Croyez-le ou non, il s’agit du premier roman de Douglas Kennedy que je lis ! Et en plus, je ne savais vraiment pas à quoi m’attendre. Moi qui pensais ouvrir un livre tenant du feel-good sentimental, je me suis retrouvée, à ma grande surprise, devant un roman à suspense, dont l’intrigue prend place dans l’univers des montages financiers opaques. D’accord, je n’avais pas lu la présentation de l’éditeur, pourtant éclairante…
À l’instar de John Grisham, Douglas Kennedy sait indéniablement faire œuvre de pédagogie quand il s’agit d’expliquer magouilles et autres subtilités mises en place par les êtres avides de s’enrichir à tout prix. Le lecteur désireux d’un moment de distraction plaisant, servi par un narrateur efficace, sortira satisfait de la lecture de ce roman. Celui qui serait en quête d’aperçus inédits sur la nature humaine, de peintures véridiques et originales de la vie contemporaine restera à n’en pas douter sur sa faim, car les personnages de ce roman ainsi que la « morale » de l’histoire et même son dénouement, il les aura déjà lus mille fois.
« Les Désarrois de Ned Allen » est un joli spécimen de prêt-à-lire de bonne facture et dont les semblables garnissent les rayonnages de n’importe quelle librairie.

Que dire de ce Douglas Kennedy de plus que de ces autres romans. Peu de choses car l’auteur est toujours aussi amusant à lire même si parfois le lecteur se dit qu’il « exagère » un peu, que son roman est tout de même vachement ‘eau de rose’ à certains moments, que les personnages sont plutôt conventionnels (Il me semble que j’ai déjà rencontré Ned Allen quelque part !), qu’il y a des scènes un peu longuettes etc. … mais on aime (j’aime) me plonger dans un Kennedy de temps en temps.

Au fait, la vie doit être encore plus dure pour les Ned Allen de 2018 !

Actuellement en découverte de l'auteur Douglas Kennedy, après le petit mais excellent Piège nuptial, je me suis lancé à l'assaut des désarrois de Ned Allen pour un très grand plaisir de lecture.
J'ai vraiment accroché à cette intrigue.
Dans un premier temps, par l'éclairage qu'apporte l'auteur sur les techniques de vente de publicité sur magazines spécialisés.
Ce côté plutôt documentaire est traité de manière très astucieuse par Kennedy par le biais de la profession de son héros, Ned Allen, qui vous donne l'impression de toujours vouloir vous vendre un encart dans son magazine.
Ce bouquin est par certains côtés très instructif : concernant les techniques de vente, l'émulation d'équipes de commerciaux, la déontologie et la moralité dans les affaires.
Le ressenti d'une lecture diffère pour chacun. Personnellement, j'ai vraiment été passionné par cette lecture, redoutant la venue du sommeil qui m'obligeait alors à poser ce livre.
Je conçois toutefois qu'il puisse laisser indifférent. Il y a peu d'action dans cette histoire et le profil assez technique de la partie concernant les fonctions de Ned Allen peuvent paraître rebutantes.
Perso, j'ai adoré et j'en redemande.
J'attaque un troisième Douglas kennedy dès à présent.
Ma note est proportionnelle au plaisir que j'ai pris à lire ces désarrois.

La première partie m'a parue longue, l'univers de l'entreprise, la réussite, l'argent, jusqu'au jour où.....
Seconde et troisième partie, alors là, le top, on ne lâche plus le livre.
Tellement que je me jette sur mon prochain Kennedy "La poursuite du bonheur", pour rester dans son univers.

La première partie voit la description d’un homme ayant réussi dans la vie.
La seconde décrit sa décrépitude sociale, brutale et inhumaine.
Ces deux premiers volets de l’histoire du personnage attachant de Ned Allen sont en tout point intéressants, mais c’est véritablement la troisième partie qui déclenche ce fait soudain viscéral, qu’on ne peut tout simplement plus se séparer du livre jusqu’au mot fin. Pas le mieux de la production de Kennedy mais que je recommande pour le tiers final, ficelé à la manière d’un thriller.

Ce livre est le premier de Douglas Kennedy que j'ai lu : j'avais été scotché, et j'en garde un souvenir impérissable. L'histoire est rocambolesque et le suspense très bien tenu. C'est un peu comme "Le bûcher des vanités", le portrait d'une Amérique trépidante, New York, le fric, où l'ambition, le succès et la chute se côtoient.

Après ce coup d'essai réussi, je m'étais directement jeté sur "L'homme qui voulait réussir sa vie", mais je n'avais pas du tout retrouvé le même plaisir : la magie était finie. Ce qui me fait dire que, pour moi, Douglas Kennedy restera l'auteur d'un seul livre. Ca ne veut pas dire que c'était le meilleur livre, mais simplement c'était le premier.

Jamais un roman de Douglas Kennedy ne m’a pas tenue en haleine de la première jusqu’à la dernière page. D’un côté, c’est facile; le modèle reste toujours le même et j’aime le modèle. J’aime ces histoires de vies bouleversées par un enchaînement d’évènements imprévisibles et j’aime la manière dont l’auteur les raconte. Mais malgré ce "modèle" qui revient à tous les coups, je trouve que Douglas Kennedy se renouvelle beaucoup dans les cadres de ses romans. Ici, c'est le monde de la vente et de la finance qui est utilisé comme toile de fond et ça donne lieu a un suspense vraiment prenant. Par comparaison avec ses autres romans, je dirais que c'est un de ceux où l'aspect psychologique des personnages est le moins exploité, mais où l'action et les rebondissements sont les plus présents. Ce n'est pas le meilleur Douglas Kennedy, mais c'est encore un très très très bon divertissement!

La vie d'un cadre d'une entreprise New-Yorkaise , qui réussit tout ce qu'il veut jusqu'au jour où les ennuis commencent .
Il va connaître l'enfer .
Les histoire de Douglas Kennedy se ressemblent beaucoup , il s'agit souvent de couples à qui tout réussit , qui ont une situation enviable , puis un évènement inattendu intervient qui va bouleverser leur vie .
Il s'agit aussi d'une critique du monde des affaires aux USA .
Ses histoires sont malgré tout bien racontées et restent crédibles .

Kennedy ! 2ème livre que je déguste de cet auteur : évaluation positive confirmée ! Pourtant, celui par qui j'ai débuté avec cet auteur était déjà excellent ! Pensez donc : Cul de sac. Beaucoup de suspense, bien écrit... Cet écrivain mérite d'être plus connu. Il y en a un autre dans le même style que j'aime beaucoup : Joseph Finder.
Bonne détente.

À mon avis, le plus faible des romans de Douglas Kennedy, qui est pourtant un de mes auteurs favoris. Néanmoins, je n'ai pas réussi à accrocher à ce livre, j'ai passé un long moment et j'ai été un certain temps sans retoucher à un roman de D.K., ce qui était une erreur, ça je dois l'avouer.

J'ai lu ce livre après "Rien ne va plus" du même auteur. On retrouve ici je pense le style de l'auteur. En effet, ce livre suit la même trame: en effet, ce livre nous invite à suivre la rapide descente aux enfers de Ned. Alors qu'il avait tout pour être heureux il perd tout ce qui faisait sa vie: d'abord son travail , sa femme ainsi que toutes ses relations de travail. Alors qu'il est au fond du trou, il obtient l'aide (suspecte) d'un intriguant ami et qui ne lui veut pas que du bien...
J'ai adoré ce livre!!il tient le lecteur en haleine du début à la fin.
J'ai lu ce livre d'une traite même s'il est assez long!!
Un livre à lire!!

Jeune golden boy de grand talent, Ned Allen a eu une réussite fulgurante.
Mais un jour , il est licencié et en quelques semaines, il va tout perdre: sa femme, ses amis, sa maison.
Une histoire haletante et bien écrite de l'Amérique d'aujourd'hui.

L’art de Douglas Kennedy dans tous ses semi-thrillers (dont ce roman fait partie) est d’installer tranquillement un cadre pour le roman puis de distiller petit à petit des informations qui rendent la situation des personnages progressivement inextricable.
Ned Allen est un de ces jeunes New-Yorkais qui vivent dans l’opulence grâce à leurs talents commerciaux. Lui, travaille comme responsable d’une équipe de vendeurs d’espaces publicitaires pour un magazine d’informatique. Sa jeune et (forcément) jolie jeune femme travaille dans les relations publiques. Investissement professionnel important pour chacun mais le monde est CRUEL et Ned dégringole…
Ce roman n’est pas le meilleur de Douglas Kennedy (qui est un auteur que j’apprécie). « L’homme qui voulait vivre sa vie », par exemple, est sans doute plus attachant.
Je suis un peu étonnée par les remarques sur son style « américain ». Je ne vois pas ce qu’est un style américain… ;-) . Enfin, c’est une lecture plaisante.

J'ai lu ce livre après avoir lu L'Homme qui voulait vivre sa vie, et y ai trouvé à peu près ce à quoi je m'attendais. Bon, le style effectivement très "américain" (et pas toujours très heureux) nécessite un moment d'adaptation, mais on se laisse vite prendre au jeu : il y a une certaine fascination à suivre les dégringolades des personnages de Kennedy et les multiples rebondissements de l'action. Et ici, une fois encore, on n'est pas déçu. Sans être un monument de suspense, ce livre offre, selon moi, un agréable moment de lecture.