Voilà, la page est ouverte !
Bonne lecture et à très vite.
Bonne lecture et à très vite.
Ben alors???
Je croyais trouver déjà quelques remarques de début de lecture, quelques premières impressions... et que nenni!
Je pense qu'il faisait décidément trop beau et que chacun a vaqué à ses occupations (et je ne parle pas de Shelton qui avait d'autres bébés à câliner).
Moi-même je n'ai pas lu une ligne ( j'ai quand même terminé mon livre précédent), mais j'y vais de ce pas.
A tout à l'heure!
Je croyais trouver déjà quelques remarques de début de lecture, quelques premières impressions... et que nenni!
Je pense qu'il faisait décidément trop beau et que chacun a vaqué à ses occupations (et je ne parle pas de Shelton qui avait d'autres bébés à câliner).
Moi-même je n'ai pas lu une ligne ( j'ai quand même terminé mon livre précédent), mais j'y vais de ce pas.
A tout à l'heure!
Jai commencé ce roman et j'avoue sans honte être un peu perdue, ça part un peu dans tous les sens et j'ai du mal à suivre l intrigue . Je le trouve très difficile à comprendre bien que je veuille absolument connaître la suite . C'est pour ça que j'attends les impressions d'autres lecteurs.
Même chose pour moi, j'ai lu une cinquantaine de pages et je suis tout à fait perdu, je ne parviens pas à relier les personnages entre eux ni à suivre les intrigues. C'est assez frustrant. Je vais reprendre un peu en arrière.
Nous avons tous le même ressenti...si bien que j'ai du aller fouiller un peu sur le net pour comprendre le début...une sorte de "Cordelia la guerre" pour les nuls !
J'attend de voir comment cela va évoluer
J'attend de voir comment cela va évoluer
On va voir si je pense comme vous, je démarre après ce message, pas pu avant. C'est parti et á plus tard pour les premières impressions. Bonne lecture à tous!
P. 25
J'ai adoré la présentation des personnages et lieux, ça ne vous a pas fait rire?
J'ai adoré la présentation des personnages et lieux, ça ne vous a pas fait rire?
p.24.
Bon, je vous rejoins sur le niveau de difficulté. Il faut rester concentré et apprivoiser le style de Marie Cosnay. J'aime ce type d'écriture qui rompt nos habitudes de lecteur. Je dois quand même me familiariser avec lui ...
Le titre déjà nous invite à voir ce roman comme une réécriture de la pièce "Le Roi Lear" en déplaçant le centre d'intérêt sur la fille du roi Lear. Ce déplacement a sans doute une fin, un peu comme Jean Anouilh qui revisite le mythe d'Orphée et baptise sa pièce "Eurydice" ...
Les premières séquences alternent plusieurs scènes : un accident, des policiers sur le terrain, Lear qui partage l'Europe avec ses filles ... On a le sentiment de n'avoir que des impressions, des scènes floues, presque oniriques. On arrive en plein milieu de ces séquences, ce qui nous laisse penser qu'il nous manque peut-être quelques éléments.
Comme Sissi, j'ai beaucoup aimé la présentation des personnages, comme dans les pièces de théâtre, sauf qu'elle n'est pas au tout début. Elle permet de clarifier les pages qu'on a lues avant et confirme bien les éléments qui renvoient au polar ( enquête, policiers ... )
Le suspense n'est pas vraiment maintenu puisqu'on sait déjà que Cordelia va mourir :" La prison ... où meurt Cordelia." L'intérêt est donc ailleurs. C'est vrai que le fait de connaître la pièce de Shakespeare est une aide. Voir les libertés prises par Marie Cosnay pourrait se révéler bien plaisant.
Premières impressions positives, même si je me rends compte qu'il me faudra le silence total dans la pièce pour ne pas me perdre !!!! :-)
Bon, je vous rejoins sur le niveau de difficulté. Il faut rester concentré et apprivoiser le style de Marie Cosnay. J'aime ce type d'écriture qui rompt nos habitudes de lecteur. Je dois quand même me familiariser avec lui ...
Le titre déjà nous invite à voir ce roman comme une réécriture de la pièce "Le Roi Lear" en déplaçant le centre d'intérêt sur la fille du roi Lear. Ce déplacement a sans doute une fin, un peu comme Jean Anouilh qui revisite le mythe d'Orphée et baptise sa pièce "Eurydice" ...
Les premières séquences alternent plusieurs scènes : un accident, des policiers sur le terrain, Lear qui partage l'Europe avec ses filles ... On a le sentiment de n'avoir que des impressions, des scènes floues, presque oniriques. On arrive en plein milieu de ces séquences, ce qui nous laisse penser qu'il nous manque peut-être quelques éléments.
Comme Sissi, j'ai beaucoup aimé la présentation des personnages, comme dans les pièces de théâtre, sauf qu'elle n'est pas au tout début. Elle permet de clarifier les pages qu'on a lues avant et confirme bien les éléments qui renvoient au polar ( enquête, policiers ... )
Le suspense n'est pas vraiment maintenu puisqu'on sait déjà que Cordelia va mourir :" La prison ... où meurt Cordelia." L'intérêt est donc ailleurs. C'est vrai que le fait de connaître la pièce de Shakespeare est une aide. Voir les libertés prises par Marie Cosnay pourrait se révéler bien plaisant.
Premières impressions positives, même si je me rends compte qu'il me faudra le silence total dans la pièce pour ne pas me perdre !!!! :-)
P. 25
J'ai adoré la présentation des personnages et lieux, ça ne vous a pas fait rire?
Même si je ne lis pas ce livre, j'adore avoir vos impressions. Te lisant, je me suis dit que c'était rare que je ris (que je rie? ouhlala aucune idée), mais pas plus tard qu'hier, j'ai gloussé cinq minutes devant l'énumération des types de lunettes par Perec (par exemple, dans les lunettes à un verre, il y a celles sans branches, les monocles, et celles avec branches, les lunettes de cyclope (rares, précise-t-il)).
P21
A peine débuté, le dimanche ayant été peu propice à la lecture.
Je ne regrette pas d'avoir lu le roi Lear auparavant même pour ces quelques premières pages...
A peine débuté, le dimanche ayant été peu propice à la lecture.
Je ne regrette pas d'avoir lu le roi Lear auparavant même pour ces quelques premières pages...
J'en suis à la page 68 et comme certains, je suis dans la confusion des personnages et des situations!
J'ai l'impression d'assister à deux films à la fois, l'un à propos de la pièce historique contant l'histoire folle du roi Lear et de ses files, l'autre la version contemporaine sous la forme d'un polar déjanté.
De plus le style et le rythme adoptés par l'auteure nous emmène au cœur de ce tourbillon de folie.
Je me demande si les policiers ne seraient pas impliqués, quelques siècles plus tard, dans l'enquête sur le meurtre de trois ou quatre personnes (3 femmes et 1 vieil homme?).
Et ce , sous les ordre d'un chef très malade et en soins intensifs en psychiatrie!
Tout cela parsemé de petites notes d'humour.
Pas mal, mais où nous emmène-t-elle, Marie Cosnay?
J'ai l'impression d'assister à deux films à la fois, l'un à propos de la pièce historique contant l'histoire folle du roi Lear et de ses files, l'autre la version contemporaine sous la forme d'un polar déjanté.
De plus le style et le rythme adoptés par l'auteure nous emmène au cœur de ce tourbillon de folie.
Je me demande si les policiers ne seraient pas impliqués, quelques siècles plus tard, dans l'enquête sur le meurtre de trois ou quatre personnes (3 femmes et 1 vieil homme?).
Et ce , sous les ordre d'un chef très malade et en soins intensifs en psychiatrie!
Tout cela parsemé de petites notes d'humour.
Pas mal, mais où nous emmène-t-elle, Marie Cosnay?
J'ai terminé la première partie (p. 167).
Je ne sais pas si ça tient à l'effet lecture commune et au fait que la dernière à laquelle j'ai participé s'intéressait à "Faillir être flingué", mais je trouve quelques ressemblances entre les livres de Cosnay et de Minard.
Tout d'abord, cette même confusion du début que vous évoquez, où on a du mal à démêler les personnages et les intrigues et à comprendre ce qui pourrait bien, une fois qu'on aura tout dénoué, les rattacher les uns aux autres. Ca se prolonge par la suite avec ce "truc" qui consiste pour deux talentueuses romancières contemporaines à revisiter des genres populaires, là le western et ici le polar donc. Et Ziad me fait penser à Zeb (mais peut-être est-ce seulement affaire de nom).
Au fil de la lecture, on relie mieux les personnages, comprend mieux les intrigues, même si... A ce niveau-là, c'est à P'tit Quinquin, la mini-série diffusée sur Arte l'an dernier que je pense, où l'enquête policière n'était qu'un prétexte aux loufoqueries l'escortant (et d'ailleurs, je vois bien Gé en commandant van der Weyden).
Reste que pour le moment, bien qu'ils commencent à montrer leurs intrications avec l'enquête policière, les rapprochements avec Lear me semblent assez artificiels, prétextuels, d'autant que quand il est question de Lear, Cosnay revisite moins l'oeuvre qu'elle ne la résume ou en cite carrément des passages. A voir si par la suite, ces références à Lear se justifient réellement, s'intègrent au reste, mais pour l'instant, j'ai quelques réserves à ce niveau.
Quand au style, ce n'est certainement pas la façon dont j'aimerais écrire, mais ces phrases courtes, parfois au point d'être incomplètes (parce que ce n'est pas nécessaire : la pensée va plus vite et on sait où elles mènent avant de les avoir lues), rendent la lecture extrêmement dynamique et le récit assez jubilatoire à suivre. C'est sûrement mieux adapté que de longues et belles phrases pour quelque chose d'aussi décousu que ce Cordelia la guerre, ça s'intègre dans le projet littéraire et donc c'est bien, même si on glisse un peu trop dessus.
Je ne sais pas si ça tient à l'effet lecture commune et au fait que la dernière à laquelle j'ai participé s'intéressait à "Faillir être flingué", mais je trouve quelques ressemblances entre les livres de Cosnay et de Minard.
Tout d'abord, cette même confusion du début que vous évoquez, où on a du mal à démêler les personnages et les intrigues et à comprendre ce qui pourrait bien, une fois qu'on aura tout dénoué, les rattacher les uns aux autres. Ca se prolonge par la suite avec ce "truc" qui consiste pour deux talentueuses romancières contemporaines à revisiter des genres populaires, là le western et ici le polar donc. Et Ziad me fait penser à Zeb (mais peut-être est-ce seulement affaire de nom).
Au fil de la lecture, on relie mieux les personnages, comprend mieux les intrigues, même si... A ce niveau-là, c'est à P'tit Quinquin, la mini-série diffusée sur Arte l'an dernier que je pense, où l'enquête policière n'était qu'un prétexte aux loufoqueries l'escortant (et d'ailleurs, je vois bien Gé en commandant van der Weyden).
Reste que pour le moment, bien qu'ils commencent à montrer leurs intrications avec l'enquête policière, les rapprochements avec Lear me semblent assez artificiels, prétextuels, d'autant que quand il est question de Lear, Cosnay revisite moins l'oeuvre qu'elle ne la résume ou en cite carrément des passages. A voir si par la suite, ces références à Lear se justifient réellement, s'intègrent au reste, mais pour l'instant, j'ai quelques réserves à ce niveau.
Quand au style, ce n'est certainement pas la façon dont j'aimerais écrire, mais ces phrases courtes, parfois au point d'être incomplètes (parce que ce n'est pas nécessaire : la pensée va plus vite et on sait où elles mènent avant de les avoir lues), rendent la lecture extrêmement dynamique et le récit assez jubilatoire à suivre. C'est sûrement mieux adapté que de longues et belles phrases pour quelque chose d'aussi décousu que ce Cordelia la guerre, ça s'intègre dans le projet littéraire et donc c'est bien, même si on glisse un peu trop dessus.
Et bien j'ai l'impression que vous vous amusez bien peu...je trouve que c'est très drôle pour ma part.
Complètement décalé, et vraiment très drôle.
Je n'ai (étrangement, c'est peut-être à force de lire du Dostoïevski?) pas trop de mal avec les personnages et leur rapport les uns aux autres (même si, pour l'instant, il n'y en a aucun entre certains).
J'ai trouvé la présentation absolument délicieuse, les surnoms, les détails (la seconde infirmière qui est plus petite et sur talons), les lieux qui nous dévoilent tout d'avance, ce qui se retrouve quand le sort d'un personnage est bien vite expédié (Albany) ou bien quand on sait par avance ce qu'il adviendra de lui.
Je trouve qu'on est sans cesse surpris, et ça me donne farouchement envie de poursuivre!
Comme Ludmilla je pense, (et c'est dommage du coup pour ceux qui ne l'ont pas lu,) que c'est une bonne chose d'avoir lu le roi Lear avant, on perçoit d'autant mieux le décalage qu'il peut y avoir entre les vrais personnages et les faux, les similitudes qu'il peut y avoir et la façon dont elles sont détournées dans le monde actuel (ma phrase ne veut rien dire, je suis fatiguée).
Le roi Lear est tourné en dérision, c'est drôle, et pourtant c'est cynique aussi, notre monde actuel y est croqué sans ménagement, mais de manière insidieuse et fine, presque négligemment (les sacs Gucci, les jeux télévisés crétins, les clochards, l'empire du fric etc.)
Marrant Stavro que tu évoques Céline Minard (ça va au fait, toi....p. 167?????), je songeais justement cet après-midi que si la lecture commune de la rentrée dernière m'avait déçue, là je me régalais plutôt!
Ah, j'oubliais, j'en suis à la page 54.
Complètement décalé, et vraiment très drôle.
Je n'ai (étrangement, c'est peut-être à force de lire du Dostoïevski?) pas trop de mal avec les personnages et leur rapport les uns aux autres (même si, pour l'instant, il n'y en a aucun entre certains).
J'ai trouvé la présentation absolument délicieuse, les surnoms, les détails (la seconde infirmière qui est plus petite et sur talons), les lieux qui nous dévoilent tout d'avance, ce qui se retrouve quand le sort d'un personnage est bien vite expédié (Albany) ou bien quand on sait par avance ce qu'il adviendra de lui.
Je trouve qu'on est sans cesse surpris, et ça me donne farouchement envie de poursuivre!
Comme Ludmilla je pense, (et c'est dommage du coup pour ceux qui ne l'ont pas lu,) que c'est une bonne chose d'avoir lu le roi Lear avant, on perçoit d'autant mieux le décalage qu'il peut y avoir entre les vrais personnages et les faux, les similitudes qu'il peut y avoir et la façon dont elles sont détournées dans le monde actuel (ma phrase ne veut rien dire, je suis fatiguée).
Le roi Lear est tourné en dérision, c'est drôle, et pourtant c'est cynique aussi, notre monde actuel y est croqué sans ménagement, mais de manière insidieuse et fine, presque négligemment (les sacs Gucci, les jeux télévisés crétins, les clochards, l'empire du fric etc.)
Marrant Stavro que tu évoques Céline Minard (ça va au fait, toi....p. 167?????), je songeais justement cet après-midi que si la lecture commune de la rentrée dernière m'avait déçue, là je me régalais plutôt!
Ah, j'oubliais, j'en suis à la page 54.
p70
Après un début un peu difficile, j'ai enchainé plusieurs chapitres sans pouvoir m'y arracher (pas autant que Stavroguine toutefois).
Si je n'avais pas lu le roi Lear, je suis d'accord avec toi, Sissi, ce serait plus difficile.
Une parenthèse très drôle sur "la berlue" p69 :-)
Après un début un peu difficile, j'ai enchainé plusieurs chapitres sans pouvoir m'y arracher (pas autant que Stavroguine toutefois).
Si je n'avais pas lu le roi Lear, je suis d'accord avec toi, Sissi, ce serait plus difficile.
Une parenthèse très drôle sur "la berlue" p69 :-)
D'accord avec vous deux pour Le Roi Lear : j'avais lu ailleurs qu'on pouvait s'en passer, mais je pense que sans être absolument indispensable, on perd sûrement beaucoup si on ne connaît pas la pièce. Par contre, Sissi, je ne trouve pas que les personnages de la pièce soient très différents de ceux du livre (à l'exception d'Oswald peut-être) : comme je le disais dans mon message, Marie Cosnay, en plusieurs endroits, résume la pièce ou la cité carrément.
(Et mon avancée s'explique par le fait qu'hier, j'ai remplacé la route initialement envisagée par du train, ergo...)
(Et mon avancée s'explique par le fait qu'hier, j'ai remplacé la route initialement envisagée par du train, ergo...)
Par contre, Sissi, je ne trouve pas que les personnages de la pièce soient très différents de ceux du livre
Lego ergo je te répondrai plus tard :)
p.56.
Je me suis habitué au style de Marie Cosnay et je me laisse porter par ce rythme. Elle a un phrasé particulier : on passe de phrases assez poétiques quand il est question de la nature à des phrases nominales, un peu expéditives parfois. Et cela reste pourtant harmonieux.
Le chiffre 3 est très présent : les 3 filles de Lear, les 3 personnes dans la voiture, "Les Trois fourches", les personnes hospitalisées un 3 avril ...
Marie Cosnay alterne toujours la partie polar avec les épisodes liés à la pièce de Shakespeare. On y parle aussi de folie et de rêves, ce qui trouble la narration.
Cette femme amnésique m'intrigue. A ce stade de la lecture, je ne sais pas beaucoup de choses sur elle. Autre élément marquant, je viens de croiser ce pauvre hibou dans les pages que je viens de lire, celui qui est assez énigmatique sur la couverture du roman.
J'aime bien le choix des prénoms des personnages, il faudrait sans doute farfouiller un peu pour les justifier : Zelda, Zlad, Ximun ...
Je me suis habitué au style de Marie Cosnay et je me laisse porter par ce rythme. Elle a un phrasé particulier : on passe de phrases assez poétiques quand il est question de la nature à des phrases nominales, un peu expéditives parfois. Et cela reste pourtant harmonieux.
Le chiffre 3 est très présent : les 3 filles de Lear, les 3 personnes dans la voiture, "Les Trois fourches", les personnes hospitalisées un 3 avril ...
Marie Cosnay alterne toujours la partie polar avec les épisodes liés à la pièce de Shakespeare. On y parle aussi de folie et de rêves, ce qui trouble la narration.
Cette femme amnésique m'intrigue. A ce stade de la lecture, je ne sais pas beaucoup de choses sur elle. Autre élément marquant, je viens de croiser ce pauvre hibou dans les pages que je viens de lire, celui qui est assez énigmatique sur la couverture du roman.
J'aime bien le choix des prénoms des personnages, il faudrait sans doute farfouiller un peu pour les justifier : Zelda, Zlad, Ximun ...
Oui, moi aussi je suis intrigué par la femme amnésique .J'apprécie les auteurs qui suscitent la participation du lecteur à la vie du texte.
(Je prendrais bien le train durant quelques heures afin de lire en paix et sans interruption. Ce serait chouette, la distance serait évaluée en fonction du temps de lecture!!!)
A+
(Je prendrais bien le train durant quelques heures afin de lire en paix et sans interruption. Ce serait chouette, la distance serait évaluée en fonction du temps de lecture!!!)
A+
(Je prendrais bien le train durant quelques heures afin de lire en paix et sans interruption. Ce serait chouette, la distance serait évaluée en fonction du temps de lecture!!!)
Ah ça, ça ne veut rien dire...
Au contraire, je trouve ça très pertinent : l'heure est une mesure des distances bien plus pertinente que le mètre. D'ailleurs, y a qu'à voir comment le "village planétaire" nait avec le développement des voies de communication et l'instantanéité des échanges pour en être convaincu. Mais pas sûr que ça nous rapproche de Marie Cosnay, quoiqu'elle fasse se télescoper les siècles et (peut-être) les distances dans son livre.
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