Mais moi aussi, je me pose ces questions, et je n'ai pas eu de méthode globale ! Les dictionnaires sont faits pour répondre à ces interrogations, entre autres choses. Et il n'y a pas une page que j'écrive sans y avoir recours.
Mon orthographe est très mauvaise : je ne sais jamais si on doit écrire alumette ou allumette, appercevoir ou apercevoir, apparté ou aparté, concourire ou concourir, etc, etc.
...Myrco, "çà" n'est pas un pronom, c'est un adverbe ! :o)
J'ai l'impression qu'aujourd'hui, on n'inculque plus la grammaire; les jeunes ne savent pas faire la différence entre un nom et un verbe, un adjectif possessif et un pronom (confusion du "sa" et du "çà")etc...etc...si on ne comprend pas la fonction de tel ou tel mot, on ne peut pas savoir comment l'écrire, s'il s'accorde ou pas...
(j'ai toujours renoncé à te le signaler, tu écris régulièrement le pronom "ça", ou "cela", en utilisant l'orthographe de l'adverbe "çà")
Effectivement!
Mais je crois que s'il n'y avait que ce genre de faute sur CL, on ne s'en tirerait pas trop mal, ne crois-tu pas?
Tu dois avoir des listes impressionnantes de fautes non signalées à moins que tu ne te polarises que sur les miennes;-))
Néanmoins, je te remercie; désormais j'essaierai de faire bien attention à "ça";-) (je l'utilise tant que cela?)
Mais je crois que s'il n'y avait que ce genre de faute sur CL, on ne s'en tirerait pas trop mal, ne crois-tu pas?
Tu dois avoir des listes impressionnantes de fautes non signalées à moins que tu ne te polarises que sur les miennes;-))
Néanmoins, je te remercie; désormais j'essaierai de faire bien attention à "ça";-) (je l'utilise tant que cela?)
Ceci dit, tu ne nous donnes pas ton avis sur le fond de la question...
Une fois de plus, j'aimerais qu'on s'entende sur des définitions : qu'appelez-vous "méthode globale"?
Certains enfants du 1er degré avec lesquels je travaille apprennent à lier des consonnes et des voyelles (li-il ; sa-as;...). Leur méthode utilise des codes de couleurs pour leur indiquer si la lettre doit être prononcée ou pas quand le couple voyelle-consonne est inclus dans un mot, et des images en corrélation avec les mots.
D'après wikipédia, sauf exception, cette méthode n'a jamais été strictement appliquée dans l'espace francophone européen. Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9thode_globale
(Ce qui est rigolo dans cet article, c'est qu'il est truffé de fautes... de grammaire :-)
L'apprentissage d'une langue, surtout au jeune âge, passe d'abord par le "parler-écouter". Si celui-ci n'est pas acquis, apprêtez-vous à ramer pour le "lire-écrire", quelle que soit la méthode d'apprentissage (globale, semi-globale, alphabétique, analytique, idéovisuelle....)
Et je me répète : en matière d'orthographe, je suis convaincu que son acquisition est largement liée à la lecture, hors contexte scolaire, ce qui n'est pas donné à tout le monde.
Certains enfants du 1er degré avec lesquels je travaille apprennent à lier des consonnes et des voyelles (li-il ; sa-as;...). Leur méthode utilise des codes de couleurs pour leur indiquer si la lettre doit être prononcée ou pas quand le couple voyelle-consonne est inclus dans un mot, et des images en corrélation avec les mots.
D'après wikipédia, sauf exception, cette méthode n'a jamais été strictement appliquée dans l'espace francophone européen. Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9thode_globale
(Ce qui est rigolo dans cet article, c'est qu'il est truffé de fautes... de grammaire :-)
L'apprentissage d'une langue, surtout au jeune âge, passe d'abord par le "parler-écouter". Si celui-ci n'est pas acquis, apprêtez-vous à ramer pour le "lire-écrire", quelle que soit la méthode d'apprentissage (globale, semi-globale, alphabétique, analytique, idéovisuelle....)
Et je me répète : en matière d'orthographe, je suis convaincu que son acquisition est largement liée à la lecture, hors contexte scolaire, ce qui n'est pas donné à tout le monde.
Et je me répète : en matière d'orthographe, je suis convaincu que son acquisition est largement liée à la lecture, hors contexte scolaire, ce qui n'est pas donné à tout le monde.
C'est archi-faux !
La lecture (sur un plan économique) est donnée à tout le monde. L'accès aux bibliothèques est quasi gratuit en France.
Le problème est l'éducation (les parents ne lisent pas, il y a peu de chance pour que le jeune lise) et "l'image" donnée par celui qui lit.
Aujourd'hui, un jeune qui lit passe pour un intello, un "boloss" et se fait éjecter du "Groupe" (le Groupe de moutons rebelles aux QI négatifs).
Aussi, ça donne les résultats que l'on sait: la Crasse !
Et qu'ai-je dit d'autre, page précédente également ? Une question intéressante serait de savoir pourquoi certains parents lisent peu.
C'est archi-faux !
(...) Le problème est l'éducation (les parents ne lisent pas, il y a peu de chance pour que le jeune lise)
(...) et "l'image" donnée par celui qui lit.Frunny, je parle d'apprentissage au niveau primaire, celui qui conditionne largement la suite. Et oui, précisément, de parents qui ne lisent pas ou peu. Je te mets au défi de me montrer des enfants de dix ans qui traitent leurs condisciples d'intellos parce qu'ils lisent mieux. Par contre, tous ceux qui ne lisent pas, tu les trouveras tous dans les mêmes quartiers et dans les mêmes écoles. Avant même de commencer à apprendre. Cela doit sûrement venir d'une mauvaise volonté de leur part.
Aujourd'hui, un jeune qui lit passe pour un intello, un "boloss" et se fait éjecter du "Groupe"
Tu es quand même d'accord que si l'enfant ne lit pas, toutes les règles de grammaire et d'orthographe qu'on lui apprend à l'école, c'est du vent ? Car là était l'essentiel de ce que je voulais dire.
Par contre, tous ceux qui ne lisent pas, tu les trouveras tous dans les mêmes quartiers et dans les mêmes écoles. Avant même de commencer à apprendre. Cela doit sûrement venir d'une mauvaise volonté de leur part.
Marre de la "victimisation"...arme de désinformation massive.
A chaque fois, on nous sort la même rengaine : "le pauvre, il habite en cité alors, il ne peut pas apprendre, il est rejeté, et j'en passe."
Comment font les quelques qui s'en sortent ?
Ils s'extraient du troupeau de phacochères rebelles à capuches avec téléphones portables vissés à l'oreille qui tiennent les murs.
Quand on veut, on peut !
Les municipalités refont les écoles... elles crament !
Les sociétés HLM refont les ascenseurs et les boites aux lettres; elles sont détruites le lendemain.
C'est pareil pour l'éducation et le respect des autres.
Tu es quand même d'accord que si l'enfant ne lit pas, toutes les règles de grammaire et d'orthographe qu'on lui apprend à l'école, c'est du vent ? Car là était l'essentiel de ce que je voulais dire.
On ne peut qu'être d'accord avec ça.
Mais pas avec l'absence de mise en place de moyens dans les cités. C'est faux. Les MJC sont là, les biblio sont là, les éducateurs sont là.
Il manque l'essentiel; la Volonté des intéressés.
Tu es quand même d'accord que si l'enfant ne lit pas, toutes les règles de grammaire et d'orthographe qu'on lui apprend à l'école, c'est du vent ? Car là était l'essentiel de ce que je voulais dire.
On ne peut qu'être d'accord avec ça.
Mais pas avec l'absence de mise en place de moyens dans les cités. C'est faux. Les MJC sont là, les biblio sont là, les éducateurs sont là.
Il manque l'essentiel; la Volonté des intéressés.
je suis assez d'accord avec ce constat (même si déplorer le manque de volonté des jeunes est simpliste et caricatural). Les jeunes dans les cités, que ce soit à Paris ou à Marseille, ont un accès à la culture, aux musées et aux bibliothèques beaucoup plus diversifié et aisé que de nombreux jeunes vivant en milieu rural qui, dans certains départements, peut parfois s'apparenter à un désert.
Mais s'intéresser à la culture, aux musées et à la littérature demande un effort. On début on ne va pas dans les musées par plaisir, il faut que le goût se forme. Si on fait l'effort, c'est souvent parce qu'on a été initié dans l'enfance. Ou alors, ceux qui vivent à Paris et qui baignent dans le beau depuis toujours auront plus de chance de développer un bon gout que ceux qui vivent dans des villes industrielles.
En matière de victimisation, tu es mal placé pour faire la leçon ; qui nous replace à chaque occasion le "catho d'extrême-droite qui n'a que le droit de se taire" ? :-)))
Marre de la "victimisation"...arme de désinformation massive.
Il manque l'essentiel; la Volonté des intéressés. Quand on veut, on peut.
1° Dans la plupart des cas, tous les enfants sont heureux d'entrer à l'école. Et les premiers résultats sont souvent relativement bons. Mais même dans les classes plus aisées, on constate une baisse au fur et à mesure de la progression dans le parcours scolaire. Une fois de plus, je parle ici de l'école primaire, des enfants de moins de douze ans. Seulement, dans les classes plus aisées, il y a du soutien derrière.
L'école est faite de telle façon que la bourgeoisie reste la bourgeoisie, la classe moyenne reste la classe moyenne (ou ce qu'il en reste) et les pauvres restent pauvres (de plus en plus nombreux). Je ne dis pas que c'est un fait exprès, mais c'est ainsi.
2° Il y a des études très sérieuses sur la discrimination à l'embauche, à la location d'appartement, à l'entrée dans certaines écoles... Il vaut mieux ne pas avoir d'accent et ne pas porter certains noms. On a beau vouloir, quand c'est l'autre qui détient le pouvoir, c'est bernique !
3° Je m'étais intéressé aux émeutes de 2005 pour mon travail de fin d'études. Parmi certaines citations, je retiens celle-ci d'une mère de famille :
"À dix ans, il m'a dit qu'il n'y avait pas de place pour lui dans la société et que, de toute façon, il finirait dans un lycée professionnel. Sa maitresse m'a dit qu'ici, il était 3ème de sa classe, mais qu'ailleurs, il serait 14ème"Passons sur cette obsession bizarroïde du classement, quoique... Mais qu'un gamin de dix ans soit à ce point désenchanté, et probablement lucide, moi, ça me pose questions. Notamment sur son aptitude à "vouloir".
Désolé, en l'occurrence il ne s'agit pas d'une simple faute mais d'un discours erroné concernant la langue française. Il me semble que CL peut faire un peu mieux que ce que l'on trouve trop souvent sur internet.
Effectivement!
Mais je crois que s'il n'y avait que ce genre de faute sur CL, on ne s'en tirerait pas trop mal, ne crois-tu pas?
Tu dois avoir des listes impressionnantes de fautes non signalées à moins que tu ne te polarises que sur les miennes;-))
Beaucoup plus que ça ! :o)
Néanmoins, je te remercie; désormais j'essaierai de faire bien attention à "ça";-) (je l'utilise tant que cela?)
Effectivement!
Mais je crois que s'il n'y avait que ce genre de faute sur CL, on ne s'en tirerait pas trop mal, ne crois-tu pas?
Tu dois avoir des listes impressionnantes de fautes non signalées à moins que tu ne te polarises que sur les miennes;-))
Désolé, en l'occurrence il ne s'agit pas d'une simple faute mais d'un discours erroné concernant la langue française. Il me semble que CL peut faire un peu mieux que ce que l'on trouve trop souvent sur internet.
Tu ne crois pas que tu en fais un peu beaucoup à mon encontre?( je ne sais pas ce que j'ai bien pu te faire pour mériter cela).
Soit, j'ai mis un accent où il ne fallait pas mais quand je disais qu'on mélange adjectif possessif et pronom, je ne vois pas en quoi il s'agit d'un discours erroné.
Quant à ramener mon orthographe à "ce que l'on trouve trop souvent sur Internet" (même si je ne suis pas à l'abri d'une faute, surtout dans les forums), franchement mieux vaut en rire qu'en pleurer!!!
Pour ce qui concerne le fond du débat...personne ...comme pour les critiques d'ailleurs (je croyais que CL était un site de critiques de livres).
Continue de te draper dans la fonction exclusive que tu t'es donnée qui pourrait être fort utile si elle ne s'accompagnait de tant d'arrogance et de mauvaise foi.
Inutile de me répondre car cette petite guerre que tu m'as déclarée n'intéresse personne, ni moi d'ailleurs!
Je ne crois pas que l'école soit organisée pour que se maintiennent les classes sociales. Je croirais plutôt, qu'en Belgique, on a l'obsession du contraire : on veut que les élèves de tous les niveaux et de tous les milieux sociaux se retrouvent mélangés dans toutes les écoles. Le but est justement de supprimer les classes sociales, ou de supprimer les avantages dus au milieux social. Or, le but de l'école c'est de transmettre le savoir et les valeurs et rien d'autre.
L'école est faite de telle façon que la bourgeoisie reste la bourgeoisie, la classe moyenne reste la classe moyenne ... et les pauvres restent pauvres
Quitte à passer pour un infâme élitiste, je trouve qu'il est normal qu'on organise les classes d'après le degré de capacité des élèves : les mieux doués avec les mieux doués, les moyens avec les moyens et les moins doués avec les moins doués ; et sans tenir compte du milieux social des élèves. Si les capacités intellectuelles des élèves sont en rapport avec leur milieux social, ce n'est pas le rôle de l'école de changer cet état de chose. Sinon c'est le nivellement par le bas et tout le monde est perdant.
Quitte à passer pour un infâme élitiste, je trouve qu'il est normal qu'on organise les classes d'après le degré de capacité des élèves : les mieux doués avec les mieux doués, les moyens avec les moyens et les moins doués avec les moins doués ; et sans tenir compte du milieux social des élèves. Si les capacités intellectuelles des élèves sont en rapport avec leur milieux social, ce n'est pas le rôle de l'école de changer cet état de chose. Sinon c'est le nivellement par le bas et tout le monde est perdant.
C'est le rôle de l'école de la République ! Donner sa chance à chaque enfant, d'où qu'il vienne, quel qu'il soit, doué ou pas...Sinon ta conception c'est "Les faibles et les forts" ' tiens ça me rappelle quelque chose....
Tu n'est pas un "infâme élitiste" ,il y a un mot de trop, le dernier...l'élitisme ce n'est pas entretenir les plus doués qui n'ont pas besoin de ça(:-) c'est permettre aux moins doués ou disposés de s'élever !
Tu n'ES (y a le gendarme qui surveille:-)
Si les capacités intellectuelles des élèves sont en rapport avec leur milieux social, ce n'est pas le rôle de l'école de changer cet état de chose.
En fait, le problème de l'argumentation de SJB, c'est qu'il prend les choses à l'envers. Personnellement, cette phrase me hérisse le poil. Elle semble impliquer (mais j'espère me tromper) que les petits blancs bourgeois naissent plus intelligents que les petits noirs prolos et donc que finalement, il est normal que les filières élitistes s'ouvrent aux premiers et les CAP aux seconds puisque, le monde étant bien fait, et même parfaitement fait puisque oeuvre du Seigneur, ceux-ci n'auraient pas les capacités intellectuelles pour faire Sciences Po-ENA ; sinon, ils seraient nés à Neuilly, pas à Sarcelles. Et donc, on serait en effet bien stupides de vouloir foutre des Sarcellois à l'ENS quand il est évident que ces gens-là sont faits pour être maçons. CQFD. En fait, comme souvent avec SJB, je trouve ça tellement absurde que ça en devient drôle : il y a chez lui, une sorte de logique 'pataphysique un peu vieille France que je trouverais croustillante s'il s'agissait d'en rire.
Alors que dans les faits, les meilleurs établissements, ceux qui poussent leurs élèves à intégrer des "filières élitistes", se trouvent dans des quartiers bourgeois. Que les gamins de Sarcelles n'y ont accès (if at all) que par des chemins détournés, après avoir évité les devoirs dans la pièce où Papa chômeur regarde Hanouna, les mauvaises fréquentations qui t'incitent à dealer du shit ou juste à traîner sous un arrêt de bus, les discriminations... Tandis que le gamin de Neuilly sera encadré par des parents qui connaissent le système scolaire, pourront lui offrir un soutien scolaire en cas de besoin, et lui payer le privé si par hasard le collège communal n'était pas au niveau des ambitions placées dans le fiston.
... ta conception c'est "Les faibles et les forts" ' tiens ça me rappelle quelque chose....
Tu n'est pas un "infâme élitiste" ,il y a un mot de trop, le dernier...
"Les faibles et les forts" ' tiens ça me rappelle quelque chose.... (dixit Pieronnelle).
C'est un genre d'insinuation que je ne comprends pas mais que je suppose perfide.
Je préfère ceci : Tu n'est pas un "infâme élitiste" ,il y a un mot de trop, le dernier...
Là, au moins, j'ai compris l'insulte !
Ceci dit, je suis d'accord avec toi que le rôle de l'école – qu'elle soit de la République ou d'une Monarchie constitutionnelle – est de donner sa chance à chaque enfant, d'où qu'il vienne et quel qu'il soit, doué ou pas.
Mais ce que j'ajoute, c'est que le rôle de l'école est de donner à chaque élève un enseignement adapté à ses capacités : aux mieux doués il faut donner un enseignement plus poussé et plus rapide ; aux moins doués, il faut donner un enseignement moins poussé et plus lent. Encore une fois, sans tenir compte de leur milieux social.
Mais c'est une évidence qui, aujourd'hui, est considérée comme de l'élitisme infâme.
Au nom de l'égalitarisme, on s'imagine que la justice sociale commence à l'école par le nivellement par le bas.
Il est erroné dans le fait que "çà" n'est pas un pronom, c'est un "adverbe".
... quand je disais qu'on mélange adjectif possessif et pronom, je ne vois pas en quoi il s'agit d'un discours erroné.
Personne, sauf toi apparemment !
Inutile de me répondre car cette petite guerre que tu m'as déclarée n'intéresse personne, ni moi d'ailleurs!
Tu es bien susceptible, Myrco, et c’est précisément pour cette raison que je ne t’ai jamais signalé ta confusion entre « çà » et « ça ». De toute façon, tu devrais arrêter de penser que je m'intéresse autant à ta personne, en particulier pour lui nuire..
Je précise qu'il s'agit d'une plaisanterie, que j'explique :Beaucoup plus que ça ! :o)
Néanmoins, je te remercie; désormais j'essaierai de faire bien attention à "ça";-) (je l'utilise tant que cela?)
ma réponse "Beaucoup plus que ça !" est mise pour "beaucoup plus çà que ça". C'est drôle ?
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