun.
Il y a juste que je ne pense pas que ce livre soit un mauvais livre.
C'est quand même bien de la bonne littérature, je trouve.
Mais je conçois tout à fait qu'on n'accroche pas.
Non seulement j'ai aimé, mais je suis assez bouleversée, en fait.
Je suis bonne pour y penser toute la journée je pense (qu'est-ce que je pense!)
Au delà du thème qui m'a parlé, je trouve que c'est un très beau livre, riche, poétique. Tout en ellipses, avec sa dose de mystère.
Ça va bien au-delà du finalement banal triangle amoureux, ça évoque (et même presque plus) la difficulté à faire la distinction entre la vie vécue et la vie imaginée et rêvée.
Jusqu'au bout, Thomas n'est qu'un personnage de fiction, et elle se demande, d'ailleurs, si elle arrivera à l'aimer hors de la fiction, hors du songe.
Bref, je digère, et je fais une critique, demain sans doute.
Mais ça me donne vraiment envie de lire d'autres livres d'Anne Serre d'une part, et Jude l'Obscur d'autre part!
Et non, je ne vais pas "t'allumer" du tout, l'ennui et à l'inverse le fait d'être accaparé(e) dans une lecture, ça ne s'explique pas vraiment.
Personne n'a raison et personne n'a tort.
Ta critique a été suffisamment éloquente pour que je "comprenne" que c'était pour moi. Et que tu ne l'aies pas aimé, toi, n'est pas grave et encore moins un problème.
Je l'ai redit plusieurs fois, ce que j'attends d'une critique, c'est finalement peu le ressenti du critiqueur, c'est une présentation la plus claire possible de l'ouvrage.
Il s'était passé exactement la même chose (mais de manière inversée) avec le film Drive dont Stavro avait fait l'éloge dans un topo tellement bien ficelé qu'il m'avait persuadée que je n'aimerais pas ce film (confirmé au visionnage).
Les goûts, les couleurs, ce qui touche, laisse indifférent, fait monumentalement ch... ou met en extase, c'est propre à chacun.
Il y a juste que je ne pense pas que ce livre soit un mauvais livre.
C'est quand même bien de la bonne littérature, je trouve.
Mais je conçois tout à fait qu'on n'accroche pas.
Merci, Septu...ta critique m'a dissuadé d'aller y voir de plus près. Les bluettes c'est plus de mon âge. Heu, ça ne l'a jamais été, d'ailleurs.
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