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Courriel des éditions Alto
Les Éditions Alto sont heureuses de vous annoncer que L’Orangeraie de Larry Tremblay a remporté, ce jeudi 16 octobre à Sherbrooke, le Prix littéraire des enseignants décerné par l’Association québécoise des professeurs de français (AQPF) en collaboration avec l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL).
Larry Tremblay poursuit la récolte des fruits de L’Orangeraie ; en effet ce roman a également remporté le Prix des libraires du Québec, le Prix roman et le Prix des lecteurs du Salon du livre du Saguenay Lac St-Jean.
Raison de plus pour se réjouir, L’Orangeraie est également finaliste au Prix littéraire du Gouverneur général. Les lauréats seront connus le 26 novembre. Cette reconnaissance succède à ses sélections comme finaliste au Prix des cinq continents, au Prix Ringuet de l’Académie des lettres du Québec et au Prix Frye Academie VI (dont le résultat sera annoncé en mai 2015).
Et comme les bonnes nouvelles n’arrivent jamais seules, Alto est fière d’annoncer plusieurs ventes de droit à l’étranger : au Canada (Biblioasis), en France (Gallimard/La Table Ronde), en Hollande (Nieuw Amsterdam), au Royaume-Uni et aux États-Unis (Milkweed). Il a également retenu l’attention de nombreux éditeurs lors de la dernière Foire du livre de Francfort. À suivre...
Toutes nos félicitations à Larry Tremblay pour cet incroyable parcours !
Je reste à votre disposition pour toute demande d’information ou d’entrevue.
Bien cordialement,
Tania
Les Éditions Alto sont heureuses de vous annoncer que L’Orangeraie de Larry Tremblay a remporté, ce jeudi 16 octobre à Sherbrooke, le Prix littéraire des enseignants décerné par l’Association québécoise des professeurs de français (AQPF) en collaboration avec l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL).
Larry Tremblay poursuit la récolte des fruits de L’Orangeraie ; en effet ce roman a également remporté le Prix des libraires du Québec, le Prix roman et le Prix des lecteurs du Salon du livre du Saguenay Lac St-Jean.
Raison de plus pour se réjouir, L’Orangeraie est également finaliste au Prix littéraire du Gouverneur général. Les lauréats seront connus le 26 novembre. Cette reconnaissance succède à ses sélections comme finaliste au Prix des cinq continents, au Prix Ringuet de l’Académie des lettres du Québec et au Prix Frye Academie VI (dont le résultat sera annoncé en mai 2015).
Et comme les bonnes nouvelles n’arrivent jamais seules, Alto est fière d’annoncer plusieurs ventes de droit à l’étranger : au Canada (Biblioasis), en France (Gallimard/La Table Ronde), en Hollande (Nieuw Amsterdam), au Royaume-Uni et aux États-Unis (Milkweed). Il a également retenu l’attention de nombreux éditeurs lors de la dernière Foire du livre de Francfort. À suivre...
Toutes nos félicitations à Larry Tremblay pour cet incroyable parcours !
Je reste à votre disposition pour toute demande d’information ou d’entrevue.
Bien cordialement,
Tania
L'auteur vient tout juste de remporter le prix des collégiens. Il y a peu de temps aussi, le roman a été retenu par un cinéaste qui s'apprête à le porter à l'écran.
Merci Libris, je l'ai emprunté en numérique et ce sera ma prochaine lecture.
Bien aimé ce livre Libris, un auteur québécois à découvrir. Je lirai "Le Christ obèse" dans les jours prochains.
Je lirai "Le Christ obèse" dans les jours prochains.
Ce roman est bien différent. Il s'agit d'amitié fusionnelle. C'est très psychologique.
J'ai bien hâte de retrouver cet auteur que j'aime bien si je peux terminer au plus vite le livre que je lis présentement et qui m'afflige au plus haut point...
Lu la moitié de "Le Christ obèse" et je le trouve excellent. L'auteur a su créer une atmosphère angoissante et malsaine en introduisant un personnage troublant et inquiétant au plus haut point. Je m'attends au pire... ;-)
Terminé "Le Christ obèse". Moins bon que le précédent mais tout de même bien. Je savais, je savais...
Pieronnelle, ta réflexion sur la fin théâtralisé de l'Orangeraie est très intéressante, je ne l'avais pas vu sous cette angle d'une métaphore de la représentation des guerres dans nos médias et dans notre société du spectacle. Cela n'empêche pas que personnellement je regrette cette fin là quand même que je trouve moins maîtrisée que la première partie (ou en tout cas qui m'a moins touché), mais en tout cas ça éclaire sur le message que veut faire passer l'auteur.
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