Comme l’a dit Saule, je suis en vacances et mon ordinateur français me branche à nouveau sur Jules 2 alors que cela me déplaît.
Pourquoi Hemingway ? Mais pourquoi Dostoïevski, pourquoi Faulkner, pourquoi Kafka, pourquoi Proust et certains diront aussi pourquoi Céline…
Je dirais tout d’abord que mon rapport avec Hemingway est particulier et assez personnel. C’est à 15 ans que le libraire Corman, au Zoute, m’a fait connaître cet auteur, comme bien d’autres.
Il m’a longuement parlé d’un Hemingway toujours vivant qu’il avait très bien connu à Madrid, pendant la guerre civile, alors qu’ils étaient tous les deux dans les Brigades internationales avec Malraux, Koestler et bien d’autres.
Il me parlait d’un colosse, grand buveur et cherchant toujours les aventures dangereuses. Un homme obsédé par la mort et le suicide, adorant l’Espagne et le courage, la fierté de ses habitants, un homme profondément marqué par la guerre.
Cet auteur, combien charismatique, est donc devenu pour moi bien plus qu’un simple écrivain. Si Sartre était avant tout un intellectuel et un écrivain, Hemingway avait pris la forme d’un être de chair et de sang à la personnalité des plus vivante et toujours à la recherche d’un défi contre soi-même et contre la mort.
A cet âge cela marque et je lui garde toujours une place particulière en moi à ce titre.
Faulkner disait de lui qu’il n’était vraiment pas nécessaire d’avoir un dictionnaire pour le lire tant il utilisait peu de mots. J’adore Faulkner mais je sais aussi ce que Faulkner enviait à Hemingway et il n’a pas hésité à s’approprier indûment un titre et un uniforme de colonel au lendemain de la guerre, alors qu’il n’avait quasiment jamais rien fait !
Est-il aussi nécessaire, pour être un grand écrivain, d’avoir des phrases de trente lignes avec des parenthèses qui en comptent encore davantage ?… Hemingway était un journaliste obsédé par le mot de trop. Ses écrits s’en ressentent et c’est une des raisons pour laquelle il était, probablement, un des meilleurs écrivains de nouvelles. Lui-même a dit qu’il n’avait jamais eu l’intention d’écrire des romans et que ceux-ci n’ont jamais été que des nouvelles trop longues…
Un critique a écrit que l’œuvre d’Hemingway a souffert de ne pas plaire aux femmes, tout au moins celles de son époque. Je pense qu’il n’est pas faux de dire que c’est une œuvre très virile et que cet éternel besoin d’aller chercher le dépassement physique et de soi, ces défis contre la mort, sont en effet des attitudes plus masculines que féminines, ces dernières ne trouvant bien souvent que peu d’utilité à ce genre de comportement, surtout à l’époque.
Son style se veut en effet des plus simples. Mais Antonio Lobo Antunes classe Hemingway comme un « grand » et insiste sur l’énorme qualité de son style et de ses dialogues. Il dit que ce qui frappe chez lui c’est, qu’en le lisant, nous sommes convaincus que ces dialogues sont vrais, alors qu’en réalité personne ne parlerait comme ses personnages. Pour arriver à cette vérité du dialogue, dit Lobo Antunès, cela demande un travail énorme !
Oui, Hemingway est l’auteur du non-dit. Mais nombreux sont ceux qui reprochent à Philip Roth d’en dire trop et de ne plus laisser rêver le lecteur…
Dans « Le soleil se lève aussi » le narrateur est impuissant suite à une blessure de guerre. C’est la raison principale de tout son comportement et c’est à peine si cela est évoqué !…
De mémoire, je n’ai pas le livre ici, le sommet de cet art se retrouve dans sa nouvelle qui s’intitule « Collines comme des éléphants ». Elle ne fait que deux pages, un homme une femme sur un quai de gare et tout le malaise, des plus sensibles, vient d’une situations jamais nommée !
Autre question : doit on aimer Hemingway ?… La réponse me semble aussi évidente que pour d’autres géants de la littérature mondiale et elle est négative.
Certains n’aiment pas Dostoïevski car on ne peut pas dire que son style soit flamboyant et qu’il part dans de grandes envolées et dans mille directions avec beaucoup de personnages aux noms des plus difficiles à retenir… Pourtant un des plus grands écrivains de la littérature mondiale !
D’autres reprochent à Yourcenar, au style parfait et d’une grande intelligence et culture, d’être trop froide. Faulkner serait trop difficile à lire et au style trop lourd. Philip Roth va trop loin dans l’étude de ses personnages. Kadaré serait trop lourd et Montherlant trop rigide… La liste peut s’allonger !
Qui a tort ou raison ?… On aime suivant sa propre sensibilité et ce que l’on cherche ou demande à un auteur. Il me semble assez difficile de donner une autre réponse. Pourquoi je n’aime pas Proust ?…
Jules et pas Jules 2
Pourquoi Hemingway ? Mais pourquoi Dostoïevski, pourquoi Faulkner, pourquoi Kafka, pourquoi Proust et certains diront aussi pourquoi Céline…
Je dirais tout d’abord que mon rapport avec Hemingway est particulier et assez personnel. C’est à 15 ans que le libraire Corman, au Zoute, m’a fait connaître cet auteur, comme bien d’autres.
Il m’a longuement parlé d’un Hemingway toujours vivant qu’il avait très bien connu à Madrid, pendant la guerre civile, alors qu’ils étaient tous les deux dans les Brigades internationales avec Malraux, Koestler et bien d’autres.
Il me parlait d’un colosse, grand buveur et cherchant toujours les aventures dangereuses. Un homme obsédé par la mort et le suicide, adorant l’Espagne et le courage, la fierté de ses habitants, un homme profondément marqué par la guerre.
Cet auteur, combien charismatique, est donc devenu pour moi bien plus qu’un simple écrivain. Si Sartre était avant tout un intellectuel et un écrivain, Hemingway avait pris la forme d’un être de chair et de sang à la personnalité des plus vivante et toujours à la recherche d’un défi contre soi-même et contre la mort.
A cet âge cela marque et je lui garde toujours une place particulière en moi à ce titre.
Faulkner disait de lui qu’il n’était vraiment pas nécessaire d’avoir un dictionnaire pour le lire tant il utilisait peu de mots. J’adore Faulkner mais je sais aussi ce que Faulkner enviait à Hemingway et il n’a pas hésité à s’approprier indûment un titre et un uniforme de colonel au lendemain de la guerre, alors qu’il n’avait quasiment jamais rien fait !
Est-il aussi nécessaire, pour être un grand écrivain, d’avoir des phrases de trente lignes avec des parenthèses qui en comptent encore davantage ?… Hemingway était un journaliste obsédé par le mot de trop. Ses écrits s’en ressentent et c’est une des raisons pour laquelle il était, probablement, un des meilleurs écrivains de nouvelles. Lui-même a dit qu’il n’avait jamais eu l’intention d’écrire des romans et que ceux-ci n’ont jamais été que des nouvelles trop longues…
Un critique a écrit que l’œuvre d’Hemingway a souffert de ne pas plaire aux femmes, tout au moins celles de son époque. Je pense qu’il n’est pas faux de dire que c’est une œuvre très virile et que cet éternel besoin d’aller chercher le dépassement physique et de soi, ces défis contre la mort, sont en effet des attitudes plus masculines que féminines, ces dernières ne trouvant bien souvent que peu d’utilité à ce genre de comportement, surtout à l’époque.
Son style se veut en effet des plus simples. Mais Antonio Lobo Antunes classe Hemingway comme un « grand » et insiste sur l’énorme qualité de son style et de ses dialogues. Il dit que ce qui frappe chez lui c’est, qu’en le lisant, nous sommes convaincus que ces dialogues sont vrais, alors qu’en réalité personne ne parlerait comme ses personnages. Pour arriver à cette vérité du dialogue, dit Lobo Antunès, cela demande un travail énorme !
Oui, Hemingway est l’auteur du non-dit. Mais nombreux sont ceux qui reprochent à Philip Roth d’en dire trop et de ne plus laisser rêver le lecteur…
Dans « Le soleil se lève aussi » le narrateur est impuissant suite à une blessure de guerre. C’est la raison principale de tout son comportement et c’est à peine si cela est évoqué !…
De mémoire, je n’ai pas le livre ici, le sommet de cet art se retrouve dans sa nouvelle qui s’intitule « Collines comme des éléphants ». Elle ne fait que deux pages, un homme une femme sur un quai de gare et tout le malaise, des plus sensibles, vient d’une situations jamais nommée !
Autre question : doit on aimer Hemingway ?… La réponse me semble aussi évidente que pour d’autres géants de la littérature mondiale et elle est négative.
Certains n’aiment pas Dostoïevski car on ne peut pas dire que son style soit flamboyant et qu’il part dans de grandes envolées et dans mille directions avec beaucoup de personnages aux noms des plus difficiles à retenir… Pourtant un des plus grands écrivains de la littérature mondiale !
D’autres reprochent à Yourcenar, au style parfait et d’une grande intelligence et culture, d’être trop froide. Faulkner serait trop difficile à lire et au style trop lourd. Philip Roth va trop loin dans l’étude de ses personnages. Kadaré serait trop lourd et Montherlant trop rigide… La liste peut s’allonger !
Qui a tort ou raison ?… On aime suivant sa propre sensibilité et ce que l’on cherche ou demande à un auteur. Il me semble assez difficile de donner une autre réponse. Pourquoi je n’aime pas Proust ?…
Jules et pas Jules 2
Voila au moins une réponse intéressante et circonstanciée qui relève le niveau du débat sur le forum. Merci Jules.
Merci à Saint-Jean-Baptiste. Les forums passent à une vitesse aussi rapide que les critiques et se perdent bien vite... Je ne connais donc plus le nom de la personne qui a entamé ce débat.
Mais je me souviens qu'elle regrettait l'absence de réactions à son intervention... Par contre, on ne l'entend plus et c'est dommage...
Mais je me souviens qu'elle regrettait l'absence de réactions à son intervention... Par contre, on ne l'entend plus et c'est dommage...
Jules en fait la discussion s'etait poursuivie et avait même bifurquée sur Tolstoi dans le forum original, que tu peux rechercher en allant dans la liste de tous les forums (pas évident de s'y retrouver)
Voici le lien :
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
Voici le lien :
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
Il me semble que tu parles de moi, Jules, et, au passage, je te salue et te remercie de ton intervention circonstanciée.
Mais comme tu le soulignes, la lisibilité d'un site aussi colossal est malaisée, et j'avais posé ma question sur le forum général, pas sur le forum privé de "The Sun also rises", c'est donc totalement par hasard que je lis ta réponse.
Ghislaine et d'autres personnes ont déjà posté des réponses intéressantes à ma question.
Ceci dit, j'ai un problème avec les réputations, et, surtout, les explications littéraires a posteriori. Nous n'allons pas parler ici de goût, ce serait hors de propos, ma question est simplement née du « pourquoi » je me suis cru obligé de lire H., et, ipso facto, pourquoi H. occupe une place aussi grande dans le patrimoine culturel commun.
Autrement dit, après avoir lu un auteur souvent qualifié d'incontournable - pour faire court -, je me suis dit : « Tout ça pour ça ? ».
Je ne peux pas dire regretter de l'avoir lu, il m'a intrigué, sinon plu, mais si je ne craignais les poncifs dangereux, je dirais que si j'avais su, je ne l'aurais pas lu.
Pourquoi ?
Tu dis : « [...] Est-il aussi nécessaire, pour être un grand écrivain, d’avoir des phrases de trente lignes avec des parenthèses qui en comptent encore davantage ?… Hemingway était un journaliste obsédé par le mot de trop. Ses écrits s’en ressentent [...] »
Je ne pense pas que le débat se situe à ce niveau, du moins pas de mon chef. Il s'agit moins de longueur que d'élégance. Allez ! juste pour te faire plaisir, un de mes passages préférés d'un auteur que tu reconnaîtras.
« Autour de nos salles réservées venaient trotter les vieillards de l’hospice d’à côté en bonds inutiles et disjoints. Il s’en allaient crachoter leurs cancans avec leurs caries d’une salle à l’autre, porteurs de petits bouts de ragots de médisances éculées. Ici, cloîtrés dans leur misère officielle comme au fond d’un enclos baveux, les vieux travailleurs broutaient toute la fiente qui dépose autour des âmes à l’issue des longues années de servitude. Haines impuissantes, rancies dans l’oisiveté pisseuse des salles communes. Ils ne se servaient de leurs ultimes et chevrotantes énergies que pour se nuire encore un petit peu et se détruire dans ce qui leur restait de plaisir et de souffle.
Suprême plaisir ! Dans leur carcasse racornie il ne subsistait plus un seul atome qui ne fût strictement méchant. »
Ce n'est pourtant pas un passage anthologique du Voyage, mais il illustre mon propos : la culture anglo-saxonne me semble plus factuelle, pragmatique, là où la culture française virevolte autour du mot pour mieux le cerner et lui donner un sens dont il est au départ dépourvu.
Pour cette même raison – mais le temps est compté, on ne peut tout lire – chaque fois que j'essaye de lire un auteur anglo-saxon « dont on parle » j'éprouve la même déception : aussi intéressant soit la narration, le texte me paraît souvent incroyablement banal, quand l'auteur même ne se complaît pas dans certaines vulgarités que H., au moins, nous épargne. Signe des temps et chez nous aussi des auteurs commencent à céder à la tentation du facile, du choc à bon marché qui va tirer les grosses ficelles qui marchent (sexe, violence, les deux ensemble, et toute cette sorte de choses).
Il te serait facile de m'objecter qu'une pensée construite, essentielle, exprimée platement avec sujet-verbe-complément vaudrait mieux qu'une prose alambiquée qui à trop tourner autour du sujet finit par oublier de quoi elle parle ? Sans doute. Notre littérature française allie l'intelligence au raffinement, quel que puisse être le plaisir de voyager en Russie, en Allemagne et ailleurs, toujours, j'y reviens.
Le temps passe et d'autres mots m'appellent, j'espère vous retrouver bientôt pour d'autres discussions, bonnes vacances à ceux qui ont la chance d'en avoir ! ;)
Mais comme tu le soulignes, la lisibilité d'un site aussi colossal est malaisée, et j'avais posé ma question sur le forum général, pas sur le forum privé de "The Sun also rises", c'est donc totalement par hasard que je lis ta réponse.
Ghislaine et d'autres personnes ont déjà posté des réponses intéressantes à ma question.
Ceci dit, j'ai un problème avec les réputations, et, surtout, les explications littéraires a posteriori. Nous n'allons pas parler ici de goût, ce serait hors de propos, ma question est simplement née du « pourquoi » je me suis cru obligé de lire H., et, ipso facto, pourquoi H. occupe une place aussi grande dans le patrimoine culturel commun.
Autrement dit, après avoir lu un auteur souvent qualifié d'incontournable - pour faire court -, je me suis dit : « Tout ça pour ça ? ».
Je ne peux pas dire regretter de l'avoir lu, il m'a intrigué, sinon plu, mais si je ne craignais les poncifs dangereux, je dirais que si j'avais su, je ne l'aurais pas lu.
Pourquoi ?
Tu dis : « [...] Est-il aussi nécessaire, pour être un grand écrivain, d’avoir des phrases de trente lignes avec des parenthèses qui en comptent encore davantage ?… Hemingway était un journaliste obsédé par le mot de trop. Ses écrits s’en ressentent [...] »
Je ne pense pas que le débat se situe à ce niveau, du moins pas de mon chef. Il s'agit moins de longueur que d'élégance. Allez ! juste pour te faire plaisir, un de mes passages préférés d'un auteur que tu reconnaîtras.
« Autour de nos salles réservées venaient trotter les vieillards de l’hospice d’à côté en bonds inutiles et disjoints. Il s’en allaient crachoter leurs cancans avec leurs caries d’une salle à l’autre, porteurs de petits bouts de ragots de médisances éculées. Ici, cloîtrés dans leur misère officielle comme au fond d’un enclos baveux, les vieux travailleurs broutaient toute la fiente qui dépose autour des âmes à l’issue des longues années de servitude. Haines impuissantes, rancies dans l’oisiveté pisseuse des salles communes. Ils ne se servaient de leurs ultimes et chevrotantes énergies que pour se nuire encore un petit peu et se détruire dans ce qui leur restait de plaisir et de souffle.
Suprême plaisir ! Dans leur carcasse racornie il ne subsistait plus un seul atome qui ne fût strictement méchant. »
Ce n'est pourtant pas un passage anthologique du Voyage, mais il illustre mon propos : la culture anglo-saxonne me semble plus factuelle, pragmatique, là où la culture française virevolte autour du mot pour mieux le cerner et lui donner un sens dont il est au départ dépourvu.
Pour cette même raison – mais le temps est compté, on ne peut tout lire – chaque fois que j'essaye de lire un auteur anglo-saxon « dont on parle » j'éprouve la même déception : aussi intéressant soit la narration, le texte me paraît souvent incroyablement banal, quand l'auteur même ne se complaît pas dans certaines vulgarités que H., au moins, nous épargne. Signe des temps et chez nous aussi des auteurs commencent à céder à la tentation du facile, du choc à bon marché qui va tirer les grosses ficelles qui marchent (sexe, violence, les deux ensemble, et toute cette sorte de choses).
Il te serait facile de m'objecter qu'une pensée construite, essentielle, exprimée platement avec sujet-verbe-complément vaudrait mieux qu'une prose alambiquée qui à trop tourner autour du sujet finit par oublier de quoi elle parle ? Sans doute. Notre littérature française allie l'intelligence au raffinement, quel que puisse être le plaisir de voyager en Russie, en Allemagne et ailleurs, toujours, j'y reviens.
Le temps passe et d'autres mots m'appellent, j'espère vous retrouver bientôt pour d'autres discussions, bonnes vacances à ceux qui ont la chance d'en avoir ! ;)
Voila au moins une réponse intéressante et circonstanciée qui relève le niveau du débat sur le forum. Merci Jules.
A propos du niveau des débats, j'aurais dû préciser que la conversation s'était prolongée sur le forum : Vos écrits "conversations et badinage" le 24 juillet, en page 20.
Mais là, c'était réservé aux purs intellectuels du site (!) tandis qu'ici, ne sévissait que "le clan" des "pseudo-intellos", aux "échanges pompeux et auto-gratifiants" qui piaffent sur la tombe du grand homme... etc... etc...
Mes considérations virtuelles à tous (si, si, à tous...)
:-))
Ben oui, chacun ses idées, ou ses non-idées, surtout chacun ses lieux d'échanges, chacun à son niveau, et c'est très bien comme ça. Le choix, on l'a encore, tant mieux, dont celui de venir sur CL, d'observer, de participer, ou de partir. Parfait.
Merci Saint Jean Baptiste, car de fait ça m'avait échappé. Et ça fait un peu de pub pour cette partie du site que beaucoup ne connaissent pas.
Connaissant les gens qui y discutent (je connais même leur type psychologique :-)) je prends au second degré et n'y vois guère du mépris même si je comprends qu'on puisse en voir (admirez le louvoyement, un vrai jésuite, on va me le reprocher :-)). Par contre c'est dommage que Yali qui visiblement en connait un bout sur H. n'ait pas balancé sa "colère" sur ce fuseau.
Connaissant les gens qui y discutent (je connais même leur type psychologique :-)) je prends au second degré et n'y vois guère du mépris même si je comprends qu'on puisse en voir (admirez le louvoyement, un vrai jésuite, on va me le reprocher :-)). Par contre c'est dommage que Yali qui visiblement en connait un bout sur H. n'ait pas balancé sa "colère" sur ce fuseau.
Chacun ses lieux d'échange ?
Tiens ! Je croyais que tous les lieux d'échange de tous les forums étaient ouverts à tous !
Le droit de choisir, d'observer, de participer, d'accord !
Mais le droit d'injurier ?...
Sans rancune ! :-)
Tiens ! Je croyais que tous les lieux d'échange de tous les forums étaient ouverts à tous !
Le droit de choisir, d'observer, de participer, d'accord !
Mais le droit d'injurier ?...
Sans rancune ! :-)
Chacun ses lieux d'échange ?[...] Le droit de choisir.[...] Mais le droit d'injurier ?...Chacun ces lieux d'échanges que chacun choisit, ce n'était pas assez clair ?? Et pour les injures, un fantasme ?
Non, non Saule ! t'es pas Jésuite pour deux sous (excuse-moi, mais un Jésuite c'est plus subtile ! :-))
On cherche un "modérateur" pour le site. si tu poses ta candidature, je t'appuierai !
;-))
On cherche un "modérateur" pour le site. si tu poses ta candidature, je t'appuierai !
;-))
Par contre c'est dommage que Yali qui visiblement en connait un bout sur H. n'ait pas balancé sa "colère" sur ce fuseau.Là, je te rejoins Saule, cela aurait mis un peu de piment au débat, mais il faudra le lui demander à son retour. M'est avis qu'il déclinera l'offre, mais je ne m'avancerai pas pour lui.
Mais oui, bien sûr je "fantasmais" !!!???
Mais je vais te trouver des circonstances atténuantes : il était près de minuit, le soleil avait bien donné toute la journée, la kronembourg était si bonne...
Tout ça échauffe un peu, ...hein ?
Mais je vais te trouver des circonstances atténuantes : il était près de minuit, le soleil avait bien donné toute la journée, la kronembourg était si bonne...
Tout ça échauffe un peu, ...hein ?
Non, non Saule ! t'es pas Jésuite pour deux sous (excuse-moi, mais un Jésuite c'est plus subtile !Manière très subtile de dire que Saule ne s'est pas vraiment rendu compte du niveau des gens de l'autre forum qu'il dit gagner à être connu, le forum...
le soleil avait bien donné toute la journée, la kronembourg était si bonne...Voilà !!! Ca c'est une véritable insulte !!!!!!!!!! Ecrire Kronenbourg avec un M !!!!!!!!!!!!!!
Tout ça échauffe un peu, ...hein ?
Voilà !!! Ca c'est une véritable insulte !!!!!!!!!! Ecrire Kronenbourg avec un M !!!!!!!!!!!!!!
La vraie injure c'est de boire de la bière française. Pour un Belge ! Même à Tours ils connaissent notre blanche de Belgique apparemment :-). D'ailleurs c'est vrai ça, c'est l'heure de la bière, histoire de me remonter et de vous mettre tous en boite, moi le jésuite pas très subtil.
Moi, la Blanche que je connais bien pour l'avoir fréquentée plusieurs fois, c'es la Hoeggarden... Et je crois bien qu'elle se trouve de l'autre côté de la frontière...
Mais bon, au final, je préfère quand même les brunes irlandaises ou les ambrées anglaises...
Mais on s'éloigne d'Hernest, là, qui était plutôt whisky, non?
Mais bon, au final, je préfère quand même les brunes irlandaises ou les ambrées anglaises...
Mais on s'éloigne d'Hernest, là, qui était plutôt whisky, non?
D'ailleurs c'est vrai ça, c'est l'heure de la bière, histoire de me remonter et de vous mettre tous en boite, moi le jésuite pas très subtil.G'sunheit Saule, mais ne sois pas trop dur. Non, aucune crainte, je pense que la méchanceté tu sais ce que c'est mais seulement pour l'avoir vue chez les autres. Ca me fait penser à une blague - bon d'accord, on est bien loin du sujet du forum ! - Quelqu'un dit "moi, le travail, je sais ce que c'est, je l'ai vu faire...". On peut prononcer cette phrase avec l'accent qu'on veut...
Hoegarden, c'est du bon coté de la frontière, à Brugges (quoique du coté flamand donc, mais cette frontière linguistique c'est purement politique, hein Féline ?)
Alors une pathologie supplémentaire pour ce grand Monsieurs. Voila qui me le rend H. un peu plus sympathique.
Alors une pathologie supplémentaire pour ce grand Monsieurs. Voila qui me le rend H. un peu plus sympathique.
D'accord pour la bière française, mais ça se passait en Alsace, non ? (entre m et n ça change le gout ?)
Allez !
- Chef : trois blanches !
- Trois blanches qui marchent !
- Gezondheid !
Allez !
- Chef : trois blanches !
- Trois blanches qui marchent !
- Gezondheid !
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