Enfin je vais être utile :
1/ vous allez sur Facebook, votre site
2/ vous tapez dans rechercher ami le nom de l'auteur
3/ vous n'avez plus qu'à lui envoyer un message.
1/ vous allez sur Facebook, votre site
2/ vous tapez dans rechercher ami le nom de l'auteur
3/ vous n'avez plus qu'à lui envoyer un message.
Je vous adore LesieG! Si on aime un roman on est forcément l'auteur? On ira loin comme ça.
Je n'aime pas trop les nouvelles technologies, j'ai pas de facebook.
Je n'aime pas trop les nouvelles technologies, j'ai pas de facebook.
Bon sang il a encore rien compris, vous allez sur VOTRE FACEBOOK à votre nom à vous personnel, ça veut pas dire que vous êtes l'auteur, je suis désolée mais je ne pourrai pas vous traduire ça en métaphore.
Alors il faut vous créer un compte FACEBOOK à vous, personnel, à votre nom, J'AI BIEN COMPRIS que vous n'étiez pas l'auteur, c'est la seule et unique façon de pouvoir éventuellement communiquer avec elle... et je lui souhaite bon courage ;)))
Alors il faut vous créer un compte FACEBOOK à vous, personnel, à votre nom, J'AI BIEN COMPRIS que vous n'étiez pas l'auteur, c'est la seule et unique façon de pouvoir éventuellement communiquer avec elle... et je lui souhaite bon courage ;)))
Non , si je vais sur facebook, je n'aurai pas de temps pour être ici:) Je ne peux pas vous faire ça! J'aime rencontrer les auteurs sur les Salons littéraires, en vrai.
Merci sisi de votre gentillesse d'avoir arrêté les attaques lourdes vers moi. Enfin on peut parler de la littérature.
Non , si je vais sur facebook, je n'aurai pas de temps pour être ici:)
Personne ne s'en plaindra...
DON'T FEED THE F***ING TROLL !!!
Laissez ce fil couler, le livre avec et arrêtez de répondre et d'alimenter ce fil pour que Miracle littéraire puisse continuer à rebondir : il n'attend que ça quoi que vous disiez.
Laissez ce fil couler, le livre avec et arrêtez de répondre et d'alimenter ce fil pour que Miracle littéraire puisse continuer à rebondir : il n'attend que ça quoi que vous disiez.
Mais moi je plains certains et je veux les aider. Ici l'ignorance littéraire et la méchanceté n'ont pas leur place.
J'espère pouvoir enfin parler librement d'un roman !?
Chers amis, je reviens et j'espère vivement trouver parmi vous des lecteurs ayant lu OE pour échanger en toute sérénité. Chez certains ce roman a suscité beaucoup de jalouse et a provoqué des comportements fort négatifs. Pourtant c'est un roman lumière.
Bon week-end!
Bon week-end!
Miracle littéraire, il y a des milliards de livres, hors OE (que je ne rejette pas) sur lesquels on peut échanger. Et là, bienvenue à toi !
Si ton envie est de partager sur l'ensemble de ce que tu découvres sur un plan littéraire, nous sommes là, et bienveillants.
A ++++
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A ++++
Miracle littéraire, il y a des milliards de livres, hors OE (que je ne rejette pas) sur lesquels on peut échanger. Et là, bienvenue à toi !
Si ton envie est de partager sur l'ensemble de ce que tu découvres sur un plan littéraire, nous sommes là, et bienveillants.
A ++++
Un peu de propos apaisants ça fait du bien :-)
A l'occasion du Printemps des Poètes, je partage avec vous quelques extraits poétiques:
"L’homme qui échangeait des pommes d’amour contre des pièces de métal, ouvrit largement la bouche et se pinça la joue, prise en otage par un bouton d’acné. Merveilleusement doux, le gant de velours apaisa la peau imparfaite, mais pas la réalité en face. La petite fille se retourna de dos. Sans avoir repris ses forces, elle reprit le chemin. Trouée par le temps et les mites, l’écharpe sur elle peinait à séduire la chaleur. Pendant la plus glaciale des saisons, cet accessoire jouait mal le rôle du manteau. La vie réussissait rarement le casting de son œuvre."
" La lumière du jour égouttait ses dernières gouttes d’existence renouvelable, lorsqu’un rossignol s’installa sur une branche du poirier et enchaîna son chant crépusculaire. La mélodie délicieuse parfumait de merveille chaque cellule de l’air. Intempestivement, une note foudroyante endommagea affreusement le paysage sonore. Et le paysage physique : affolé d’épouvante, le rossignol tomba de l’arbre et atterrit laidement sur l’épine. Son petit cœur n’avait pas résisté au cri de la jeune fille.
Excité par l’odeur, le chien courut vers le lieu du drame. Ses dents de bête tripotèrent hideusement le corps du rossignol.
Le sang de l’oiseau décolora l’insensibilité de l’aiguillon. Il comprit des choses et s’apprêta à demander pardon à son esclave, mais c’était trop tard. La patte du chien avait écrasé la framboise."
"Le soleil frappa à la fenêtre de la salle de bains. Souriante, la Huit lui ouvrit. L’air frais pénétra immédiatement son corps nu et fit apparaître un sourire suprême sur son visage. La baignoire, excitée de la mousse galante et des huiles pimentées, ne donnait aucun signal au jet d’eau d’arrêter de la remplir. Quelques serviettes se cachaient dans l’armoire à glace. Dotées d’une couleur blanche à la naissance, elles avaient adopté une teinte rosâtre. La fantaisie racontait qu’à la vue des jeux impudiques de la Huit, les serviettes avaient tant rougi de honte qu’un changement durable de leur couleur s’était produit. Quant à la réalité, elle savait que la femme de chambre mettait ensemble le linge de bain et les rideaux pourpres dans la machine à laver."
"L’homme qui échangeait des pommes d’amour contre des pièces de métal, ouvrit largement la bouche et se pinça la joue, prise en otage par un bouton d’acné. Merveilleusement doux, le gant de velours apaisa la peau imparfaite, mais pas la réalité en face. La petite fille se retourna de dos. Sans avoir repris ses forces, elle reprit le chemin. Trouée par le temps et les mites, l’écharpe sur elle peinait à séduire la chaleur. Pendant la plus glaciale des saisons, cet accessoire jouait mal le rôle du manteau. La vie réussissait rarement le casting de son œuvre."
" La lumière du jour égouttait ses dernières gouttes d’existence renouvelable, lorsqu’un rossignol s’installa sur une branche du poirier et enchaîna son chant crépusculaire. La mélodie délicieuse parfumait de merveille chaque cellule de l’air. Intempestivement, une note foudroyante endommagea affreusement le paysage sonore. Et le paysage physique : affolé d’épouvante, le rossignol tomba de l’arbre et atterrit laidement sur l’épine. Son petit cœur n’avait pas résisté au cri de la jeune fille.
Excité par l’odeur, le chien courut vers le lieu du drame. Ses dents de bête tripotèrent hideusement le corps du rossignol.
Le sang de l’oiseau décolora l’insensibilité de l’aiguillon. Il comprit des choses et s’apprêta à demander pardon à son esclave, mais c’était trop tard. La patte du chien avait écrasé la framboise."
"Le soleil frappa à la fenêtre de la salle de bains. Souriante, la Huit lui ouvrit. L’air frais pénétra immédiatement son corps nu et fit apparaître un sourire suprême sur son visage. La baignoire, excitée de la mousse galante et des huiles pimentées, ne donnait aucun signal au jet d’eau d’arrêter de la remplir. Quelques serviettes se cachaient dans l’armoire à glace. Dotées d’une couleur blanche à la naissance, elles avaient adopté une teinte rosâtre. La fantaisie racontait qu’à la vue des jeux impudiques de la Huit, les serviettes avaient tant rougi de honte qu’un changement durable de leur couleur s’était produit. Quant à la réalité, elle savait que la femme de chambre mettait ensemble le linge de bain et les rideaux pourpres dans la machine à laver."
Qu'en pensez-vous?
L'oiseau empalé, le sang, le froid et le chaud, la machine à laver comme deus ex machina.... on dirait du Volodine enfant.... :-p
L'oiseau empalé, le sang, le froid et le chaud, la machine à laver comme deus ex machina.... on dirait du Volodine enfant.... :-p
:-))
Volodine enfant ? C'est du niveau de la blibliothèque verte, non ? Moi je suis restée au niveau de la bibliothèque rose.
Volodine enfant ? C'est du niveau de la blibliothèque verte, non ? Moi je suis restée au niveau de la bibliothèque rose.Oui, comme les framboises...
Alors c'était un enfant prodige.
" Le temps d’une lecture permettait tout. Rien n’était inaccessible. Aucun des personnages n’exigeait d’être payé ou aimé pour se découvrir, faire rêver ou terrifier. Le code d’entrée ne réclamait que la connaissance de l’alphabet. La liberté de s’absenter de ce monde imaginé ou trop réel, se trouvait avant l’épilogue. Chaque page pourrait être la dernière. Le doigt du lecteur décidait du sort de l’écrivain. Le papier, alourdi d’encre, ne pouvait pas lutter contre la main. Et cette faiblesse physique demeurait nécessaire. Pour masquer, par politesse, le triomphe permanent de l’écrivain. Parce que le créateur de l’œuvre littéraire participait parallèlement à l’avenir du lecteur. Il lui révélait des émotions jamais connues et décrivait des vérités inédites ; il lui montrait que le bonheur d’autrui ne nuisait pas au sien et l’incitait à rendre le monde meilleur ; il l’encourageait de réaliser ses rêves pour ne pas les troquer contre des chimères ; il lui créait des idoles et des exemples à suivre ou à éviter ; il lui faisait comprendre que la larme était plus qu’un liquide salé, qu’une pièce de monnaie pouvait sauver une vie, que le malheur était à la portée de tous, qu’un lit froid et une écorce de pain immunisaient contre la grosse tête qui faisait tomber le corps, que l’éclat du diamant comme celui des dents ne valait rien si le sourire n’y était pas."
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