Premier essai de Frédéric Pasco-Werlé

Quoi de plus injuste et triste, que le décès d’un très jeune enfant.
Et quoi de plus dur que résister à l’assaut des leçons des « bien-pensants »…
Malgré les années, qui ont passé depuis cette terrible épreuve, Frédéric, tente de soigner cette cicatrice qui le ronge.
Aux travers de lettres, il nous décrit tous ces moments qu’il a traversés : chagrin, détresse, culpabilité, partage, soutiens…
Contrôler et surmonter font partie de son caractère. Il met tout en œuvre pour affronter ce grand bouleversement tant dans sa vie familiale, que professionnelle.
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Né en 1970 à Dax, Frédéric Pasco-Werlé grandit en région bordelaise et entame bientôt une carrière dans l’éducation nationale. D’abord professeur de mathématiques, son envie de s’investir au sein d’une communauté le pousse à devenir principal de collège puis proviseur. À travers son métier, il réfléchit à son rapport aux gens : “on ne peut pas travailler auprès des élèves si on ne les aiment pas ; on ne peut pas diriger un établissement scolaire si on n'aime pas les gens en général”. Il le sait, le fil conducteur de sa vie, ce sont les autres et les liens qu’il tisse avec eux.
En 2017, le proviseur est nommé président des Promenades photographiques.
La photographie devient un nouveau moyen de tisser des liens avec les autres. Frédéric Pasco-Werlé s’intéresse à ceux qui sont proches de lui comme les élèves de son établissement dont il capture les premiers pas dans le monde professionnel à travers une série de photos intitulées “Des mains qui apprennent”.
En 2020 lorsqu’il aborde la mort de son fils en thérapie, quelque chose se débloque. Il fouille ses archives et se met à l’ouvrage. Il rassemble les lettres de ses proches, amis, parents, collègues qui constituent alors un fil qu’il suivra pour raconter son histoire.
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Premières lignes :
Dans mon souvenir, il fait beau. En tout cas, il ne pleuvait pas et la lumière inondait notre salon.
On est samedi après-midi. Le 20 décembre 2003. Les voisins sont là. Elle entre. Elle sait qu’elle s’est trompée. Je l’accueille. Elle nous salue. C’est la pédiatre de nos enfants. Elle explique qu’il était difficile de prévoir que, ce qui semblait être une bronchite, pouvait évoluer ainsi. Je lui pardonne car un médecin, même reconnu et dévoué, ne peut pas tout.
Elle est restée le temps qu’il fallait mais pas plus. Dans ces moments-là, il y a peu entre pas assez et trop. Elle soignera encore nos enfants jusqu’à son départ à la retraite.
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Premières réactions :
Fabian : un « témoignage » bouleversant, émouvant, dur aussi.
Marc : un livre-témoignage bouleversant, poignant et authentique.
Sarah : j'ai lu avec beaucoup d'émotions ! Vos mots sont justes, puissants.
Lahb : je ne trouve pas les mots tellement je suis émue par votre livre
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Plus d'informations à l'adresse : https://pascofredericphoto.wixsite.com/photosetplu…

Message de la modération : Présentation du livre par l'auteur - Possible édition à compte d'auteur

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  Tu ne seras jamais un homme mon fils [Texte imprimé]

  de Pasco-Warlé, Frédéric
  Éditions la Simarre
  ISBN : 9782365362085 ; 14,00 € ; 16/10/2024 ; 76 p. ; Broché

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