Quelques précisions "utiles" ou pas,
Notre amitié à la libellule et moi consiste dans le fait que j'ai relu quelques chapitres de son roman avant qu'il ne paraisse, aide qui me valut une bouteille de "prosciutto" israélien. Je ne l'ai jamais rencontrée. Comme je l'ai dit, j'avais apprécié ce qu'elle avait écrit.
Une amitié virtuelle...
Le problème de son "étude" est qu'elle est à charge et ne cite qu'UNE source scientifique. Devrais-je dire "Amen" à un livre qui crache sur le Christ, qui insulte ma foi et dont les sources ne sont pas fiables de par des "qualités" de l'auteure ?
A Pieronnelle,
Décidément je vous obsède, vous n'êtes pas la seule à me prèter toutes les "qualités" la plupart des collègues de gauche, profs, ne supportent pas non plus qu'un prof puisse être de droite sans se couvrir de cendres et s'autoflageller ?
Notre amitié à la libellule et moi consiste dans le fait que j'ai relu quelques chapitres de son roman avant qu'il ne paraisse, aide qui me valut une bouteille de "prosciutto" israélien. Je ne l'ai jamais rencontrée. Comme je l'ai dit, j'avais apprécié ce qu'elle avait écrit.
Une amitié virtuelle...
Le problème de son "étude" est qu'elle est à charge et ne cite qu'UNE source scientifique. Devrais-je dire "Amen" à un livre qui crache sur le Christ, qui insulte ma foi et dont les sources ne sont pas fiables de par des "qualités" de l'auteure ?
A Pieronnelle,
Décidément je vous obsède, vous n'êtes pas la seule à me prèter toutes les "qualités" la plupart des collègues de gauche, profs, ne supportent pas non plus qu'un prof puisse être de droite sans se couvrir de cendres et s'autoflageller ?
Chers tous... il commencer quelque part n'est-ce pas?
Avant même d’entamer l’écriture de cette étude, j’étais bien consciente des répercussions/critiques et polémique qu’elle allait engendrer. Et c’est tout à fait naturel. Chacun d’entre nous se fige sur certaines croyances même si très souvent elles ne possèdent aucune base solide.
La religion fait partie de notre quotidien à plusieurs degrés.
La profondeur de ma connaissance des évangiles ou même de la religion chrétienne a buté contre certains faits qui lui on sapé tout équilibre et toute tentative d’une poursuite sans équivoque. Car, admettons-le, toute étude qui se heurte à un butoir de cette taille déjà à ses premiers pas, empêcherait quiconque possédant un tant soit peu de bon sens de progresser… On ne construit rien sur du vide. L’édifice tiendra aussi longtemps que la raison est obstruée, par une cause ou une autre. Et le butoir en ce qui me concerne a été, la découverte d’un élément contradictoire essentiel que je révèle au début même de mon œuvre : Pourquoi l’Eternel qui se dit «Dieu unique » et intime à ses croyants à ne croire qu’en LUI, et qu’en LUI seulement, enfante un fils en se servant d’une dite jeune fille humaine vierge pour créer un autre dieu, LUI qui décrète dans les Dix Commandements : « Tu n’auras d’autres dieux devant ma face ».
Comment poursuivre toute étude sur un sujet dont la base fondamentale est erronée puisque les chrétiens, tant dans leurs évangiles que dans leur Nouveau Testament, affirment la maternité divine… Comment peut-on continuer lorsque nous contredisons tout ce qui a précédé à l’apparition de Jésus dans l’arène théologique juive, et qui a servi de base même au Christianisme et à l’Islam.
Un bon conseil... lisez le livre... cela vaut la peine.
Amities meme aux plus refractaires....
Avant même d’entamer l’écriture de cette étude, j’étais bien consciente des répercussions/critiques et polémique qu’elle allait engendrer. Et c’est tout à fait naturel. Chacun d’entre nous se fige sur certaines croyances même si très souvent elles ne possèdent aucune base solide.
La religion fait partie de notre quotidien à plusieurs degrés.
La profondeur de ma connaissance des évangiles ou même de la religion chrétienne a buté contre certains faits qui lui on sapé tout équilibre et toute tentative d’une poursuite sans équivoque. Car, admettons-le, toute étude qui se heurte à un butoir de cette taille déjà à ses premiers pas, empêcherait quiconque possédant un tant soit peu de bon sens de progresser… On ne construit rien sur du vide. L’édifice tiendra aussi longtemps que la raison est obstruée, par une cause ou une autre. Et le butoir en ce qui me concerne a été, la découverte d’un élément contradictoire essentiel que je révèle au début même de mon œuvre : Pourquoi l’Eternel qui se dit «Dieu unique » et intime à ses croyants à ne croire qu’en LUI, et qu’en LUI seulement, enfante un fils en se servant d’une dite jeune fille humaine vierge pour créer un autre dieu, LUI qui décrète dans les Dix Commandements : « Tu n’auras d’autres dieux devant ma face ».
Comment poursuivre toute étude sur un sujet dont la base fondamentale est erronée puisque les chrétiens, tant dans leurs évangiles que dans leur Nouveau Testament, affirment la maternité divine… Comment peut-on continuer lorsque nous contredisons tout ce qui a précédé à l’apparition de Jésus dans l’arène théologique juive, et qui a servi de base même au Christianisme et à l’Islam.
Un bon conseil... lisez le livre... cela vaut la peine.
Amities meme aux plus refractaires....
Sur le reste je n'en dirais pas plus du livre qui est une accumulation d'erreurs, encore dans le com ci-dessous je me demande d'où l'auteure tire cette idée baroque de ''maternité divine'' ? Citez vos sources là encore !
Effectivement, on semble se situer dans le domaine de la réflexion personnelle (tout à fait honorable et pertinente d'ailleurs) plutôt que dans celui d'une étude rigoureuse.
Mais ce qui me trouble, c'est que vous semblez fonder votre contestation des bases de la religion chrétienne, de la thèse de Jésus fils de dieu, sur une dévotion absolue au dieu des hébreux...
Voilà qui apporterait plutôt de l'eau au moulin d'Amaury lorsqu'il dénonce une inspiration en provenance de rabbins intégristes...
Cela expliquerait aussi que vous négligiez le parterre d'athées ("réfractaires") qui étaient tout prêts à vous écouter!
(adressé à Libellule en réaction au post de 18.08)
Mais ce qui me trouble, c'est que vous semblez fonder votre contestation des bases de la religion chrétienne, de la thèse de Jésus fils de dieu, sur une dévotion absolue au dieu des hébreux...
Voilà qui apporterait plutôt de l'eau au moulin d'Amaury lorsqu'il dénonce une inspiration en provenance de rabbins intégristes...
Cela expliquerait aussi que vous négligiez le parterre d'athées ("réfractaires") qui étaient tout prêts à vous écouter!
(adressé à Libellule en réaction au post de 18.08)
Je t'aime bien SJB.Moi aussi, je t'aime bien Le Rat, mais moi, en plus, je t'admire, entr'autres pour tes qualités d'exégète... Car, en bon exégète que tu es, tu mets en doute ce qui infirme ta cause et tu exaltes ce qui la sert.
...Mais c'est la loi du genre, c'est comme ça qu'on écrit l'Histoire !
La maternité divine c'est comme on dit chez nous, un vieux brol.
Dieu est représenté dans de nombreuses civilisations anciennes comme une famille formée d'un père, d'une mère et d'un enfant: Osiris, Isis, Horus ou Brahma, Shiva, Vichnou.
L'originalité du christianisme est d'avoir "déféminisé" la divinité en asexuant sa partie féminine: Donc Dieu le père, dérivé de Zeus pater ou Jupiter, le fils et en portion féminine désexuée, le saint-esprit. Mais la femme a fait un retour en force en la personne de Marie qui est, à ce qu'il semble, plus priée que le saint-esprit.
Les pères de l'église se sont donné beaucoup de mal pour se prétendre monothéistes tout en étant polythéistes. Un dieu en trois personnes, il faut reconnaître que c'est très fort.
Dieu est représenté dans de nombreuses civilisations anciennes comme une famille formée d'un père, d'une mère et d'un enfant: Osiris, Isis, Horus ou Brahma, Shiva, Vichnou.
L'originalité du christianisme est d'avoir "déféminisé" la divinité en asexuant sa partie féminine: Donc Dieu le père, dérivé de Zeus pater ou Jupiter, le fils et en portion féminine désexuée, le saint-esprit. Mais la femme a fait un retour en force en la personne de Marie qui est, à ce qu'il semble, plus priée que le saint-esprit.
Les pères de l'église se sont donné beaucoup de mal pour se prétendre monothéistes tout en étant polythéistes. Un dieu en trois personnes, il faut reconnaître que c'est très fort.
Bravo le rat des champs.... Tout y est aussi dans le livre...
@Myrco... l'Ancien Testament n'est-il pas reconnu comme base de la religion chretienne ... Jesus n'etait-il pas juif (pharisien et cabaliste)??? cherchez vos reponses.
Je m'amuse, voilà le Rat qui traite les chrétiens de païens, comme Flavius Josephe
Merci, la Libellule, je pense que nous sommes sur la même longueur d'onde. Pour moi, les problèmes commencent quand les religions ont l'incroyable prétention de vouloir définir l'Ineffable. En général ça finit dans le sang et ce n'est pas la longue liste des pogroms suivie de la Shoah qui me démentira.
Effectivement, on semble se situer dans le domaine de la réflexion personnelle (tout à fait honorable et pertinente d'ailleurs) plutôt que dans celui d'une étude rigoureuse.
Mais ce qui me trouble, c'est que vous semblez fonder votre contestation des bases de la religion chrétienne, de la thèse de Jésus fils de dieu, sur une dévotion absolue au dieu des hébreux...
Voilà qui apporterait plutôt de l'eau au moulin d'Amaury lorsqu'il dénonce une inspiration en provenance de rabbins intégristes...
Cela expliquerait aussi que vous négligiez le parterre d'athées ("réfractaires") qui étaient tout prêts à vous écouter!
(adressé à Libellule en réaction au post de 18.08)
Une réflexion personnelle est intéressante, c'est ce que j'attendais du livre, un point de vue juif sur le christianisme. Ce que fit entre autre Simone Weil...
Mais ici le problème est que cette réflexion s'agrémente de qualificatifs insultants envers la foi chrétienne et les chrétiens...
Quelqu'un a precede Amaury et a donne son avis... dont voici quelques lignes...
Sachant que le pape Léon X a prononcé une phrase restée célèbre «On sait de temps immémorial combien cette fable de Jésus-Christ nous a été profitable » le titre ne m'a pas étonné du tout, à l'instar de l'hypothétique création de Dieu, également à chronologie variable... no comments. Après avoir décrit, entre Talmud, Torah et Tanakh à l'appui, l'historique du foyer : distorsion des prophéties (Isaïe, Zacharie...), hébreux et idolâtries voisines dans lequel s'est progressivement constitué le mythe de Jésus et de sa naissance virginale, entre fils divins et les sages, on peut se poser alors la véritable question " Jésus a t-il réellement existé ? " vu la carence presque totale, à part Flavius Josèphe, de témoignages crédibles et contemporains.
Sachant que le pape Léon X a prononcé une phrase restée célèbre «On sait de temps immémorial combien cette fable de Jésus-Christ nous a été profitable » le titre ne m'a pas étonné du tout, à l'instar de l'hypothétique création de Dieu, également à chronologie variable... no comments. Après avoir décrit, entre Talmud, Torah et Tanakh à l'appui, l'historique du foyer : distorsion des prophéties (Isaïe, Zacharie...), hébreux et idolâtries voisines dans lequel s'est progressivement constitué le mythe de Jésus et de sa naissance virginale, entre fils divins et les sages, on peut se poser alors la véritable question " Jésus a t-il réellement existé ? " vu la carence presque totale, à part Flavius Josèphe, de témoignages crédibles et contemporains.
Merci, la Libellule, je pense que nous sommes sur la même longueur d'onde. Pour moi, les problèmes commencent quand les religions ont l'incroyable prétention de vouloir définir l'Ineffable. En général ça finit dans le sang et ce n'est pas la longue liste des pogroms suivie de la Shoah qui me démentira.
Tout est bon pour bouffer du curé, hein le rat ?
Tu as lu le blog de la libellule ? Dont elle s'est bien gardée de donner l'adresse...
http://therese-zrihen-dvir.over-blog.com/
Flavius Josèphe? Hahaha...! Que fais-tu du testimonium flavonium? Ou alors tu reconnais comme la plupart des exégètes, qu'il s'agit d'un faux, ajouté par un moine copiste qui a fait de l'excès de zèle au Moyen-Age?
Contrairement à ce que certains pensent, les Romains étaient extrêmement tolérants et ils avaient l'habitude d'incorporer les dieux des peuplades qu'ils avaient envahies dans leur panthéon. C'est ainsi qu'à Rome, il y avait des temples dédiés à Isis.
Le problème des chrétiens de l'époque, c'est qu'ils voulaient bien que l'Empire reconnaisse leur dieu mais qu'ils traitaient d'impies ceux qui ne pensaient pas comme eux.
Contrairement à ce que certains pensent, les Romains étaient extrêmement tolérants et ils avaient l'habitude d'incorporer les dieux des peuplades qu'ils avaient envahies dans leur panthéon. C'est ainsi qu'à Rome, il y avait des temples dédiés à Isis.
Le problème des chrétiens de l'époque, c'est qu'ils voulaient bien que l'Empire reconnaisse leur dieu mais qu'ils traitaient d'impies ceux qui ne pensaient pas comme eux.
Tout est bon pour bouffer du curé, hein le rat ?
Je ne bouffe pas de curé, je ne suis pas nécrophage.
Quelqu'un a precede Amaury et a donne son avis... dont voici quelques lignes...
Sachant que le pape Léon X a prononcé une phrase restée célèbre «On sait de temps immémorial combien cette fable de Jésus-Christ nous a été profitable » le titre ne m'a pas étonné du tout, à l'instar de l'hypothétique création de Dieu, également à chronologie variable... no comments. Après avoir décrit, entre Talmud, Torah et Tanakh à l'appui, l'historique du foyer : distorsion des prophéties (Isaïe, Zacharie...), hébreux et idolâtries voisines dans lequel s'est progressivement constitué le mythe de Jésus et de sa naissance virginale, entre fils divins et les sages, on peut se poser alors la véritable question " Jésus a t-il réellement existé ? " vu la carence presque totale, à part Flavius Josèphe, de témoignages crédibles et contemporains.
Ce n'est qu'un avis, complètement erroné, Flavius Josèphe c'est moi qui vous l'ai indiqué, fiable car juif ?
Vous n'avez pas même fait l'effort d'une simple recherche sur google, elle vous aurait apporté ce résultat
des témoignages non chrétiens sur l'existence du Christ
http://info-bible.org/histoire/jesus.htm/…
@ Le rat des champs... Tout a fait en phase cher ami.
Cette étude a pour objectif de mettre en évidence l’incroyable aisance de convertir, non une religion en vérité, mais un mythe (variété de mensonges) en religion. Bien que le chemin entre le mythe et la religion soit profusément jalonné de faits contradictoires d’une simplicité foudroyante, il semble que le besoin le plus impérieux de l’être humain est, soit de raccourcir/faciliter, voire inciter ce besoin d’une manière inconcevable, presque de façon autonome. La cause principale se trouve dans la constitution psychologique de l’être humain et son intériorité. Il est en premier lieu la victime de sa propre confusion, d’une peur maladive innée de l’inconnu, du mystère, de la mort. C’est aussi la peur du châtiment, de la damnation, de l’enfer – produit incontestable de certaines croyances, superstitions (comme le souligne Spinoza), mais aussi de l’imprégnation d’une ambiance et des « restes irrépressibles » de certaines religions et fétichismes.
L’être humain s’accrochera à l’absurde et à l’irréel pour donner un simulacre d’authenticité à l’invraisemblable, et par la suite, l’inoculer. À une étape ultérieure, il en sera d’autant saturé qu’il cessera de distinguer la marge entre le réel et la fiction.
Un extrait du prelude...
Cette étude a pour objectif de mettre en évidence l’incroyable aisance de convertir, non une religion en vérité, mais un mythe (variété de mensonges) en religion. Bien que le chemin entre le mythe et la religion soit profusément jalonné de faits contradictoires d’une simplicité foudroyante, il semble que le besoin le plus impérieux de l’être humain est, soit de raccourcir/faciliter, voire inciter ce besoin d’une manière inconcevable, presque de façon autonome. La cause principale se trouve dans la constitution psychologique de l’être humain et son intériorité. Il est en premier lieu la victime de sa propre confusion, d’une peur maladive innée de l’inconnu, du mystère, de la mort. C’est aussi la peur du châtiment, de la damnation, de l’enfer – produit incontestable de certaines croyances, superstitions (comme le souligne Spinoza), mais aussi de l’imprégnation d’une ambiance et des « restes irrépressibles » de certaines religions et fétichismes.
L’être humain s’accrochera à l’absurde et à l’irréel pour donner un simulacre d’authenticité à l’invraisemblable, et par la suite, l’inoculer. À une étape ultérieure, il en sera d’autant saturé qu’il cessera de distinguer la marge entre le réel et la fiction.
Un extrait du prelude...
Il y a aussi le travail de Mordillat et Prieur qui bien que bouffeurs de curé eux aussi prouvent l'historicité de l'Evangile
http://amazon.fr/J%C3%A9sus-apr%C3%A8s-Lorigine-ch…
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Le livre fourni en références de Jacques Duquesne qui se veut pourtant contraire au point de vue d'Eglise
http://amazon.fr/J%C3%A9sus-Jacques-Duquesne/dp/…
http://amazon.fr/J%C3%A9sus-Jacques-Duquesne/dp/…
Cela m'amuse que la haine du rat envers les chrétiens l'amène à s'acoquiner avec une personne fondamentaliste...
La libellule a cette haine, tout comme elle est islamophobe.
La libellule a cette haine, tout comme elle est islamophobe.
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