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Je profite de cette contribution pour vous transmettre les vers de Baudelaire (Au Lecteur, Les Fleurs du Mal) qui ont inspiré le titre de cet ouvrage, et qui me fascinent :
"Serré, fourmillant comme un million d'helminthes,
Dans nos cerveaux ribote un peuple de démons,
Et quand nous respirons, la Mort dans nos poumons
Descend, fleuve invisible, avec de sourdes plaintes."
"Serré, fourmillant comme un million d'helminthes,
Dans nos cerveaux ribote un peuple de démons,
Et quand nous respirons, la Mort dans nos poumons
Descend, fleuve invisible, avec de sourdes plaintes."
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