Les dents de la mer de Peter Benchley
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
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Génial
J'ai lu ce livre il y a deux mois je l'ai vraiment trouvé génial. Comme vous pouvez le voir je n'ai que 13 ans certains diraient ce livre est peut-être trop turbulent avec trop de sang pour toi et ben non ça ne m'a fait ni chaud ni froid ce livre je l'ai adoré car j'adore tout ce qui se rapporte au milieu marin!
Cela se passe dans une plage quand un jour minuit une femme va se baigner nue le matin pas de nouvelle. La police enquête elle a été mangée par un requin blanc ou bleu on ne sait pas mais il est immense. Le chef de la police veut fermer les plages mais son plus haut chef lui interdit c'est ainsi que encore et encore des gens se font manger par ce requin avec la curieuse tête
Livre fort conseillé pour les amoureux de la mer !!!
Les éditions
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Les Dents de la mer [Texte imprimé] Peter Benchley trad. de l'américain par Michel Deutsch
de Benchley, Peter Deutsch, Michel (Autre)
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253037064 ; 4,13 € ; 31/01/1996 ; 310 p. p. ; Poche -
Les dents de la mer de Peter Benchley
de Benchley, Peter
Archipoche
ISBN : 9782352878599 ; 7,80 € ; 06/04/2016 ; 344 p. ; Broché
Les livres liés
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Les critiques éclairs (6)
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Niveau sous-marin
Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 42 ans) - 24 juin 2021
Déjà, il y a les personnages : difficile, très difficile, de se passionner pour des personnages aussi antipathiques, que ce soit le maire, l'océanographe Matt Hooper (rien à voir avec le personnage joué par Dreyfuss dans le film, tant physiquement que psychologiquement), et bien entendu, Brody le chef de la police. Tous sont caricaturaux et on sent que Benchley ne les aime pas.
Le roman, de plus, bien que pas très long (300 pages en poche, édition 1976 LdP), s'intéresse un peu trop à des détails sans importance avec l'intrigue : la femme de Brody et ses complexes sexuels, qui, en plus, va tromper son mari en couchant avec Hooper (vraiment à l'opposé du film, les personnages et leurs motivations !) ; le maire, que Brody soupçonne d'avoir des liens un peu douteux concernant son agence immobilière, le journaliste, tellement peu présent dans le film que c'est comme si il n'y était pas...
C'est moyennement écrit, aussi, pour rester sympa.
Certaines tournures de phrases, comme par exemple à la toute fin du chapitre 5, laissent songeur : pourquoi qualifier de 'nègre', avec un N majuscule, un personnage de couleur ? Pourquoi ce racisme gerbant ?
Et comme d'autres le disent ici, la fin est, en effet, bien ratée comme il faut.
Un roman de série B, du niveau des suites cinématographiques (disons, de la première suite, parce que les autres, c'est pire encore) du chef d'oeuvre que Spielberg en tirera. A noter que Benchley joue rapidos dans le film, un reporter TV sur la plage d'Amity, le jour du 4 juillet.
Un titre culte
Critique de Ayor (, Inscrit le 31 janvier 2005, 52 ans) - 23 décembre 2016
La plus surprenante étant la fin carrément différente et bien mieux à voir qu’à lire. En effet dans l’œuvre écrite celle-ci est soudaine, confuse, et pas franchement réussie.
Par ailleurs le roman dépeint une partie de la classe sociale américaine et se consacre bien plus aux profils des personnages qu’à l’action, celle-ci étant, en revanche, privilégiée dans l’adaptation cinématographique, le point d’orgue étant l’affrontement final entre les hommes et la bête.
Au final, l’œuvre littéraire se révèle originale, bénéficie d’un excellent suspense et de personnages attachants, mais souffre malheureusement d’une fin totalement bâclée.
"Mais la peur... pas question !"
Critique de Antihuman (Paris, Inscrit le 5 octobre 2011, 41 ans) - 9 avril 2014
De telle sorte qu'on pourrait en tirer une vraie étude psychologique de la vie d'une station balnéaire et de ses habitants: d'abord il y a le chef de la police d'Amity (Martin Brody), donc le cocu et mentor de "Jaws", et ensuite les protagonistes variés. Toutefois il n'existe que grâce à ce Zeus de circonstance, et il va sans dire que les multiples réflexions qu'il fait sur les estivants sont les noeuds gordiens du récit, on notera entre autre ces commentaires sur les chemises Lacoste, cet uniforme du riche estivant traditionnel d'Amity, ce que Brody n'est en rien. Jeune ado, il s'en paiera d'ailleurs une après des travaux pour de l'argent de poche, et la jettera de colère après l'indifférence que cet épisode fashion provoque ! Comment, pas lui ? Et pourquoi alors ?
Davantage donc que les méduses, les harpies de l'océan, les gorgones hystériques, les ploucs bobos simples d'esprit ou les monstres des B-movies, les personnages de "Jaws" ne sont que les habitants d'un singulier théâtre dont certains lignes sont suffisamment claires; on observe la qualité d'un arbre à ses fruits et non l'inverse. Car bien sûr, "Jaws" est un chef d'oeuvre puritain mais en même temps un peu plus que cela, sinon LE parfait scénario...
Quelques répliques mythiques
"Il y en a qui sont terriblement étroites."
"Il était à la fois le traître et celui qui était trahi, le menteur et sa dupe. (...) Il était une prostituée obligée de faire le trottoir contre son gré.
UN REQUIN MONSTRE TUE 2 PERSONNES SUR LA PLAGE D'AMITY
"Dans ses rêves, l'océan était hanté de créatures gluantes et féroces qui montaient des profondeurs pour dévorer les nageurs, des démons ricanants et grondants.
Décevant par rapport au film
Critique de Kalie (Sarthe, Inscrit le 4 juillet 2010, 54 ans) - 8 octobre 2013
A découvrir
Critique de BIEN LU (, Inscrit le 8 octobre 2010, 61 ans) - 14 avril 2012
Jaws
Critique de Yanice (, Inscrit le 11 septembre 2005, 39 ans) - 15 juin 2006
Par contre, si vous avez cru tout voir sur le sexe et la perversité chez Stephen King, vous serez surpris de lire Benchley qui va encore plus loin dans le langage utilisé et les faits.
Outre ses qualités, le roman sent un peu la poussière et la fin tombe carrément à plat.
P.S: La fin n'est pas du tout la même que celle du film (qui est bien meilleure!)
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