Le jardin de Badalpour de Kenizé Mourad
Catégorie(s) : Littérature => Biographies, chroniques et correspondances
Moyenne des notes : (basée sur 3 avis)
Cote pondérée : (51 261ème position).
Visites : 8 076 (depuis Novembre 2007)
Retour au pays
J'ai été tellement enthousiasmé par "De la part de la princesse morte", que je me suis jeté sur ce livre dès qu'il est sorti.
Ici, Kénizé Mourad nous raconte sa vie de petite orpheline élevée en France, ballottée à gauche et à droite dans plusieurs foyers adoptifs, ses études à la Sorbonne, et sa vie de jeune adulte. Ses retrouvailles avec son père, le rajah de Badalpour, et ses bagarres avec ses frères pour faire respecter ses droits à la succession de son père.
Même si ce lire est agréable à lire, on n'y retrouve malheureusement pas le souffle du premier. Bien que la vie de Zahr (c'est le nom qu'elle se donne dans ce roman autobiographique) soit de loin moins passionnante que celle de sa mère, on suit néanmoins avec intérêt les pérégrinations des personnages.
Les éditions
-
Le jardin de Badalpour [Texte imprimé], roman Kenizé Mourad
de Mourad, Kenizé
Fayard
ISBN : 9782213601267 ; 25,40 € ; 11/05/1998 ; 553 p. ; Relié
Les livres liés
Pas de série ou de livres liés. Enregistrez-vous pour créer ou modifier une série
Les critiques éclairs (2)
» Enregistrez-vous pour publier une critique éclair!
Déception
Critique de MeliMelo (, Inscrite le 18 novembre 2010, 36 ans) - 17 février 2016
Aussitôt terminé, je me suis lancée dans ce qui peut être présenté comme une suite de cette saga familiale, qui raconte cette fois la vie de la fille Zahr, née à Paris orpheline et dans la misère.
Cette suite, écrite dix ans plus tard, est beaucoup plus autobiographique, alors que la vie de Selma avait été en grande partie imaginée par sa fille. J'ai été assez déçue. Bien sûr, puisque c'est plus autobiographique, on perd beaucoup du côté romanesque. Bien sûr, puisque la fille a imaginé la vie de sa mère d'après ses propres sensations, ses propres souvenirs, de nombreux passages semblent des redites de scènes déjà décrites dans le premier roman: l'arrivée en Inde, la maladie de Selma en Inde puis celle de Zahr en Inde, leur révolte impuissante contre les injustices...
Ici le roman prend parfois des airs journalistiques, notamment toute la dernière partie qui décrit les soulèvements contre les musulmans en Inde en 1962.
Dans l'ensemble, on ne retrouve pas la même magie dans ce deuxième roman que dans le premier.
Retour aux sources
Critique de Izora (bruxelles, Inscrite le 1 juillet 2005, 53 ans) - 20 septembre 2006
Mais la vie n'est-elle faite que de coeur et d'émotion ? Non ! C'est SON autobiographie et non une histoire faite pour nous plaire.... J'admire en tout cas sa force de caractère, son tempérament, son courage pour avoir vécu toutes ces choses et d'avoir eu l'envie de partager un bout de sa vie avec nous.
Forums: Le jardin de Badalpour
Il n'y a pas encore de discussion autour de "Le jardin de Badalpour".