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Le titre de la critique d'Elya m'interpelle (au sens large, pas au sujet d'Erri de Luca)
J'ai tendance au contraire à penser qu'un écrivain, quel qu'il soit, à tout à prouver à nouveau à chaque fois qu'il se remet à écrire.
Et vous, qu'en pensez-vous?
J'ai tendance au contraire à penser qu'un écrivain, quel qu'il soit, à tout à prouver à nouveau à chaque fois qu'il se remet à écrire.
Et vous, qu'en pensez-vous?
Pas d'accent sur le deuxième "a".
J'estime qu' "Un écrivain n'a plus besoin de faire ses preuves" auprès du monde de l'édition (en tout cas de la "grande" édition). Si ce livre avait écrit par l'auteur d'un premier roman complètement inconnu, j'ai l'impression qu'il n'aurait jamais été édité.
Auprès du public, en revanche, c'est différent.
Concernant les auteurs à succès qui publient chaque année, on a aussi l'impression qu'ils n'ont plus vraiment besoin de faire leur preuve vis-à-vis du lectorat grand public.
Auprès du public, en revanche, c'est différent.
Concernant les auteurs à succès qui publient chaque année, on a aussi l'impression qu'ils n'ont plus vraiment besoin de faire leur preuve vis-à-vis du lectorat grand public.
C'est ma deuxième expérience "Erri De Luca" et j'avoue être séduit par la puissance (poétique et de fond) de ses romans.
En effet, les 70 pages de cette oeuvre peuvent laisser croire à une "passade d'écrivain" mais je n'ai pas eu du tout cette impression .
Assurément un très grand écrivain .
En effet, les 70 pages de cette oeuvre peuvent laisser croire à une "passade d'écrivain" mais je n'ai pas eu du tout cette impression .
Assurément un très grand écrivain .
C'est ma deuxième expérience "Erri De Luca" et j'a.voue être séduit par la puissance (poétique et de fond) de ses romans.
En effet, les 70 pages de cette oeuvre peuvent laisser croire à une "passade d'écrivain" mais je n'ai pas eu du tout cette impression .
Assurément un très grand écrivain .
Séduite aussi par la plume d'Erri DE Luca !
J'approuve Frunny quand il parle de très grand écrivain
Le titre de la critique d'Elya m'interpelle (au sens large, pas au sujet d'Erri de Luca),
J'ai tendance au contraire à penser qu'un écrivain, quel qu'il soit, à tout à prouver à nouveau à chaque fois qu'il se remet à écrire.
Et vous, qu'en pensez-vous?
Personnellement, pour un si grand écrivain, je dirais comme Elya.
Tout est bon chez lui, non ?
Si je penche naturellement du côté de Sissi, de manière instinctive, les deux points de vue ne sont pas incompatibles.
J'en profite pour saluer le retour de Elya sur le site, je ne sais pas si vous aviez remarqué, mais ça fait plaisir.
L'expression "besoin de faire ses preuves" est toujours assez surprenante et complexe...
A la fois parce qu'un être humain pourrait bien s'appuyer sur son expérience, son passé, son histoire, ses réalisations - et ce n'est pas que pour un écrivain - mais par ailleurs ce n'est jamais une garantie, ni pour lui ni pour ses clients, spectateurs, lecteurs... Nous sommes donc condamnés à faire nos preuves...
On sait par expérience qu'un auteur que l'on apprécie - je n'ose pas dire qui est bon - peut nous décevoir un jour comme s'il s'était endormi sur ses lauriers...
A titre personnel, comme prof, je sais que je dois systématiquement, à chaque cours, faire mes preuves... et un jeune adulte est impitoyable le jour où on est moins bon, moins performant, moins à l'écoute... On doit toujours faire nos preuves... Heureusement, la retraite est bientôt là...
A la fois parce qu'un être humain pourrait bien s'appuyer sur son expérience, son passé, son histoire, ses réalisations - et ce n'est pas que pour un écrivain - mais par ailleurs ce n'est jamais une garantie, ni pour lui ni pour ses clients, spectateurs, lecteurs... Nous sommes donc condamnés à faire nos preuves...
On sait par expérience qu'un auteur que l'on apprécie - je n'ose pas dire qui est bon - peut nous décevoir un jour comme s'il s'était endormi sur ses lauriers...
A titre personnel, comme prof, je sais que je dois systématiquement, à chaque cours, faire mes preuves... et un jeune adulte est impitoyable le jour où on est moins bon, moins performant, moins à l'écoute... On doit toujours faire nos preuves... Heureusement, la retraite est bientôt là...
L'expression "besoin de faire ses preuves" est toujours assez surprenante et complexe...
A la fois parce qu'un être humain pourrait bien s'appuyer sur son expérience, son passé, son histoire, ses réalisations - et ce n'est pas que pour un écrivain - mais par ailleurs ce n'est jamais une garantie, ni pour lui ni pour ses clients, spectateurs, lecteurs... Nous sommes donc condamnés à faire nos preuves...
On sait par expérience qu'un auteur que l'on apprécie - je n'ose pas dire qui est bon - peut nous décevoir un jour comme s'il s'était endormi sur ses lauriers...
A titre personnel, comme prof, je sais que je dois systématiquement, à chaque cours, faire mes preuves... et un jeune adulte est impitoyable le jour où on est moins bon, moins performant, moins à l'écoute... On doit toujours faire nos preuves... Heureusement, la retraite est bientôt là...
Quelle sagesse Shelton ! Je t'envie et admire cette sagesse moi qui ai encore tant de mal , mais il serait bien temps quand même pour moi d'être enfin sage : -) sans renoncer pour autant à mes idéaux. Ce dont je suis sûre c'est que même à la retraite tu continueras à servir les tiens...Merci pour cet exemple !
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