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Forums  :  Musique & Cinéma  :  Chanson du jour

Sibylline 07/01/2005 @ 19:16:14
Jean-Jacques Goldman
Sache que je

Paroles et Musique: Jean-Jacques Goldman 1997 "En passant"


--------------------------------------------------------------------------------

Il y a des ombres dans " je t'aime "
Pas que de l'amour, pas que ça
Des traces de temps qui traînent
Y a du contrat dans ces mots là

Tu dis l'amour a son langage
Et moi les mots ne servent à rien
S'il te faut des phrases en otage
Comme un sceau sur un parchemin

Alors sache que je
Sache le
Sache que je

Il y a mourir dans " je t'aime "
Il y a je ne vois plus que toi
Mourir au monde, à ses poèmes
Ne plus lire que ses rimes à soi

Un malhonnête stratagème
Ces trois mots là n'affirment pas
Il y a une question dans " je t'aime "
Qui demande " et m'aimes-tu, toi ? "

Alors sache que je
Sache le
Sache que je

BEE 09/01/2005 @ 17:05:45
Thé de Chine chanté par Jean Guidoni
dans Trapèze
(Christophe Mali)


christophe mali cest pas le chanteur de tryo?

Saint Jean-Baptiste 12/01/2005 @ 21:00:26
Pour faire plaisir à nos amis du Québec
Cette superbe chanson
.
NOTRE SENTIER-
.
paroles et musique: Félix Leclerc
.
Notre sentier près du ruisseau
Est déchiré par les labours
Si tu venais, dis-moi le jour,
Je t'attendrai sous le bouleau
.
Les nids sont vides et décousus
Le vent du nord chasse les feuilles
Les alouettes ne volent plus,
Ne dansent plus les écureuils
.
Même les pas de tes sabots
Sont agrandis en flaques d'eau
J'ai réparé un nid d'oiseau,
Je l'ai cousu de feuilles mortes
.
Mais si tu vois sur tous les clos
Les rendez-vous de noirs corbeaux
Vas-tu jeter en flaques d'eau,
Tes souvenirs et tes sabots?
.
Tu peux pleurer près du ruisseau,
Tu peux briser tout mon amour
Oublie l'été, oublie le jour,
Oublie mon nom et le bouleau.
.

Tistou 15/01/2005 @ 23:15:27
Thé de Chine chanté par Jean Guidoni
dans Trapèze
(Christophe Mali)


christophe mali cest pas le chanteur de tryo?

Je ne sais pas mais ce "Thé de Chine" est magnifique et émouvant.

Tistou 15/01/2005 @ 23:23:25
Grandir de MIOSSEC
dans Brûle

Tous les bons moments que tu rates
Tu verrais comme il a grandi
Il ne marche plus à quatre pattes
Tu verrais comme il me sourit

Tu ne crois donc pas que tu te déboîtes
T'as perdu le nord égaré le midi
Tu sais aujourd'hui ce qui me frappe
C'est que je te plains mon pauvre ami

T'as tellement peur que ça soit bien
T'as tellement peur que ça s'arrête
T'as tellement peur de croire au bien
T'as tellement peur de la défaite

Regarde un peu comme le temps se gâte
Quand je t'ai connu t'étais plein de vie
Et regarde-moi comme tu te détraques
Si tu voyais comme il a grandi

Toi, du moment que l'on se tache
C'est que l'on est encore en vie
Alors tu t'éloignes tu te détaches
Ton seul bonheur c'était ici

T'as tellement peur que ça soit bien
T'as tellement peur que ça s'arrête
Que tu te contentes de trois fois rien
T'es vraiment pas douée pour la fête

Immense MIOSSEC qui cache sa force derrière une fragilité vibrante sur scène.

Manu55 16/01/2005 @ 00:39:03
LA P’TITE PISTE

Combien d’fois l’a t’on parcourue
Cette petite piste
Traversant la lande herbue
Lorsque le jour se lève.
En écoutant le rythme
De la chanson intime

Oh ! oh ! oh ! porteurs
Et ascaris aïdo, aïdo aïe safari.
Oh porteurs, et ascaris aïdo, aïdo aïe safari

Et quand un jour nous partirons
Pour le dernier voyage
Chantez-nous cette chanson
Comme un dernier hommage.
Et s’il ne pleure personne
Que Dieu nous le pardonne

Oh ! oh ! oh ! porteurs
Et ascaris aïdo, aïdo aïe safari.
Oh porteurs, et ascaris aïdo, aïdo aïe safari

---

Je m'en souviens encore comme si c'etait hier...
6h15 Habillé dans un treilli puant, reveillé 15 minutes plus tôt par un sergent surnommé bac moins 12. Apres avoir chanté la marseillaise, au pied du drapeau bleu blanc rouge, la voix grave, l'oeuil humide, on entonait au garde a vous La Petite piste...

Un grand moment de poesie...


Désolé, je recommencerai plus...

Tistou 16/01/2005 @ 14:26:58
Pas connu ça Manu55.

Tistou 16/01/2005 @ 14:37:46
Pourquoi? Parce que! de MIOSSEC
dans Brûle

Pourquoi les chansons parlent-elles toujours d'amour?
C'est un sujet inabordable
Pourquoi se toucher rend-il sourd?
A-t-on des preuves irréfutables?
Pourquoi faire les courses au Carrefour
Me rend l'humanité infréquentable?

Pourquoi les fruits tombent-ils toujours
Quand on ne secoue pas l'arbre?
Pourquoi ceux qui t'ont déja fait l'amour
Ne me paraissent pas si désirables?
pourquoi suis-je devenu si lourd?
Regarde je m'enfonce dans le sable.

Comme on ne pose jamais les bonnes questions
Pourquoi aurait-on un jour les bonnes réponses?
Comme on ne pose jamais les bonnes questions
Pourquoi aurait-on un jour les bonnes réponses?

Pourquoi les chansons parlent-elles toujours d'amour?
C'est un sujet indécrottable.
Pourquoi n'as tu jamais crié au secours
Quand tu étais encore fréquentable?
Pourquoi faut-il que je savoure
tes larmes te rendent si désirable.

Comme on ne pose jamais les bonnes questions
Pourquoi aurait-on un jour les bonnes réponses?
Comme on ne pose jamais les bonnes questions
Pourquoi aurait-on un jour les bonnes réponses?

Pourquoi faut-il que tu coures
Après des hommes si vulnérables?
Pourquoi t'ai-je donc fait un jour la cour?
Mon sens de l'humour est lamentable.

MIOSSEC au chevet des âmes blessées. On y trouve ce qu'on cherche.

Lyra will 19/01/2005 @ 20:36:30
Une chanson de Mylène Farmer, pas très gaie, mais très belle, si vous ne l'avez jamais entendue, vous loupez quelque chose ;0)

Il me semble que c'est cette chanson qu'elle a écrit pour son frère, disparu.
Mais je confonds peut être avec "dernier sourire" que je vais poster juste en dessous (désolée pour ceux qui n'aiment psa :0))


"Pas le temps de vivre"

Paroles et Musique: Mylène Farmer 1999 "Innamoramento"


Il est des heures, où
Les ombres se dissipent
La douleur se fige
Il est des heures, où
Quand l'être s ' invincible
La lèpre s'incline
Mais
Si j'avais pu voir qu'un jour
Je serai qui tu hantes
Qu'il me faudrait là, ton souffle.
Pour vaincre l'incertitude
Ecrouer ma solitude

Il est des heures, où
Les notes se détachent
Les larmes s'effacent
Il est des heures, où
Quand la lune est si pâle
L'être se monacale
Mais
Je erre comme une lumière
Que le vent à éteinte
Mes nuits n'ont plus de paupières
Pour soulager une à une,
Mes peurs de n'être plus qu'une.

Je n'ai pas le temps de vivre
Quand s'enfuit mon équilibre
Je n'ai pas le temps de vivre
Aime-moi, entre en moi
Dis-moi les mots qui rendent ivres
Dis-moi que la nuit se déguise
Tu vois, je suis
Comme la mer qui se retire, de
N'avoir pas su trouver tes pas


Il est des heures où
Mes pensées sont si faibles
Un marbre sans veines
Il est des heures où
L'on est plus de ce monde
L'ombre de son ombre
Dis
De quelle clef ai-je besoin
Pour rencontrer ton astre
Il me faudrait la, ta main,
Pour étreindre une à une
Mes peurs de n'être plus qu'une...

Je n'ai pas le temps de vivre
Quand s'enfuit mon équilibre
Je n'ai pas le temps de vivre
Aime-moi, entre en moi
Dis-moi les mots qui rendent ivres
Dis-moi que la nuit se déguise
Tu vois, je suis
Comme la mer qui se retire, de
N'avoir pas su trouver tes pas

Je n'ai pas le temps de vivre
Quand s'enfuit mon équilibre
Je n'ai pas le temps de vivre
Aime-moi, entre en moi
Dis-moi les mots qui rendent ivres
Dis-moi que la nuit se déguise
Tu vois, je suis
Comme la mer qui se retire, de
N'avoir pas su trouver tes pas

Lyra will 19/01/2005 @ 20:38:20
Voici donc :"Dernier sourire"

Paroles: Mylène Farmer


Sentir ton corps,
Tout ton être qui se tord
Souriant de douleur
Sentir ton heure
Poindre au cœur
D'une chambre qui bannit le mot tendre
Sentir ta foi
Qui se dérobe
À chaque fois que tu sembles comprendre
Parles moi encore
Si tu t'endort
Si c'est ton souhait
Je peux t'accompagner
Qui te condamne
Au nom de qui
Mais qui s'acharne
À souffler tes bougies
Est-ce te mentir?
Est-ce te trahir?
Si je t'inventes des lendemains qui chantent
Vois-tu le noir de ce tunnel?
Sais-tu l'espoir quand jaillit la lumière
Ton souvenir ne cessera jamais
De remuer le couteau dans ma plaie

Tistou 20/01/2005 @ 00:43:22
Pas d’ami (comme toi) de Stéphane EICHER

Quand tu traverses la pièce
en silence
que tu passes devant moi
je regarde tes jambes
la lumière
tombant sur tes cheveux

Quand tu t'approches de moi
ton parfum
me fait baisser les yeux
et si tu touches mes mains
je m'arrange
pour ne pas y penser

Je n'ai pas d'ami
comme toi
oh no no no
pas d'autre ami
comme toi

Je comprends mieux le monde
en t'observant
je crois que j'y vois plus clair
je n'ai pas trouvé la clef
du mystère
mais je m'en suis approché

Je n'ai pas d'ami
comme toi
oh no no no
pas d'autre ami
comme toi

Ne te lasse pas de moi
j'ai encore
beaucoup à découvrir
mais danse autour de moi
j'abandonne
si tu danse autour de moi

Oh no no no...

Je n'ai pas d'ami
comme toi
oh no no no
pas d'autre ami
comme toi

Heureux celui qui a un ami. Il ne peut pas être complètement malheureux!

Lyra will 20/01/2005 @ 16:13:01
Heureux celui qui a un ami. Il ne peut pas être complètement malheureux!

Une main suffit largement, en général, pour les conter.

Lyra will 20/01/2005 @ 16:14:03
Tiens un bout de mon message s'est envolé.
Je disais que les amis étaient rares.

Provis

avatar 20/01/2005 @ 18:17:43
Je disais que les amis étaient rares.
Or les choses rares sont chères, donc les amis sont chers.. Bof..

Tistou 20/01/2005 @ 18:29:07
Voir un ami pleurer de Jacques BREL

Bien sûr il y a les guerres d'Irlande
Et les peuplades sans musique
Bien sûr tout ce manque de tendres
Il n'y a plus d'Amérique
Bien sûr l'argent n'a pas d'odeur
Mais pas d'odeur me monte au nez
Bien sûr on marche sur les fleurs
Mais voir un ami pleurer!

Bien sûr il y a nos défaites
Et puis la mort qui est tout au bout
Nos corps inclinent déjà la tête
Étonnés d'être encore debout
Bien sûr les femmes infidèles
Et les oiseaux assassinés
Bien sûr nos cœurs perdent leurs ailes
Mais mais voir un ami pleurer!

Bien sûr ces villes épuisées
Par ces enfants de cinquante ans
Notre impuissance à les aider
Et nos amours qui ont mal aux dents
Bien sûr le temps qui va trop vite
Ces métro remplis de noyés
La vérité qui nous évite
Mais voir un ami pleurer!

Bien sûr nos miroirs sont intègres
Ni le courage d'être juifs
Ni l'élégance d'être nègres
On se croit mèche on n'est que suif
Et tous ces hommes qui sont nos frères
Tellement qu'on n'est plus étonnés
Que par amour ils nous lacèrent
Mais voir un ami pleurer

Quoi de pire que voir un ami pleurer? Merci Brel.

Tistou 22/01/2005 @ 09:17:08
Mourir pour des idées de Georges BRASSENS

Mourir pour des idées, l'idée est excellente
Moi j'ai failli mourir de ne l'avoir pas eu
Car tous ceux qui l'avaient, multitude accablante
En hurlant à la mort me sont tombés dessus
Ils ont su me convaincre et ma muse insolente
Abjurant ses erreurs, se rallie à leur foi
Avec un soupçon de réserve toutefois
Mourrons pour des idées, d'accord, mais de mort lente,
D'accord, mais de mort lente

Jugeant qu'il n'y a pas péril en la demeure
Allons vers l'autre monde en flânant en chemin
Car, à forcer l'allure, il arrive qu'on meure
Pour des idées n'ayant plus cours le lendemain
Or, s'il est une chose amère, désolante
En rendant l'âme à Dieu c'est bien de constater
Qu'on a fait fausse route, qu'on s'est trompé d'idée
Mourrons pour des idées, d'accord, mais de mort lente
D'accord, mais de mort lente

Les saint jean bouche d'or qui prêchent le martyre
Le plus souvent, d'ailleurs, s'attardent ici-bas
Mourir pour des idées, c'est le cas de le dire
C'est leur raison de vivre, ils ne s'en privent pas
Dans presque tous les camps on en voit qui supplantent
Bientôt Mathusalem dans la longévité
J'en conclus qu'ils doivent se dire, en aparté
"Mourrons pour des idées, d'accord, mais de mort lente
D'accord, mais de mort lente"

Des idées réclamant le fameux sacrifice
Les sectes de tout poil en offrent des séquelles
Et la question se pose aux victimes novices
Mourir pour des idées, c'est bien beau mais lesquelles ?
Et comme toutes sont entre elles ressemblantes
Quand il les voit venir, avec leur gros drapeau
Le sage, en hésitant, tourne autour du tombeau
Mourrons pour des idées, d'accord, mais de mort lente
D'accord, mais de mort lente

Encor s'il suffisait de quelques hécatombes
Pour qu'enfin tout changeât, qu'enfin tout s'arrangeât
Depuis tant de "grands soirs" que tant de têtes tombent
Au paradis sur terre on y serait déjà
Mais l'âge d'or sans cesse est remis aux calendes
Les dieux ont toujours soif, n'en ont jamais assez
Et c'est la mort, la mort toujours recommencée
Mourrons pour des idées, d'accord, mais de mort lente
D'accord, mais de mort lente

O vous, les boutefeux, ô vous les bons apôtres
Mourez donc les premiers, nous vous cédons le pas
Mais de grâce, morbleu! laissez vivre les autres!
La vie est à peu près leur seul luxe ici bas
Car, enfin, la Camarde est assez vigilante
Elle n'a pas besoin qu'on lui tienne la faux
Plus de danse macabre autour des échafauds!
Mourrons pour des idées, d'accord, mais de mort lente
D'accord, mais de mort lente

Pragmatique le Georges. Mourir pour des idées? Ca a quand même pu faire avancer certaines situations.

Saint Jean-Baptiste 23/01/2005 @ 22:32:34
Encore une très belle chanson qui réchauffera
Le cœur de nos amis Québécois nombreux sur ce site.


Je reviendrai à Montréal
Dans un grand Bœing bleu de mer
J'ai besoin de revoir l'hiver
Et ses aurores boréales
.
J'ai besoin de cette lumière
Descendue droit du Labrador
Et qui fait neiger sur l'hiver
Des roses bleues, des roses d'or
.
Dans le silence de l'hiver
Je veux revoir ce lac étrange
Entre le cristal et le verre
Où viennent se poser des anges
.
Je reviendrai à Montréal
Ecouter le vent de la mer
Se briser comme un grand cheval
Sur les remparts blancs de l'hiver
.
Je veux revoir le long désert
Des rues qui n'en finissent pas
Qui vont jusqu'au bout de l'hiver
Sans qu'il y ait trace de pas
.
J'ai besoin de sentir le froid
Mourir au fond de chaque pierre
Et rejaillir au bord des toits
Comme des glaçons de bonbons clairs
.
Je reviendrai à Montréal
Dans un grand Bœing bleu de mer
Je reviendrai à Montréal
Me marier avec l'hiver
Me marier avec l'hiver
.
Paroles du Québécois ???
Chanté par Robert Charlebois.

Tistou 24/01/2005 @ 08:28:10
Les ailes d’un ange de Robert CHARLEBOIS

1,2,3,4,5,6,7, Québec
Si j'avais les ailes d'un ange
Je partirais pour Québec
Si j'avais des lumières sur mon bike
Je partirais pour Québec
Si j'avais plus de gazoline
Je monterais touts les belles collines
Quand la noirceur sera venue
J'allum'rais des lumières pour ma vue
So when the twilight falls on the heights
I will light my light for my sight
Et je roulerais dans la nuit
En chantant ces jolies mélodies

J'ai passé de belles nuits à Québec
En te caressant avec des beaux becs
J'ai passé des nuits comme ça à Ottawa
En te caressant, en te tenant dans mes bras
J'ai passé des nuits so so à Toronto
Si j'me rappelle bien, ça fermait un tit peut trop tôt

Je suis un Hell's Angel à pieds
Je roule à bille sur du papier
J'mange des hot-dogs et j'bois du thé
Je suis un Satan's Choice raté
Pour faire comme les vrais robineux
J'm'achète de beaux vieux habits neufs
Quand j'vas sua Main j'mange des guédilles
Je suis un bum de bonne famille
Et quand je fonce vers la lune
C'est ben assis en Volkswagen avec ma brune
J'aurais trop peur sur un chopper
Avec Aline pourvu qu'ça pine
Avec Thérèse fraise contre fraise
Faut pas qu'ça niaise

Si j'avais les ailes d'un ange
Je partirais pour Québec
Si j'avais des lumières sur mon Ford
Je partirais pour Québec
Si j'avais plus de gazoline
Je monterais toutes les belles collines
Quand la noirceur sera venue
J'allum'rais des lumières pour ma vue
So when the twilight falls on the heights
I will light my light for my sight
Et je roulerais dans la nuit
En chantant cette jolie mélodie
1,2,3,4,5,6,7, Québec
1,2,3,4,5,6,7, Québec
1,2,3,4,5,6,7, Québec

Alors restons au Quebec. Elle n'est pas jeune non plus celle là, mais en voilà un qui n'avait pas peur de l'innovation.

Darius
avatar 24/01/2005 @ 09:01:24
Ce n'est pas cette chanson-ci de Julos Beaucarne que j'aurais voulu ajouter, mais bien une autre plus absurde dont je ne retrouve nulle part les paroles.
Si qqun les possède, faites moi signe :
Il s'agisait d'une lettre rédigée à l'administration les informant que son chien étant mort, il ne s'acquitterait plus de la taxe sur les chiens..
Par contre, il leur signalait que sa maison regorgeait d'araignées, de mouches et de souris qui proliféraient paisiblement sans être ni répertoriés ni taxés à ce jour... mais qu'il s'engageait à payer la taxe sur ce petit monde si le réglement le demandait..

Voici de Julos, la ballade à Dubble You :

Mister Dubbel You

L’Arabie n’est plus à ton goût

T’as peur de manquer de benzine

Pour ta limousine

Et rik et rak

Tu as cassé la baraque

De l’Irak

Juste pour des barils

Tu as détruit des villes

Et mis à feu et à sang

Des innocents




Mister Dubble You

Dis moi qui que quoi dont où

Toi le plus puissant parmi nous

Toi qui sais tout, toi qui vois tout

Dis nous Oussama, il est où ?

Il est où ça Oussama

Où est donc le Mollah Omar

Qu’aurait pris la poudre d’escampette

A bord d’une mobylette discrète

Sans être vu par les radars

De tes avions espions mouchards




Mister Dubble You

L’TPI n’est pas à ton goüt

Pour juger des américains

Qui auraient fait des trucs pas très bien

Mais pour Juger Milosevic

On obtient ton satisfecit



Mister Dubble you

Dis moi peux tu dire quelques mots

A propos de Guantanamo

Et des accords de Kyoto

Des mines antipersonnel

qui prolifèrent sous ton aile




Mister Dubble you

Que dirais tu, que dirions nous

Ne serais tu pas aux abois

Si l’Europe envoyait chez toi

Des inspecteurs pour vérifier

Si tu ne fabriques pas des paquets

D’armes de destruction massive

qui mettrait tout à la dérive dérive.




Julos Beaucarne

Tistou 27/01/2005 @ 14:33:36
Offense de Jean GUIDONI/Edith FAMBUENA-Annika GRILL
Dans Trapèze chanté par Jean GUIDONI

Dans les acides senteurs d’opium
Et les faïences opaques
Dont les pastels s’estompent
Les rouges nous traquent.

De quoi as-tu envie ?

Un côté de moi t’offense
Sombre côté dévoilé
Plus acéré que l’absence.

Dans la lumière ambrée
Je n’suis plus que l’otage
De tes deux bras serrés.

De quoi as-tu envie ?

Un côté de moi t’offense
Sombre côté dévoilé
Indécent

Un côté de moi t’offense
Tu pourrais le masquer par ton silence

Mais j’ai pas envie.

Magnifique GUIDONI. La voix, la sensibilité écorchée vive. Et une musique et des arrangements toujours originaux. Trapèze, son dernier, est un magnifique CD.

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