La maison des sept jeunes filles de Georges Simenon
La maison des sept jeunes filles de Georges Simenon
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
Critiqué par JEANLEBLEU, le 6 juin 2005
(Orange, Inscrit le 6 mars 2005, 56 ans)
Critiqué par JEANLEBLEU, le 6 juin 2005
(Orange, Inscrit le 6 mars 2005, 56 ans)
La note :
Moyenne des notes : (basée sur 4 avis)
Cote pondérée : (1 562ème position).
Visites : 5 575 (depuis Novembre 2007)
Moyenne des notes : (basée sur 4 avis)
Cote pondérée : (1 562ème position).
Visites : 5 575 (depuis Novembre 2007)
Quelle ambiance !
La célèbre ambiance simenonienne a encore frappé dans ce court roman !
Mais, cette fois, elle s'accompagne d'une histoire presque légère qui se "termine" de façon gaie.
Personnellement, je suis tombée amoureux de Coco.
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Les éditions
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La Maison des sept jeunes filles de Georges Simenon
de Simenon, Georges
Flammarion / Folio
ISBN : 9782070367320 ; 6,90 € ; 14/04/1976 ; 171 p. ; Broché
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Une maison de fous.
Critique de Pierrot (Villeurbanne, Inscrit le 14 décembre 2011, 73 ans) - 14 août 2020
Intrigue.
Guillaume Adelin est professeur d'histoire au lycée de Caen (Calvados, France). Sa femme lui a donné sept filles, dont les âges s'échelonnent entre seize et vingt-sept ans. Adelin se trouve dans une situation financière difficile en raison de l'emprunt qu'il a contracté pour l'achat de sa maison, auprès de M. Rorive (soixante ans), un ancien négociant aujourd'hui veuf.
Commentaire:
Pour clore en beauté l’année 1941, Simenon surprend avec ce roman original, très enlevé, et plein de verve. De mémoire c’est la première fois des romans lus jusqu’à présent que mon auteur préféré utilise autant d’humour et de légèreté. Avec comme cerise sur le gâteau une « Coco » qui fait preuve non seulement d’humanité sans être gauche, mais en plus d’opportunisme en tirant, ici, son épingle du jeu… Étonnant.
Guillaume Adelin est professeur d'histoire au lycée de Caen (Calvados, France). Sa femme lui a donné sept filles, dont les âges s'échelonnent entre seize et vingt-sept ans. Adelin se trouve dans une situation financière difficile en raison de l'emprunt qu'il a contracté pour l'achat de sa maison, auprès de M. Rorive (soixante ans), un ancien négociant aujourd'hui veuf.
Commentaire:
Pour clore en beauté l’année 1941, Simenon surprend avec ce roman original, très enlevé, et plein de verve. De mémoire c’est la première fois des romans lus jusqu’à présent que mon auteur préféré utilise autant d’humour et de légèreté. Avec comme cerise sur le gâteau une « Coco » qui fait preuve non seulement d’humanité sans être gauche, mais en plus d’opportunisme en tirant, ici, son épingle du jeu… Étonnant.
Ju-bi-la-toire !
Critique de Catinus (Liège, Inscrit le 28 février 2003, 73 ans) - 11 février 2011
Présentation de la famille.
Le père, Guillaume Adelin, prof d’histoire, qui adule Guillaume-le-Conquérant ; la mère, « tellement heureuse d’avoir eu sept filles qu’elle se contente de sourire aux anges « .
Et puis les filles : Huguette, 22 ans, fiancée ( ou presque ) à Gérard ; Rolande, la plus belle ; Roberte, l’aînée, 23 ans, la plus brave ; Clotilde, institutrice ; Elisabeth, vendeuse ; et les jumelles, 16ans et demi ( presque 17 ), Mimi et Coco ( Colette) espiègle, délurée.
On habite dans une nouvelle maison, à peu près non-payée. Derrière, il ya un prêteur, qui parle d’argent toutes les minutes, monsieur Rorive, ancien fromager et rentier … et bientôt les huissiers.
On ne s’y ennuie pas du tout (pas le temps ). Il y a des portes qui claquent, des rires, des pleurs et des grincements de dents. Mais tout finira par s’arranger.
Ju-bi-la-toire !
Cette nouvelle est suivie par une autre : « Le châle de Marie Dudon « , ou comment ne pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir enterré …
Le père, Guillaume Adelin, prof d’histoire, qui adule Guillaume-le-Conquérant ; la mère, « tellement heureuse d’avoir eu sept filles qu’elle se contente de sourire aux anges « .
Et puis les filles : Huguette, 22 ans, fiancée ( ou presque ) à Gérard ; Rolande, la plus belle ; Roberte, l’aînée, 23 ans, la plus brave ; Clotilde, institutrice ; Elisabeth, vendeuse ; et les jumelles, 16ans et demi ( presque 17 ), Mimi et Coco ( Colette) espiègle, délurée.
On habite dans une nouvelle maison, à peu près non-payée. Derrière, il ya un prêteur, qui parle d’argent toutes les minutes, monsieur Rorive, ancien fromager et rentier … et bientôt les huissiers.
On ne s’y ennuie pas du tout (pas le temps ). Il y a des portes qui claquent, des rires, des pleurs et des grincements de dents. Mais tout finira par s’arranger.
Ju-bi-la-toire !
Cette nouvelle est suivie par une autre : « Le châle de Marie Dudon « , ou comment ne pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir enterré …
un Simenon plus léger qu'à l'accoutumée.
Critique de Killeur.extreme (Genève, Inscrit le 17 février 2003, 42 ans) - 8 mai 2009
Guillaume Adelin, professeur d'histoire, a une femme "absente", il élève donc seul ses sept filles, chacune a son propre caractère. Or la maison de la famille a été financée à hauteur de 60'000 francs par un anciens fromager qui se fait pressant quand au remboursement, Guillaume espère marier sa fille Huguette avec Gérard, un beau parti, mais la fête organisée par Adelin pour séduire le prétendant est totalement ruinée par l'incruste créancier et les filles Adelin.
Si Adelin a sept filles , celle qui nous marquera à la fin de la lecture de ce court roman, c'est Coco, la légèreté du livre vient pour la plupart de ce personnage insolent et franc (la scène avec les huissiers est dédramatisée). Certaines scène font penser à un vaudeville, mais la légèreté ne fait pas oublier que la situation est dramatique, une famille va se faire expulser, le créancier qui a 60-70 ans avouant à Coco, 16 ans et demi, qu'il désire épouser une des sept filles, elle de préférence.
Dans l'édition Folio policier, le roman est suivi d'une nouvelle: "le Châle de Marie Dudon" Marie Dudon assiste involontairement, depuis sa fenêtre, à l'assassinat de Cassieux, riche et avare propriétaire de biens immobiliers, par sa femme Mathilde, Marie Dudon se met en tête de faire chanter Mathilde Cassieux...
Si Adelin a sept filles , celle qui nous marquera à la fin de la lecture de ce court roman, c'est Coco, la légèreté du livre vient pour la plupart de ce personnage insolent et franc (la scène avec les huissiers est dédramatisée). Certaines scène font penser à un vaudeville, mais la légèreté ne fait pas oublier que la situation est dramatique, une famille va se faire expulser, le créancier qui a 60-70 ans avouant à Coco, 16 ans et demi, qu'il désire épouser une des sept filles, elle de préférence.
Dans l'édition Folio policier, le roman est suivi d'une nouvelle: "le Châle de Marie Dudon" Marie Dudon assiste involontairement, depuis sa fenêtre, à l'assassinat de Cassieux, riche et avare propriétaire de biens immobiliers, par sa femme Mathilde, Marie Dudon se met en tête de faire chanter Mathilde Cassieux...
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