La roue du temps, tome 1 : L'oeil du monde (l'invasion des ténèbres) de Robert Jordan
(The Eye of the World)
Catégorie(s) : Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique
Moyenne des notes : (basée sur 16 avis)
Cote pondérée : (12 699ème position).
Visites : 12 498 (depuis Novembre 2007)
Avis aux amateurs d'heroic-fantasy : à lire d'urgence!!!!!!!
Ce livre est un véritable bijou de fantastique!
L'histoire: dans les Deux-Rivières, au champ d'Emond, la vie est simple. C'est un coin perdu du monde, où personne ne vient jamais, sauf les ménestrels, une fois l'an, pour les amuser. Ceux-ci racontent l'histoire du Dragon, un homme capable de manier le pouvoir Unique, il y a des milliers d'années, et qui sous le coup de la folie, aurait provoqué la Destruction de Monde. Certains racontent même qu'il reviendra à l'heure où l'humanité sera en danger, pour les sauver....
Pendant ce temps, Rand, un habitant des champs d'Emond, prépare paisiblement Bel Tine avec son père. Mais des faits curieux se produisent : Rand aperçoit un cavalier noir, puis des Trollocs, créatures mythiques à la solde du Ténébreux... C'est les début d'une longue, quête pour Rand et ses amis, traqués par le Ténébreux...
Qui sait ce que leur réservera la Roue du Temps, Maitresse des Destinées....
Mon avis: Ce livre, malgré un aspect rébarbatif, est très prenant. Robert Jordan, à l'instar de Tolkien (et c'est un bien grand compliment) sait donner une dimension à son oeuvre. Son monde devient attirant, malgré les noms à l'aspect rude. C'est un must have du fantastique! Mais si vous voulez vraiment le lire, accrochez vous: il y a plus de 12 tomes!!!
Les éditions
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L'oeil du monde [Texte imprimé] Robert Jordan traduit de l'anglais (États-Unis) par Jean-Claude Mallé
de Jordan, Robert Mallé, Jean-Claude (Traducteur)
Bragelonne
ISBN : 9782352945567 ; 25,00 € ; 23/03/2012 ; 864 p. ; Broché -
L'invasion des ténèbres, tome 1 : La roue du temps de Robert Jordan
de Jordan, Robert
Pocket / Science Fiction
ISBN : 9782266111850 ; 2,97 € ; 19/01/2001 ; 491 p. ; Poche -
The Eye of the World de Robert Jordan
de Jordan, Robert
Tom Doherty Associates
ISBN : 9780812511819 ; EUR 9,60 ; 01/11/1990 ; 814 p. ; Poche
Les livres liés
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Une fresque prometteuse
Critique de Goupilpm (La Baronnie, Inscrit le 23 juin 2017, 67 ans) - 3 juillet 2017
Après un prologue qui nous présente la sempiternelle lutte du Bien et du Mal, l'auteur nous présente l'un des protagonistes principaux, esquisse une partie de son univers et nous présente le début du contexte de son intrigue. L'histoire est quand même très, très complexe, avec tous les âges qui se succèdent, les aventures de tel ou tel personnage illustre, ce qui déroute parfois le lecteur qui doit ingérer toutes ces informations. Des Âges qui ne sont pas sans rappeler un certain SDA. Si les longs paragraphes descriptif peuvent paraître un tant soit peu rebutants, ils sont nécessaires à l'imprégnation de l'ambiance particulière de l'histoire, ce qui est un mal nécessaire pour connaître les lieux lorsque l'on s'engage pour une histoire au long cours. Le récit suscite chez le lecteur une fausse impression de course poursuite, si les périodes d'accalmies sont nombreuses, elles s'imbriquent parfaitement avec celles plus mouvementées d'actions, et l'histoire, avec cette osmose, dégage une bonne dynamique de lecture dynamique .
Descriptions très précises, très détaillées et le monde imaginé par l'auteur se révèle très dense. Un univers que l'on découvre au fil des chapitres. Dès le début du récit avec la fête de la fin de l'Hiver, l'auteur s'est également inspiré de la culture celtique. L'on retrouve également une allusion à la Guerre de Cents Ans avec le combat mené contre les forces du mal d'une même durée. Les lieux visités ou traversés sont très visuels, l'on a presque l'impression de s'y trouver. Un univers qui vu la qualité n'est pas sans tout de même créer certaines longueurs.
Dans ce premier tome l'auteur prend le temps, après avoir introduit le récit, d'installer ses personnages qui sont très fouillés et plutôt nombreux : trois jeunes garçons et deux jeunes filles, tous marqués par un destin dont ils ignoraient tout. On retrouve avec ces personnages un thème récurrent en fantasy où de jeunes gens doivent sauver le monde. On apprécie dès le début ces jeunes gens qui à l'inverse de bien des fantasy se sentent dépassés par ce qui leur arrive. En effet leurs réactions restent cohérentes, exactement ce que l'on attend des jeunes gens de leur âge. A ces personnages s'ajoutent, en plus de l'Aes Sedai et de son Champion, du ménestrel, des protagonistes secondaires que l'on découvre au fur et à mesure du récit et qui se révèlent intéressants même si certains dans ce présent volume occupent peu de place. Avec pas moins de trois femmes dans le groupe et notamment la magicienne qui occupe par ses actions une place de premier ordre, l'auteur fait la part belle à la gent féminine dans cette saga. Des personnages féminins plutôt bien trempés qui nous donnent des colères mémorables. Le personnage avec lequel l'on s'attache le moins est celui du Champion qui reste très mystérieux pour ne se révéler que vers la fin du tome.
Le style de l'auteur, malgré la précision du récit, se révèle dans son ensemble plutôt fluide et la dynamique de lecture, avec de nombreux retournements de situation, est également bonne car il ne faut pas oublier que l'on est dans un tome introductif à une très longue saga et qu'il faut poser de manière très explicite les différents rouages de l'histoire.
En résumé l'on a un univers bien construit, cohérent, une aventure divertissante, mais le récit manque cruellement d'originalité avec des Trollocs qui ressemblent étrangement à des Orcs, de jeunes amis promis à une grande destinée... Une fresque prometteuse qui, malgré certains petits défauts, parvient à retenir l'attention du lecteur.
Meilleur qu’un bon somnifère
Critique de Kyle (, Inscrit le 13 juillet 2011, 52 ans) - 8 novembre 2013
Ne perdez pas votre temps à rechercher le prochain Tolkien, il n'est pas ici. Pas qu'un bon pastiche du père de la saga du Seigneur des Anneaux ne me déplait pas de temps en temps, ce roman est d'une platitude horrible. C’est l'histoire de deux jeunes garçons qui habitent un village. Et soudainement une femme mystérieuse arrive ! Voilà, je viens de vous résumer les 300 premières pages de ce livre qui en compte 800. Ce n'est pas que le rythme est lent, il n'en a tout simplement pas. Moi qui avait acheté au départ les 7 premiers livres de la série, je n'ai pas été plus loin que la moitié du second. On décroche, on décroche vite et ardemment. Ce qui fait qu'à la fin du premier tome, ce qui arrive aux protagonistes, on s'en fout pas mal car rien ne nous a fait vraiment vivre des émotions palpitantes avec eux.
En fait, je crois que l'auteur a simplement décidé un bon jour d'écrire, sans but, sans plan, sans synopsis. Juste écrire à propos de personnages qui se promènent dans un monde fantastique. Tout cela est bien beau, mais le problème c'est que ça a été publié, et que le pauvre monde doit payer pour le lire.
Je donne une étoile, plus parce que le fantastique reste mon univers de romans préféré.
Une perle qu'il faut savoir aller décrocher
Critique de CactusDrummer (, Inscrit le 18 juin 2013, 37 ans) - 18 juin 2013
Mon avis global rejoint d'ailleurs le sien, je vous invite donc à aller lire sa magnifique critique située un peu plus bas dans la page.
Que dire pour vous donner envie de lire ?
Bien, alors on va commencer par le gros point faible : OUI, c'est long. Très long. Le début est basique, bateau, et a part quelques scènes, n'est pas vraiment fabuleux. Mais ca se laisse lire quand même, et arrivé la fin du tome 3 , on est récompensé de nos efforts. J'ajouterais que le style d'écriture est très agréable.
Car là ou au contraire de suis en désaccord avec pas mal de critiques, c'est qu'un des tours de force de l'auteur est le réalisme et la profondeur de ses personnages malgré leur extrème grand nombre.
On sent qu'ils sont tous travaillés, ils évoluent devant nous tout au long des volumes, et NON, on se détache vite du parallèle avec le "Seigneur des Anneaux" : blanc et noir ne sont pas les seules couleurs dans ce monde. Chez Robert Jordan, tout le monde ou presque est gris, roule pour son propre compte, et c'est exactement cela qui rend le bouquin extraordinaire.
Les persos ont des réactions normales. Ils ont beau etre pourchassés, ils ont 17 ans, ne savent pas trop à quel point ce qui les traque est dangereux, et sortent pour la première fois de leur cambrousse. Normal donc qu'ils échappent plusieurs fois à la vigilance de la ptite magicienne qui les accompagne.
Ensuite, je vous met au défi de me trouver un bouquin avec un système de magie mieux travaillé, aussi complexe, et autant intelligent. Et s'il ne s'agissait que d'une magie ! Mais là on en a trois, chacune avec ses caractéristique différentes, ses effets secondaires spécifiques, et ses conditions d'utilisation précises.
Et dernière chose : l'univers en tant que tel. Il est vaste, il est peuplé intelligemment, et il regorge de mythes et de coutumes différents selon les contrées. Chaque royaume a ses spécificités et tout colle parfaitement. Les intrigues politiques ne sont pas du plus haut niveau mais restent correctes ET suivent une logique indiscutable. A savoir qu'elles ne se résoudront que rarement tel que vous l'attendez.
Bref, une saga sans précédent, mais qui a ses défauts. A vosu de voir si vous vous sentez prêts à surmonter les premiers volumes ou pas. Personnellement, je conseille sans retenue !
Une intrigue frôlant le ridicule mais avec quelques scènes bien menées
Critique de DroZo (, Inscrit le 7 mai 2012, 31 ans) - 7 mai 2012
Ainsi, la plupart des personnages semblent artificiels: on a des ados de 17 ans dont on a surtout l'impression qu'ils en ont 12, une Aes Sedaï qui doit assurer à tout prix la sécurité des trois jeunes... mais qui ne pense même pas à les garder sous les yeux... et qui les invite même à se balader tout seuls pour faire du tourisme dans une ville alors qu'ils sont quand même pourchassés par des types super méchants...
Cependant, quelques rares scènes possèdent selon moi un haut niveau; je pense au moment où, au début du livre, Rand fuit dans les bois en portant son père, ou, plus tard, le début de la chevauchée vers Baerlon.
Ne vous laissez pas avoir par le titre aguicheur !
Critique de Erudia (, Inscrit le 13 novembre 2011, 39 ans) - 13 novembre 2011
Déjà que l'approche est très très classique, la belle petite équipe de copains ne connaissant rien du monde qui les entoure et subitement projetée "sauveur du monde" avec tout plein d'individus loufoques débarquant au même moment comme par enchantement dans un village paumé...
Il ne se passe rien de prenant, aucune trame naissante, on court à travers le paysage avec nos compagnons sans savoir pourquoi et et contre quoi.
Pas de découvertes, pas de magie mis à part quelques coups de sangs inexpliqués... les ingrédients semblent être là mais seront peut-être utilisés dans les tomes suivants !
En tout cas je n'adhère pas à cette lecture rallonge sans autre buts que de produire un cycle interminable.
Sans regrets !
Très bonne découverte
Critique de Endymion (lille, Inscrit le 11 mai 2005, 44 ans) - 17 août 2011
Puis dans un deuxième temps, plus on avance dans l'histoire et plus on peut s'apercevoir que l'univers de Robert Jordan est unique. L'auteur a su créer un univers riche et cohérent. Les personnages sont attachants.
Je fonce sur le tome 2 pour connaître la suite avec impatience.
La série comptera 25 livres en France. Donc il faut aimer lire les romans fleuves pour aimer la roue du temps. Les autres, vous pouvez passer votre chemin.
Génial mais brouillon et délayé
Critique de Romur (Viroflay, Inscrit le 9 février 2008, 51 ans) - 12 juin 2010
Les débuts ont une ressemblance très marquée avec le Seigneur des anneaux : le petit village tranquille, les chevaliers noirs sans visage, l’attaque de la cabane de nuit (par des orcs rebaptisés trollocs), la fuite avec une magicienne, la traversée en bac, le grand méchant qui se réveille (au nord et non à l’est)… Mais Jordan affirme progressivement l’originalité de l’univers qu’il construit et qui prend une ampleur et une complexité fascinante au fil des tomes : c’est moins manichéen et politiquement plus complexe que le Seigneur des anneaux.
Autre trait qui se manifeste dans les premiers tomes : Robert Jordan était parti (sans doute) sur une trilogie et les éléments de prophétie initiaux sont rapidement accomplis. Mais le succès de la série et les pistes qu’ouvre sans cesse Jordan pour enrichir son univers l’ont conduit à partir vers 6 tomes, puis douze, puis…
Du coup des incohérences apparaissent. Par exemple le héros (Rand) bien que jeune et inexpérimenté va triompher de Baalzamon présenté comme le plus redoutable des « méchants » dans un duel grâce à quelques cours d’escrime qu’il a pris auprès d’un guerrier au tome 1. Plus tard, il va s’initier aux pouvoirs magiques et devenir de plus en plus redoutable, affrontant à peu près à chaque tome un nouveau « méchant ». Au tome 5 c’est la guerre thermonucléaire avec Rahvin, à coup de téléportation et de boules de feu qui font s’effondrer les bâtiments de la ville. Maîtrisant le quart de la moitié de ces sortilèges, Baalzamon aurait du scotcher Rand au mur au lieu de se faire tuer bêtement.
Mais on pardonne et on oublie ces erreurs de construction car le rythme, les intrigues et les prophéties nous entraînent dans un carnaval effréné.
Plus gênant, faute d’avoir eu un plan clair au départ et surfant sur le succès de son œuvre, Jordan en rajoute, multiplie les descriptions et les personnages (j’en ai noté plus de 1500 dans les 10 premiers tomes de l’édition anglaise dont une quarantaine sont vraiment importants) et on peut même dire qu’il délaye franchement son récit : quand on compare le point où on en est à la fin du tome 8 ou 9 avec la situation au début on se rend compte qu’on a avancé de quelques semaines seulement dans l’histoire, une centaine de pages au lieu de 700 auraient suffi. A force de traîner, Jordan est décédé avant d’avoir achevé le tome 12… sa famille est censée achever cette épopée fantastique (2 ou 3 tomes encore ?).
Malgré ces réserves, je suis toujours accro à la série, à la richesse de son univers, à l’effort en matière de psychologie des personnages et à la tortuosité des intrigues : je me prépare tranquillement à lire le tome 11…
Un tome de la Roue du temps et au lit !
Critique de Pourpre (, Inscrite le 13 janvier 2009, 44 ans) - 6 avril 2009
C'est un récit ultra classique, dont le début n'est pas sans rappeler fortement Tolkien et son Seigneur des Anneaux.
Malheureusement la narration, bien que correcte et détaillée, est d'une lenteur !.
Il faut avouer qu'il ne se passe pas grand-chose au final, et le peu qu'il y a n'est décidément pas palpitant.
Je vais m'arrêter là car après informations cela ne s'accélère pas par la suite. Dommage.
Un bon départ
Critique de RatDeBibliothèque (, Inscrit le 22 janvier 2008, 40 ans) - 12 décembre 2008
Une série à lire si possible en VO car la première traduction faite de cette série n'est pas trop bonne. Et puis vous allez économiser de l'argent puisque chacun des tomes en VO est traduit en deux tomes pour la version française.
Une série magnifique
Critique de Oups (, Inscrite le 20 novembre 2005, 37 ans) - 27 novembre 2007
Un excellent livre
Critique de Elayne (, Inscrite le 19 avril 2006, 34 ans) - 19 avril 2006
Original, imaginaire mais pourtant réaliste, le monde qu'il nous offre captive, et je me trouve étonnée du lien qui se crée entre les personnages et le lecteur.
moi je m'ennuie pas!!
Critique de Klutjo (, Inscrit le 18 janvier 2006, 43 ans) - 18 janvier 2006
Préliminaires
Critique de Khayman (Chicoutimi, Inscrit le 25 février 2004, 44 ans) - 27 août 2005
J’ai bien aimé ce livre. La littérature fantaisiste, quoique plus développée de nos jours, demeure un domaine peu populaire et rares sont les œuvres étoffées qui la composent. The Eye of the World est le premier de dix livres composant la série Wheel of Time et, avec ses quelques 800 pages, il nous fait pénétrer dans un monde très riche, rempli d’Aes Sedai (qui font penser au groupe Bene Gesserit de Dune), de guerriers, de Surveillants (Warder), de trollocs, de myrddraals, de « darkfriends », de « Children of the Light » (genre de branche extrémiste de défense du « Bien »), de nobles, de conseillers corrompus, de cités et de paysages grandioses (Caemlyn, la terre de l’Homme Vert) et maudites (Shayol Ghul, « The Blight »),
On m’avait prévenu que ce livre ressemblait énormément au Seigneur des anneaux, mais je ne m’attendais pas à ce que ce soit autant (quoique justement je partais probablement avec un préjugé). Ainsi, on compare rapidement les habitants de Two Rivers aux hobbits, Lan à Aragorn, Moiraine à Gandalf, Shai’tan à Sauron, les trollocs aux orques, les myddraals aux nazgûls, l’Homme Vert à Sylvebarbe, les Chemins (Ways) à la Moria, Shayol Ghul à Barad Dûr, etc. On m’a également dit que cette ressemblance ne demeurerait pas et cela m’encourage à poursuivre ma lecture de la série Wheel of Time (autrement, je ne sais pas si j’aurais aimé relire un « remix » du Seigneur des anneaux comme ce fut le cas en ce qui concerne la série La Tapisserie de Fionavar de Guy Gabriel Kay).
Un bon premier livre, mais insuffisant pour s’établir une opinion. On verra avec la suite…
Pas trop mal, mais que de longueurs
Critique de Stephane007 (, Inscrit le 30 juillet 2005, 59 ans) - 30 juillet 2005
Mais beaucoup beaucoup de longueurs aussi ...
Plusieurs fois je me suis même demandé si je n'allais pas arrêter. J'en suis au 8ème tome, et je croyais que cela n'irait que jusqu'à 12. Il parait qu'il y en aura 18 ... ARG !!! C'est sûr que ne lirai pas ceux qui ne sont pas encore parus
Dans le même style mais en beaucoup plus passionnant : le trône de fer de Georges R.R. Martin
Hmm
Critique de Thetys (, Inscrite le 29 décembre 2004, 49 ans) - 29 janvier 2005
D'ailleurs, c'est devant La Roue du Temps que je me suis dit cela... un bon morceau d'ennui joliment empaqueté.
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