La retraite aux flambeaux de Bernard Clavel
La retraite aux flambeaux de Bernard Clavel
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
Critiqué par JEANLEBLEU, le 1 avril 2005
(Orange, Inscrit le 6 mars 2005, 56 ans)
Critiqué par JEANLEBLEU, le 1 avril 2005
(Orange, Inscrit le 6 mars 2005, 56 ans)
La note :
Moyenne des notes : (basée sur 3 avis)
Cote pondérée : (25 429ème position).
Visites : 4 381 (depuis Novembre 2007)
Moyenne des notes : (basée sur 3 avis)
Cote pondérée : (25 429ème position).
Visites : 4 381 (depuis Novembre 2007)
Prenant mais trop court ...
On retrouve ici le souffle épique des grands romans de Bernard Clavel.
Néanmoins, le roman est court ce qui ne permet pas tous les développements possibles sur les caractères des personnages.
Une lecture très agréable néanmoins.
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Les éditions
-
La retraite aux flambeaux [Texte imprimé] Bernard Clavel
de Clavel, Bernard
Pocket / Presses pocket (Paris)
ISBN : 9782266129473 ; 6,10 € ; 18/03/2004 ; 123 p. ; Poche
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Avis
Critique de Tothony (, Inscrit le 6 décembre 2009, 32 ans) - 6 décembre 2009
J'ai lu avec beaucoup de plaisir ce livre sur la Seconde Guerre mondiale, qui est au passage le premier et le seul roman que de cet auteur que j'ai lu, mais qui ne sera pas le dernier, tant je l'ai trouvé intéressant. On nous montre l'horreur de la guerre sous un autre aspect que celui qu'on nous relève habituellement : la guerre ce n'est pas seulement des morts, mais c'est aussi des vivants qui l'ont vécu et qui en sont totalement traumatisés. Véritable réquisitoire. Bravo.
Presque du théâtre.
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 2 juin 2005
Petir roman de B. CLAVEL. La seconde guerre mondiale, débâcle allemande, quelque part dans le Jura. Les colonnes allemandes remontent en désordre vers le Nord-Est, traversent le village. Les villageois sont terrés. Et un sous-officier allemand vient cogner à la porte de Ferdinand Bringuet. Il veut lui voler son vélo. Début de l'histoire.
Après, c'est du Clavel. C'est à dire que tout est décortiqué, logique. Les protagonistes sont rarement des personnages lambda. Ils ont toujours un élément différenciant. C'est le cas là encore mais tout est logique, cohérent, crédible et s'enchaîne à merveille.
Comme dans toutes les guerres, il n'y a plutôt que des perdants. On ne tue pas, même pour se défendre ou défendre son bien, impunément. Mais c'est la guerre ... Et la guerre rend fou.
Après, c'est du Clavel. C'est à dire que tout est décortiqué, logique. Les protagonistes sont rarement des personnages lambda. Ils ont toujours un élément différenciant. C'est le cas là encore mais tout est logique, cohérent, crédible et s'enchaîne à merveille.
Comme dans toutes les guerres, il n'y a plutôt que des perdants. On ne tue pas, même pour se défendre ou défendre son bien, impunément. Mais c'est la guerre ... Et la guerre rend fou.
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