Quel roman !!! une véritable ogive nucléaire...
Et dire que certains justifient l'abolition de la peine de mort en invoquant la "supériorité" de l'Homme sur l'Animal.. Ouarffffff !!!
En effet, l'Homme n'est pas un animal, il est 100 fois pire dans ses actes barbares (vis à vis de la Nature, des animaux et... des siens )
Alors; qu'on arrête de nous bassiner avec la soit-disante supériorité de l'Homme sur l'Animal !
Et dire que certains justifient l'abolition de la peine de mort en invoquant la "supériorité" de l'Homme sur l'Animal.. Ouarffffff !!!
En effet, l'Homme n'est pas un animal, il est 100 fois pire dans ses actes barbares (vis à vis de la Nature, des animaux et... des siens )
Alors; qu'on arrête de nous bassiner avec la soit-disante supériorité de l'Homme sur l'Animal !
Frunny dans Anima ce n'est pas la question de l'Homme qui est posée ,il me semble, ni même de sa supériorité par rapport à l'animal. C'est la question de la violence. Pourquoi des êtres dits évolués, et ils le sont, sont-ils capables d'une cruauté intentionnelle comme tuer volontairement un être humain,et la peine de mort appartient à cette cruauté...ce n'est pas une violence animale en l'homme qui le pousse à tuer mais une violence réfléchie auto-destructrice puisqu'il s'accorde le droit de tuer donc d'être aussi tué...la peine de mort est le summum de l'indignité de l'homme...
"Anima" est vraiment pour moi, le dernier choc littéraire de ces dernières années.
C'est vrai qu'à partir du regard de tous ces animaux témoins de ces scènes de violence, l'auteur parvient à installer très efficacement le lecteur dans une empathie déstabilisante.
C'est d'autant plus troublant qu'il élabore ces visions à partir
des caractéristiques biologiques de chaque animal dont l'étonnement, la crainte puis l'ébahissement devant ces comportements sont efficacement décrits.
A relire.
Chapeau!
C'est vrai qu'à partir du regard de tous ces animaux témoins de ces scènes de violence, l'auteur parvient à installer très efficacement le lecteur dans une empathie déstabilisante.
C'est d'autant plus troublant qu'il élabore ces visions à partir
des caractéristiques biologiques de chaque animal dont l'étonnement, la crainte puis l'ébahissement devant ces comportements sont efficacement décrits.
A relire.
Chapeau!
Quel roman !!! une véritable ogive nucléaire...
Et dire que certains justifient l'abolition de la peine de mort en invoquant la "supériorité" de l'Homme sur l'Animal.. Ouarffffff !!!
En effet, l'Homme n'est pas un animal, il est 100 fois pire dans ses actes barbares (vis à vis de la Nature, des animaux et... des siens )
Alors; qu'on arrête de nous bassiner avec la soit-disante supériorité de l'Homme sur l'Animal !
Supériorité, infériorité, égalité... en quoi, selon quoi ? Il faut donner un critère, l'infériorité et la supériorité tout court ça ne veut rien dire. C'est comme se poser la question de la supériorité, de l'infériorité, de l'égalité entre noirs et blancs, hommes et femmes, ou plus globalement entre deux individus. Il faut trouver des critères, sinon ça ne veut rien dire (plus ou moins intelligent, plus ou moins fort, plus ou moins libre, plus ou moins en bonne santé, plus ou moins âgé).
Il y a énormément de critères où l'homme est supérieur à l'animal. Plein d'autres où l'animal (et encore, lequel ?) est supérieur à l'homme. Après on pourra sélectionner ce qui nous paraît important mais globalement ces questions d'égalité, de supériorité, d'infériorité ne mènent jamais à grand-chose sinon au nazisme ou à l'égalitarisme.
Supériorité, infériorité, égalité... en quoi, selon quoi ? Il faut donner un critère, l'infériorité et la supériorité tout court ça ne veut rien dire. C'est comme se poser la question de la supériorité, de l'infériorité, de l'égalité entre noirs et blancs, hommes et femmes, ou plus globalement entre deux individus. Il faut trouver des critères, sinon ça ne veut rien dire (plus ou moins intelligent, plus ou moins fort, plus ou moins libre, plus ou moins en bonne santé, plus ou moins âgé).
Il y a énormément de critères où l'homme est supérieur à l'animal. Plein d'autres où l'animal (et encore, lequel ?) est supérieur à l'homme. Après on pourra sélectionner ce qui nous paraît important mais globalement ces questions d'égalité, de supériorité, d'infériorité ne mènent jamais à grand-chose sinon au nazisme ou à l'égalitarisme.
Relis moi bien avant d'écrire que "ça ne veut rien dire"....
J'ai volontairement pris l'exemple des abolitionnistes qui utilisent l'argument de "l'animalité". En résumé : " l'Homme n'est pas un animal... il réfléchit, il pardonne, il a l'intelligence nécessaire pour ne pas tuer pour sortir son prochain de la société des hommes"....
Ce roman démontre (même si ce n'est plus à prouver) que l'Homme est un nuisible et que le Nature se porterait mieux sans lui.
J'ai bien compris que cet aspect du roman n'est pas le plus important mais il est explicitement mis en évidence .
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