J'étais là avant de Katherine Pancol
J'étais là avant de Katherine Pancol
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
Critiqué par Lou, le 8 avril 2001
(Bruxelles, Inscrite le 15 novembre 2000, 53 ans)
Critiqué par Lou, le 8 avril 2001
(Bruxelles, Inscrite le 15 novembre 2000, 53 ans)
La note : 
Moyenne des notes :
(basée sur 5 avis)
Cote pondérée :
(43 181ème position).
Visites : 8 777 (depuis Novembre 2007)
Moyenne des notes :
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Cote pondérée :
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Tous foutus depuis la naissance
Nous sommes le pur produit de notre enfance. " J'étais là avant " nous le crie bien haut et fort.
Nos relations amoureuses sont le pur reflet de nos relations avec nos parents. Une femme pas assez aimée, et détestant les hommes, rencontre un homme qu'on a trop aimé. Ces deux âmes égarées vont tenter de se sauver de leurs démons pour construire un amour rien qu'à eux où leurs parents n'ont plus droit de regard.
L'écriture est assez directe mais conventionnelle. C'est donc surtout le sujet qui peut trouver une résonance en certains d'entre nous en fonction de notre vécu personnel.
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Les éditions
-
J'étais là avant [Texte imprimé], roman Katherine Pancol
de Pancol, Katherine
Albin Michel
ISBN : 9782226108197 ; EUR 18,30 ; 01/04/1999 ; 286 p. ; Broché
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On peut passer son chemin
Critique de Aria (Paris, Inscrite le 20 juin 2005, - ans) - 21 juillet 2010
J'ai relu par hasard ce livre en faisant le tri de ma bibliothèque et j'ai eu le même sentiment que lors de sa parution :
Quel navet !
Une histoire sans queue ni tête, des personnages qui relèvent de la psychanalyse, puis de l'hôpital. Amour vache, on peut aimer, mais là, le masochisme est porté très loin.
Quelle femme peut se mettre dans une situation pareille avec un homme qui est limite psychopathe. J'ai eu peur pour l'héroïne.
Et puis, l'écriture est d'une platitude...quand elle ne devient pas franchement baclée.
Vous pouvez oublier ce livre, vraiment !
Quel navet !
Une histoire sans queue ni tête, des personnages qui relèvent de la psychanalyse, puis de l'hôpital. Amour vache, on peut aimer, mais là, le masochisme est porté très loin.
Quelle femme peut se mettre dans une situation pareille avec un homme qui est limite psychopathe. J'ai eu peur pour l'héroïne.
Et puis, l'écriture est d'une platitude...quand elle ne devient pas franchement baclée.
Vous pouvez oublier ce livre, vraiment !
Dis-moi comment tu aimes ...
Critique de Maylany (, Inscrite le 11 novembre 2007, 44 ans) - 20 mars 2008
J'ai eu parfois un peu de mal à rester accrochée à quelques passages ; je ne sais pas si c'est dû au fait que je ne comprenais pas certaines réactions des personnages ou si c'est moi qui n'étais pas assez "dans" le livre, mais il est vrai qu'on parle ici de "cas" extrêmes (que ce soit lui ou elle) et que je ne me suis pas sentie proche d'eux.
Cependant, j'ai tout de même beaucoup apprécié la lecture de ce livre, l'originalité des réactions, des évènements, des personnages. J'ai aussi aimé chercher à comprendre ce qui leur arrivait grâce aux divers indices que l'auteur nous dispense et surtout, pouvoir tout relier, à la fin du livre, grâce aux explications de la narratrice qui a, elle aussi, enfin tout compris.
Un livre qui se lit facilement et avec une pointe de psychologisme sur ce qui fait ce que nous sommes et comment nous aimons.
http://maylivres.canalblog.com/
Cependant, j'ai tout de même beaucoup apprécié la lecture de ce livre, l'originalité des réactions, des évènements, des personnages. J'ai aussi aimé chercher à comprendre ce qui leur arrivait grâce aux divers indices que l'auteur nous dispense et surtout, pouvoir tout relier, à la fin du livre, grâce aux explications de la narratrice qui a, elle aussi, enfin tout compris.
Un livre qui se lit facilement et avec une pointe de psychologisme sur ce qui fait ce que nous sommes et comment nous aimons.
http://maylivres.canalblog.com/
Sentiments et hérédité
Critique de Anonyme (, Inscrit(e) le ??? (date inconnue), - ans) - 2 mars 2003
C'est tellement clair tout ça et en même temps on l'oublie... nous n'arrivons pas en amour comme une table rase...
L'image de la "belle mère" sur le dos de l'homme est tellement vraie.
On voudrait ne pas y croire mais les démons sont là, tapis dans le coin de nos relations avec l'autre. L'important étant d'en avoir conscience pour pouvoir avancer et construire l'avenir. Un livre agréable pour lequel je me suis attachée au personnage de la narratrice. Et puis lui qui intervient de temps en temps. C'est agréable d'avoir parfois l'autre son de cloche.
L'image de la "belle mère" sur le dos de l'homme est tellement vraie.
On voudrait ne pas y croire mais les démons sont là, tapis dans le coin de nos relations avec l'autre. L'important étant d'en avoir conscience pour pouvoir avancer et construire l'avenir. Un livre agréable pour lequel je me suis attachée au personnage de la narratrice. Et puis lui qui intervient de temps en temps. C'est agréable d'avoir parfois l'autre son de cloche.
Le bonheur malgré....
Critique de Isaluna (Bruxelles, Inscrite le 18 avril 2002, 67 ans) - 10 juillet 2002
Ce qui m'a frappé dans ce livre, bien plus que l'histoire d'amour qui en est le sujet premier, c'est ce personnage de mère, les circonstances qui en font ce qu'elle est et ce qu'elle est capable de transmettre à sa fille. A la narratrice de se débrouiller avec tout cela pour trouver le bonheur malgré tout... C'est Dolto qui disait, je crois " on devient adulte malgré son enfance"... Je trouve la critique de Lou un peu sévère.. La répétition des envolées lyriques sur le thème de l'amour-passion est bien un peu lassante, je le concède volontiers. Par contre, quand la narratrice exerce son sens de l'observation et de la dérision, l'écriture devient piquante, sans que jamais l'auteur ne manque de tendresse vis-à-vis de ses personnages. Et je ne pense pas qu'il faille un vécu proche de celui des protagonistes pour se sentir touché par les sentiments décrits.
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