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Oui, merci pour eux, pour tous ceux, celles que toi comme moi cotoyons tous les jours, ceux qui nous bouleversent toujours autant, ceux dont nous ne cessons de parler.
Oh, oui, Zola aurait un choc: un choc de constater qu'encore aujourd'hui, rien n'a change.
Rien n'a change dans le monde de la misere, cela ne fait qu'empirer d'ailleurs.
"L'assommoir", ce livre qui a bouleverse ma vie a jamais.
Oui, merci, Nath, de cette brillante "critique", de ton coup de gueule salvateur.
Oh, oui, Zola aurait un choc: un choc de constater qu'encore aujourd'hui, rien n'a change.
Rien n'a change dans le monde de la misere, cela ne fait qu'empirer d'ailleurs.
"L'assommoir", ce livre qui a bouleverse ma vie a jamais.
Oui, merci, Nath, de cette brillante "critique", de ton coup de gueule salvateur.
C'est comme une évidence, je suis allée me perdre un peu dans la capitale du nord aujourd'hui, j'ai vu de la misère partout, et j'avais ce livre à terminer, une trentaine de pages que j'ai avalées dans le train au retour... Un rapprochement fulgurant...
Rien n'a change dans le monde de la misere, cela ne fait qu'empirer d'ailleurs.
Eh oui, on le constate chaque jour en parcourant la rue Sainte-Catherine à Montréal. On ne fait pas un coin de rue sans se faire solliciter, plusieurs fois même, par les pauvres, dont plusieurs souffrent de maladie autant physique que mentale.
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