Le malade imaginaire de Molière
Catégorie(s) : Théâtre et Poésie => Théâtre
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Pas mal
Je trouve que le livre " le malade imaginaire " écrit par molière dénonce beaucoup " d'escroqueries " faites dans son temps.
En quelque sorte, dans ce livre, il critiquait " lourdement " les médecins de l'époque en disant beaucoup de méchancetés à leur propos. Il avait peut être raison car, après tout,j e pense que s'il ne le pensait pas, il n'aurai jamais eu l'inspiration pour écrire ce livre qui est aussi une pièce de théàtre. Jouer la pièce, ou aller la voir au théàtre, c'est quand même mieux que de la lire. Mais ça peut aller car cette pièce est plutôt courte.
Les éditions
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Le malade imaginaire [Texte imprimé], comédie-ballet Molière éd. présentée, annotée et commentée par Jean-François Castille,...
de Molière, Castille, Jean-François (Editeur scientifique)
Larousse-Bordas / Petits classiques Larousse.
ISBN : 9782038716665 ; 0,81 € ; 01/01/1998 ; 255 p. ; Poche -
Le malade imaginaire [Texte imprimé] Molière éd. présentée, établie et annotée par Georges Couton
de Molière, Couton, Georges (Editeur scientifique)
Gallimard / Collection Folio.
ISBN : 9782070411207 ; 1,60 € ; 12/10/1999 ; 305 p. ; Poche -
Le malade imaginaire [Texte imprimé] Molière présentation, notes, chronologie et dossier par Loïc Marcou,...
de Molière, Marcou, Loïc (Editeur scientifique)
Flammarion / Étonnants classiques (Paris)
ISBN : 9782081209442 ; 2,29 € ; 07/09/2007 ; 168 p. ; Poche -
Le Malade imaginaire [Texte imprimé], comédie mêlée de musique et de danses Molière préf. de Jean Le Poulain ; commentaires et notes d'Alain Lanavère
de Molière, Lanavère, Alain (Editeur scientifique) Le Poulain, Jean (Autre)
le Livre de poche / Le Livre de poche. Classique. Théâtre
ISBN : 9782253037941 ; 0,01 € ; 01/01/1986 ; 155 p. ; Poche -
Le malade imaginaire
de Molière,
Saga Egmont French
ISBN : 9788726765328 ; 02/06/2021 ; 104 p. ; Epub
Les livres liés
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Les critiques éclairs (7)
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Molière chante la paternité
Critique de Froidmont (Laon, Inscrit le 28 octobre 2022, 33 ans) - 5 août 2023
Molière a tout donné pour déclencher le rire. Cette pièce est brillante et pourrait bien guérir la plus enracinée de nos morosités. Toinette par son art et par ses libertés concentre presque tout le comique sur scène : incisive, ironique, astucieuse sans peine, c’est tout à fait Scapin tourné au féminin, à ceci près ma foi que Scapin est gredin, quand Toinette est fidèle et ne se fait mutine que pour pouvoir contrer les maximes latines et servir de son mieux la flamme d’Angélique et libérer son maître de gens méphitiques.
Argan aussi me marque. La plume de Molière ne crée que rarement la tendresse d’un père, car c’est souvent de lui que vient l’opposition. Je ne vois que Chrysale ayant cette passion. Mais Argan n’y est pas le seul hommage au père, car Monsieur Diafoirus en a tout autant l’air ; si son fils est idiot et n’est qu’une mémoire, transparaît dans ses mots ce qu’il place d’espoir et d’aveugle passion en son enfant chéri, pour lequel il fait tout, qu’il forme et initie. Il souhaite son bonheur en père attentionné et ne le conçoit qu’à l’aune de ce qu’il est.
Par contre ces églogue et deuxième intermède étaient des plus mauvais, deux pièces vraiment laides et très mal inspirées, pour l’églogue surtout. Je sais bien que ce genre est codifié en tout, mais je ne l’aime pas pour sa pompe ordinaire, son air de flatterie, de lécheur de derrière ! Sous couleur de lâcher de nombreux compliments, on fait un texte pauvre littérairement. J’ai lu en soupirant cette églogue initiale, et refermé le livre d’un geste glacial. Si je n’avais pas su que c’était un Molière, tout serait fini là sans regard en arrière. Ô rois, pourquoi faut-il que vous fussiez friands pour chanter vos exploits d’écrits aussi méchants ? Vos gloires valaient-elles de telles zébrures au visage charmant de la littérature ?
j'ai bien aimé
Critique de Cédelor (Paris, Inscrit le 5 février 2010, 52 ans) - 21 octobre 2015
Appréciation personnelle de "La malade imaginaire"
Critique de Marja (, Inscrite le 1 octobre 2013, 57 ans) - 1 octobre 2013
Livre las
Critique de Editeurdecritiques (, Inscrit le 5 juin 2008, 27 ans) - 5 juin 2008
La médecine, placebo du XVIIIème siècle
Critique de Oxymore (Nantes, Inscrit le 25 mars 2005, 52 ans) - 3 juin 2007
Angélique est éprise de Cléante mais son père, Argan, convaincu d'être perpétuellement malade, veut lui donner la main de Thomas Di
afoirus qui s'apprête à suivre la voix de son père, la médecine.
Bien aidée par sa femme, Béline, dont le dessein secret est de mettre la main sur son argent, Argan ne veut rien entendre.
C'est ainsi qu'il faudra toute la malice de Béralde (frère d'Argan) et de Toinette (servante) pour mettre à jour le peu de scrupule d'une femme et l'amour sincère d'une fille pour mener à bien les transports amoureux de nos deux tourtereaux qui joueront d'ailleurs une belle pièce pastorale à Argan pour tenter habilement de le tromper.
Molière s'amuse ici à critiquer vertement les médecins qu'ils semble considérer le plus souvent comme des escrocs savants
Citation:
Béralde: Si fait, mon frère. Ils savent la plupart de fort belles humanités, savent parler en beau latin, savent nommer en grec toutes les maladies, les définir et les diviser; mais, pour ce qui est de les guérir, c'est ce qu'ils ne savent point du tout
La grandiloquence et le pompeux du vocabulaire médical qui cherche à effrayer Argan, confortent le lecteur dans le jugement porté sur la médecine. Ajoutons à cela le ridicule de Thomas Diafoirus qui semble réciter sa demande en mariage comme il décline ses formules médicales, et on a là encore un petit bonheur de théâtre.
D'accord avec vous deux!
Critique de Lolita (Bormes les mimosas, Inscrite le 11 décembre 2001, 38 ans) - 5 février 2002
que The Beauty!!! Mais je suis toute fois d'accord avec Thémis!
légère différence de point de vue...
Critique de Thémis (Ligny, Inscrite le 17 avril 2001, 54 ans) - 19 juillet 2001
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