Les Chroniques de Narnia, tome 1 : Le Neveu du magicien de Clive Staples Lewis
(The Magician's Nephew)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone , Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique
Moyenne des notes : (basée sur 13 avis)
Cote pondérée : (12 423ème position).
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Merveilleux
Je me souviens...
Je m'étais tapi dans un coin du salon, avec une petite lampe sur le bord... Les yeux brillants d'excitation, je lisais furieusement les pages de ce livre qui m'a tant fait rêver...
Nous sommes dans le vieux Londres. Polly, une jeune fille convenable, rencontre son nouveau voisin, le jeune Digory. Celui-ci est triste car sa mère, sa pauvre mère, est atteint d'une grave maladie et est mourante. Il vit avec elle, sa tante, et son oncle, un peu farfelu et fou.
Une fois, lors de ses nombreuses escapades avec sa nouvelle copine, Polly, il est attiré par un piège dans le laboratoire de son oncle. Celui-ci réussit par la ruse à emmener Polly dans un autre monde. Digory est forcé de l'accompagner...
Ainsi commencent les Chroniques de Narnia.
La 1ère fois que j'ai lu ce livre, je devais avoir 9 ans. J'ai tout simplement A-D-O-R-E. Cette atmosphère, cette magie... Tout les ingrédients sont là pour émerveiller un jeune de 9 ans féru de lecture. Dans ce tome, l'on raconte la création de Narnia, née du chant d'un Lion, l'épopée d'un garçon dans ce qui semble être le Jardin d'Eden et la visite d'une vieille cité ensevelie dans les ruines. Tout n'est que poésie, menée à tambour battant, et l'histoire se lit facilement et vite. Ce livre est réservé aux jeunes lecteurs, ou bien aux adultes nostalgiques.
Je tiens à préciser que C.S. Lewis est un ami de J.R.R. Tolkien.
Les +: Un monde de poésie et d'épopée qui se lit facilement. Merveilleux.
Les -: Tous les adultes n'aimeront peut-être pas ce livre réservé aux enfants, même si les tomes suivants (7 en tout) sont de plus en plus matures.
Les éditions
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Les Chroniques de Narnia, tome 1 : Le Neveu du magicien de Clive Staples Lewis
de Lewis, Clive Staples
Gallimard / Folio Junior
ISBN : 9782070546428 ; 2,10 € ; 01/06/2001 ; 211 p. ; Poche
Les livres liés
- Le Monde de Narnia
- Les Chroniques de Narnia, tome 1 : Le Neveu du magicien
- Les Chroniques de Narnia, tome 2 : Le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique
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Les critiques éclairs (12)
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trop léger...
Critique de Spix (, Inscrit le 23 juillet 2008, 33 ans) - 25 février 2013
Je ne savais pas que ce livre était autant orienté vers les enfants. Tant pis pour moi il suffisait de se renseigner sur CL avant spix !
A conseiller aux très jeunes, après 15 ou 16 ans cela devient long à lire.
Le pouvoir de faire rêver les adultes
Critique de Homo liber (, Inscrit le 19 janvier 2013, 34 ans) - 19 janvier 2013
Car je vous le dis C.S Lewis a écrit Narnia pour les enfants bien sûr mais aussi et surtout pour les adultes. Il espérait être capable de les faire rêver.
C'est pour moi un pari réussi, on ne s'ennuie pas, les sept histoires sont rythmées, s'entrecroisent, maintiennent notre intérêt. Bref les chroniques remplissent leur rôle : nous emmener tout droit dans la contrée magique de Narnia, au-delà du réverbère.
En matière de fantasy, cela me suffit, d'autant plus que le narrateur s'adresse à nous, nous donnant son avis sur ce qui se passe, prodiguant des conseils de façons tout à fait explicite "Lucy ne referma pas la porte de l'armoire derrière elle, car elle savait qu'il est stupide de s'enfermer dans une armoire" (je cite de mémoire ce ne doit pas être exactement ça). Petit plus qui lui donne une patte et qui le rapproche du lecteur.
Un monument à lire et relire autant de fois que voulu.
Un univers féerique
Critique de Niky (, Inscrite le 22 janvier 2009, 58 ans) - 25 janvier 2009
C'est bien écrit et l'on aimerait pouvoir y être pour de bon.
Pas si mal vieilli
Critique de Calepin (Québec, Inscrit le 11 décembre 2006, 43 ans) - 23 juin 2008
Commentaires : J’ai bien aimé la lecture de ce roman qui n’a pas si mal vieilli, compte tenu de son âge assez avancé (publié pour la première fois en 1955). Juste par le biais des rôles masculins et féminins, entre autres. Le choix de mots nous rapproche du comte merveilleux et malgré certains procédés narratifs nettement désuets, ça ne m’a pas empêché de suivre cette histoire avec intérêt. J’aurais aimé que l’auteur nous fasse vivre davantage l’ambiance au lieu de la décrire froidement, bien qu’il y ait de très belles images textuelles par moments. Les illustrations sont jolies et nous rappellent, en même temps, l’âge du texte.
Somme toute, c’est une bonne introduction à la grande série des chroniques de Narnia.
BIEN
Critique de Shakespeare11 (, Inscrite le 12 avril 2008, 43 ans) - 20 avril 2008
style très sympa
Critique de Clemclemi (, Inscrite le 9 janvier 2008, 31 ans) - 10 janvier 2008
Pas top du tout
Critique de POOKIES (MONTPELLIER, Inscrit le 16 août 2006, 47 ans) - 1 juillet 2007
Malheureusement, je me suis vite aperçu qu'il était destiné à des enfants d'au moins 10 ans, mais pas beaucoup plus. C'est écrit d'une manière simple (limite simplet), il y a de nombreuses redites, les paroles ne volent pas bien haut, c'est souvent neuneu et ça n'avance pas du tout.
Si on veut résumer, c'est vraiment tiré par les cheveux tout ça. Mieux vaut un bon "Seigneur des anneaux" qui est, tout de même, beaucoup plus mature.
Un conte
Critique de Elyria (, Inscrite le 25 mars 2006, 33 ans) - 2 juillet 2006
Descriptif
Critique de Ald_bzh (Brest, Inscrite le 11 janvier 2005, 46 ans) - 8 mars 2006
Mais voilà rien de tout ça ne s'est produit !!! J'ai lu le tome1 et le tome2 en espérant que le tome2 serait meilleur, mais là encore je me suis trompée.
En effet j'ai trouvé ces livres très plats, ce n'est que du descriptif, en 2 lignes la bataille du bien contre le mal est réglée. On se frotte les mains, on fête tout ça et voilà, histoire suivante. Je n'ai trouvé aucune profondeur aux personnages, tout est très simpliste, la magie n'a pas opéré.
J'ai peut être perdu ma candeur de l'enfance, je ne sais pas. Mais je n'ai pas aimé.
les sept tomes: mon enfance déçue
Critique de Clamence (saint quentin, Inscrite le 10 février 2006, 43 ans) - 11 février 2006
Je dévore-quand même, parce que la lecture reste fluide- les 900 pages en une semaine, et pourtant je reste insatisfaite au fur et à mesure de ma lecture: le livre est décousu, je crois suivre les aventures de Peter, Lucy, Susan et Edmund mais très vite, le personnage principal, c'est Narnia: la contrée paradisiaque, Aslan le dieu lion majestueux.
Comme je reste petite fille, la magie opère encore, dans l'attente uniquement : ô chouette, il y a une bataille, les centaures arrivent et...et rien. les centaures arrivent en trois mots, et vainquent en trois lignes. La sorcière blanche arrive sur le champ de bataille, attention Peter, elle va te pulvériser, te réduire en miettes, te transformer en...en rien. Edmund casse la baguette de la vilaine méchante pas belle.
Les sept tomes sont inégaux : d'abord vient Digory-le fameux neveu du magicien, puis on suit (plutôt bien) le périple Peter et Cie, mais ensuite c'est le cousin Scrubb qui vient à Narnia, puis Peter et Cie reviennent ; enfin au tome 6 c'est Jill, un jeune camarade d'école du cousin Scrubb qui reviennent et là ça ne manque pas: mais qu'est ce que je viens faire dans cette galère?? Parce que je reprends: entre le neveu du magicien dont les futurs neveux et nièces iront à Narnia suivis de leur cousin qui à son tour emmènera et aux il reviendront et lui reviendra mais pas tout seul et les premiers re-reviendront ...ça commence à me saouler.
Je persévère tout de même, et je veux aussi voir le film , parce que je connais les prouesses de Weta Workshop (studio créé par Peter Jackson pour les effets spéciaux du seigneur) et effectivement c'est là que le bât blesse : il y a du sous Tolkien là dedans : C.S Lewis et lui étaient amis, et les discussions autour du monde de l'un a inspiré l'autre, on retrouvera donc avec plaisir centaures, magie, monde extraordinaire, les bébêtes incroyables, oui, mais tout va trop vite, c'est un gigantesque patchwork du merveilleux, un fourre-tout, où le père noël côtoie Pégase, rebaptisé Fledge pour l'occasion, Adam et Eve le jardin des Hespérides, l'aventure dans un désert-je songeais aux contes orientaux-, suivie d'une Odyssée maritime..
Malgré donc, une cohérence narrative flottante, et un manque de cohésion de fond (nonobstant les valeurs du courage, de l'honneur, bref, d'un monde manichéen Bien vs Mal) je continue, je me concentre sur la part d'innocence au fond de moi , là , quelque part ,qui parfois retrouve, dans tout ce pot pourri, cette magie enfantine géniale qui plaît forcément aux plus jeunes, ce monde de l'imagination jamais perdue pour qui sait l'entretenir, bref tout ce qui fait que j'aime Harry Potter, ou le seigneur : la création d'un monde autre, lieu de tous les possibles, et puis de tous les rêves, et puis de tous ce que peuvent créer mes songes de gosses, et puis, et puis patatras!!!
La fin du livre : en trente lignes, la morale : Aslan c'est Dieu (oui, oui, vous avez bien lu), et Narnia le Paradis. Ventrebleu comment ai-je pu passer à côté ??!!! forcément fils d'Adam et d'Eve, pardonne à ton prochain (Edmund, Scrubb), tends l'autre joue à celui qui t'offense (le sacrifice d'Aslan tome 2), tu ne peux pas me voir si tu renonces à croire en moi, j'existe dans ton monde mais sous une autre forme, et summum, quand même!!!: Peter, et Cie, vous allez rester ici parce que vos parents sont morts, tenez les voilà, vous êtes dans l'autre monde..
Ah oui je sais pourquoi je ne l'avais pas vu de suite : je pensais, petite fille perdue rêvant de mes verts amours enfantines, trouver un monde imaginaire. Je me suis perdue.
vieillot
Critique de Elfe (, Inscrite le 15 septembre 2004, 68 ans) - 7 octobre 2005
Superbe, à tout âge
Critique de Le Cid (Perpignan, Inscrit le 12 juillet 2005, 33 ans) - 26 août 2005
Un film sort le 11 décembre : A VOIR.
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