Le diable s'habille en Prada de Lauren Weisberger
Le diable s'habille en Prada de Lauren Weisberger
(The devil wears Prada)
(The devil wears Prada)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
Critiqué par SEGO, le 2 novembre 2004
(Inscrite le 2 novembre 2004, 47 ans)
Critiqué par SEGO, le 2 novembre 2004
(Inscrite le 2 novembre 2004, 47 ans)
La note :
Moyenne des notes : (basée sur 34 avis)
Cote pondérée : (442ème position).
Visites : 13 016 (depuis Novembre 2007)
Moyenne des notes : (basée sur 34 avis)
Cote pondérée : (442ème position).
Visites : 13 016 (depuis Novembre 2007)
Excellent livre
Auteur Américain, pour un premier roman, c'est très bien écrit et cela se lit très bien, on passe un bon moment à la lecture dans l'univers des dessous de la mode et d'une descente en enfer de l'héroïne.
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Les éditions
-
Le diable s'habille en Prada [Texte imprimé] Lauren Weisberger trad. de l'américain par Christine Barbaste
de Weisberger, Lauren Barbaste, Christine (Traducteur)
Fleuve noir / Fleuve moir
ISBN : 9782265077034 ; 3,29 € ; 22/07/2004 ; 441 p. ; Broché
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Les critiques éclairs (33)
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Pour les filles ? pas forcément
Critique de Callisthene (Cagnes/mer, Inscrit le 12 juin 2014, 37 ans) - 14 juin 2014
Excellent livre, qui n'a cessé de me faire sourire du début à la fin. Dans un univers de mode, de choix méticuleux des vêtements, il n'est pas évident pour des hommes pas forcément portés sur cela, de se plonger dans ce livre. Pourtant, on se reconnait tous un peu chez An-dre-âââ. Sa simplicité, son sens de la répartie, son pragmatisme et surtout l'enfer de sa supérieure ! Le duo qu'elle forme (bien malgré elle) avec Miranda-cruella- est le pilier de ce roman. C'est tout simplement délicieux. On peine à fermer le livre tant on en demanderait encore !
un livre rafraichissant
Critique de Pourquoipas (, Inscrite le 26 février 2013, 43 ans) - 26 février 2013
Oh, bien sûr il ne ne s'agit pas d'une nouvelle ou d'un livre "d''auteur", mais l'histoire a le mérite d'être originale. On s'attache à l'héroïne par une écriture drôle et rafraîchissante, partageant tour à tour les espoirs et les désillusions de son expérience professionnelle. On se surprend à détester Anna Wintour, et finalement on s'identifie très vite à Andréa.
J'ai lu le livre avant d'avoir vu le film, qui quant à lui était un peu décevant, bien qu'honorable.
J'ai lu le livre avant d'avoir vu le film, qui quant à lui était un peu décevant, bien qu'honorable.
Victime de la mode, tel est son nom de code
Critique de Monde imaginaire (Bourg La Reine, Inscrite le 6 octobre 2011, 51 ans) - 20 décembre 2011
Seriez-vous prête à vendre votre âme au Diable pour une paire de Jimmy Choo ??
C’est un peu le dilemme auquel va être confrontée Andrea, jeune journaliste aux antipodes de la « fashion victim » au tout début du livre, mais elle va très vite succomber au miroir aux alouettes lorsqu’elle commence à travailler chez Runaway (qui n’est autre que le très célèbre magazine Vogue).
Dans le Diable s’habille en Prada, le monde de la mode en prend pour son grade : un monde impitoyable et cruel, un monde ridicule, obsédé par le paraître, où tout est interchangeable à l’infini. J’ai vraiment passé un bon moment avec ce livre mordant et satyrique.
J’imagine que des dents ont dû grincer surtout celles d’Anna Wintour qui est en fait le personnage de Miranda. Miranda, grande prêtresse de la mode devant l’Eternel, règne sur ce petit monde et prend un malin plaisir à tyranniser, à humilier, à exiger des choses totalement improbables ou absurdes. Tout comme Andrea on connaît aussi parfois des grands moments de solitude au boulot mais franchement après avoir lu ce livre votre job vous paraîtra être un job de rêve !!!
Sous ces dehors légers et glamour, ce livre a tout de même le mérite de nous faire réfléchir sur la difficulté à s’intégrer dans une entreprise (sommes-nous prêts à tout renier pour appartenir à un groupe ?) et sur le pouvoir de la mode (sommes-nous des moutons qui suivons aveuglément les tendances que la mode nous impose ?) J’ose espérer qu’il nous reste encore assez de libre arbitre pour pouvoir décider de qui nous sommes et de qui nous plaît vraiment.
C’est un peu le dilemme auquel va être confrontée Andrea, jeune journaliste aux antipodes de la « fashion victim » au tout début du livre, mais elle va très vite succomber au miroir aux alouettes lorsqu’elle commence à travailler chez Runaway (qui n’est autre que le très célèbre magazine Vogue).
Dans le Diable s’habille en Prada, le monde de la mode en prend pour son grade : un monde impitoyable et cruel, un monde ridicule, obsédé par le paraître, où tout est interchangeable à l’infini. J’ai vraiment passé un bon moment avec ce livre mordant et satyrique.
J’imagine que des dents ont dû grincer surtout celles d’Anna Wintour qui est en fait le personnage de Miranda. Miranda, grande prêtresse de la mode devant l’Eternel, règne sur ce petit monde et prend un malin plaisir à tyranniser, à humilier, à exiger des choses totalement improbables ou absurdes. Tout comme Andrea on connaît aussi parfois des grands moments de solitude au boulot mais franchement après avoir lu ce livre votre job vous paraîtra être un job de rêve !!!
Sous ces dehors légers et glamour, ce livre a tout de même le mérite de nous faire réfléchir sur la difficulté à s’intégrer dans une entreprise (sommes-nous prêts à tout renier pour appartenir à un groupe ?) et sur le pouvoir de la mode (sommes-nous des moutons qui suivons aveuglément les tendances que la mode nous impose ?) J’ose espérer qu’il nous reste encore assez de libre arbitre pour pouvoir décider de qui nous sommes et de qui nous plaît vraiment.
Jeux de pouvoir
Critique de Carmen (, Inscrite le 15 mai 2011, 78 ans) - 16 mai 2011
Quand on découvre le roman après avoir vu le film, Miranda surprend car Meryl Streep et le scénario l'ont humanisée, la rendant moins cruelle, moins machiavélique, la montrant même défaite, en souffrance. Cette fiction, destinée certainement d’abord à amuser et à faire sourire, pose aussi le problème bien actuel du harcèlement au travail et de ses conséquences tragiques sur les victimes dont les faits divers font état régulièrement.
Même si ce roman est un peu long, je n'ai pas vu passer le temps!
Même si ce roman est un peu long, je n'ai pas vu passer le temps!
Pas si superficiel que cela
Critique de Bobo (, Inscrit le 10 décembre 2009, 65 ans) - 29 octobre 2010
Hello,
Il y a deux manières de voir ce livre.
L'aspect mode avec en première ligne Karl, Oscar de la Renta, John Galliano, etc... donc très superficiel
Et puis l'aspect souffrance au travail. Jusqu'où pouvons nous supporter la tyrannie.
L'héroïne l'a supporté presque un an, d'autres n'y arrivent pas et se jettent par la fenêtre, d'autres auraient tout stoppé dès le début.
Elle dit qu'elle déteste Miranda, mais il y a une espèce de fascination envers son bourreau, elle parle d'ailleurs du syndrome de Stockholm.
Donc ne prenez pas ce livre au premier degré, oubliez Meryll Streep et vous passerez un bon moment.
Une critique : le livre est un peu long, 100 pages en moins n'auraient pas été inutile.
Bonne journée
Il y a deux manières de voir ce livre.
L'aspect mode avec en première ligne Karl, Oscar de la Renta, John Galliano, etc... donc très superficiel
Et puis l'aspect souffrance au travail. Jusqu'où pouvons nous supporter la tyrannie.
L'héroïne l'a supporté presque un an, d'autres n'y arrivent pas et se jettent par la fenêtre, d'autres auraient tout stoppé dès le début.
Elle dit qu'elle déteste Miranda, mais il y a une espèce de fascination envers son bourreau, elle parle d'ailleurs du syndrome de Stockholm.
Donc ne prenez pas ce livre au premier degré, oubliez Meryll Streep et vous passerez un bon moment.
Une critique : le livre est un peu long, 100 pages en moins n'auraient pas été inutile.
Bonne journée
Découverte
Critique de Eoliah (, Inscrite le 27 septembre 2010, 73 ans) - 22 octobre 2010
Une découverte d'un milieu dont je ne savais rien et aussi mise en évidence des rouages de la souffrance au travail. La fin très sympa rachète les longueurs de la description des journées de travail.
Un chouette roman pour l'été.
Critique de Tochinette (, Inscrite le 8 mai 2010, 30 ans) - 8 mai 2010
Détente assurée avec une histoire légère mais fournie.
Je déplore que l'adaptation ait choisi de ne pas refaire à l'identique la scène où Andréa claque la porte; c'était si théâtral et si inattendu !
Je déplore que l'adaptation ait choisi de ne pas refaire à l'identique la scène où Andréa claque la porte; c'était si théâtral et si inattendu !
Chouette lecture
Critique de Lalie2548 (, Inscrite le 7 avril 2010, 39 ans) - 2 mai 2010
Livre très sympa. On s'attache vite à l'héroïne qui se retrouve dans le monde impitoyable de la mode avec une patronne pas comme les autres... Elle a envie de réaliser son rêve mais ce n'est pas toujours facile de le faire dans un tel milieu. De plus ne risque-t-elle pas de s'éloigner des gens qu'elle aime? Très bonne lecture.
Victime de la mode
Critique de Vero911 (, Inscrite le 23 janvier 2010, 38 ans) - 12 février 2010
Le diable s'habille en Prada (c'est qu'il a du goût !)
Dans ce roman, on suit l'introduction de l'innocente dans le monde impitoyable de la presse de mode. En devenant l'assistante personnelle de la rédactrice en chef de Runaway, Andrea croit avoir accès au job de ses rêves, il en ira tout autrement.
Ce livre que j'ai lu pas mal de temps avant de voir le film, est drôle, aérien, de temps en temps cruel. Il se lit avec plaisir. Une chose est sûre, cela ne donne pas envie de travailler dans une rédaction de mode et encore moins de côtoyer ce milieu fait d'apparence et d'apparats !
Dans ce roman, on suit l'introduction de l'innocente dans le monde impitoyable de la presse de mode. En devenant l'assistante personnelle de la rédactrice en chef de Runaway, Andrea croit avoir accès au job de ses rêves, il en ira tout autrement.
Ce livre que j'ai lu pas mal de temps avant de voir le film, est drôle, aérien, de temps en temps cruel. Il se lit avec plaisir. Une chose est sûre, cela ne donne pas envie de travailler dans une rédaction de mode et encore moins de côtoyer ce milieu fait d'apparence et d'apparats !
C'est l'enfer de la mode...
Critique de Alouette (Seine Saint Denis, Inscrite le 8 mai 2008, 39 ans) - 5 octobre 2008
J'ai vu le film en premier, ça m'a permis de mieux apprécier le livre. Les deux Miranda sont complètement différentes, celle du film étant un peu plus humaine à la fin (je dis un peu). Sinon, c'est un bon livre de détente pour la plage (faut juste faire attention aux grains de sable car nos amis les bibliothécaires n'aiment pas en retrouver dans les livres !!!).
Magique
Critique de Nolwenn.ma (clermont ferrand, Inscrite le 23 septembre 2008, 35 ans) - 23 septembre 2008
Ce livre est tout simplement magique, il nous emporte dans un autre univers sans quitter la terre. Dans cette univers complètement décalé qu'est la mode, on peut rêver, mais aussi faire des cauchemars. Malgré la terrible Miranda, la place qu'a Andrea est magique, elle débarque dans un monde opposé au sien mais s'y adapte très bien!!
Même si Miranda gâche son bonheur d'être au milieu de vêtements Versace, Chanel, Gucci, Prada, Dior, Oscar de la Renta, etc...
Des milliers de filles se damneraient pour travailler avec elle...
Même si Miranda gâche son bonheur d'être au milieu de vêtements Versace, Chanel, Gucci, Prada, Dior, Oscar de la Renta, etc...
Des milliers de filles se damneraient pour travailler avec elle...
Un bon moment de détente
Critique de Nance (, Inscrite le 4 octobre 2007, - ans) - 6 juillet 2008
Ce n’est pas de la grande littérature, c’est de la chick lit qui se lit facilement, qui est drôle et qui se veut être divertissant avec des rebondissements prévisibles (mais avec style quand même). Je me suis attaché aux personnages, ils sont vivants et colorés. On suit leurs aventures et on en redemande. Un livre à lire si on est d’humeur midinette. En passant, les hommes peuvent aussi aimer ça. Un roman sympathique.
Hilarant
Critique de Chris (Bruxelles, Inscrite le 30 décembre 2003, 51 ans) - 16 décembre 2007
Je n'ai pas encore vu le film, mais j'ai bien rigolé avec le livre! La vie d'enfer que cette pauvre Andreaaaaaaaa, comme l'appelle sa patronne, mène à cause d'un monstre de boss est vraiment affreuse mais on ne peut s'empêcher de rire. OK, à la fin, Andrea se rendra compte qu'elle a perdu beaucoup de choses mais elle s'en sortira. Et en le lisant, je ne sais pas trop pourquoi mais elle m'a fait penser à une de mes collègues et je suis sûre que si vous cherchez bien, vous aussi vous connaissez quelqu'un d'aussi exigeant et peu scrupuleux autour de vous ;-)
Oui, mais...
Critique de Marc Florian (, Inscrit le 9 mai 2007, 55 ans) - 3 juillet 2007
Un petit bouquin rafraîchissant, pétulant et très agréable à lire, trempé dans le Champagne et le vitriol :) Il m'a donné envie de voir à quoi ressemblait des sandales Jimmy Choo, c'est vous dire...
La fameuse 'Miranda' est une garce de première, un véritable tyran qui demande à An-dreeee-âââ d'effectuer les tâches les plus subalternes et les plus humiliantes, qui l'oblige à accomplir des missions impossibles - et futiles - à côté desquelles celles de Tom Cruise s'apparentent aux cabrioles de la Belle des Champs qui baguenaude-dans-les-pâturages.
Un an... Andrea doit tenir un an et accepter cette forme d'esclavage sans broncher, puis elle aura peut-être une chance de bénéficier d'un piston pour travailler au New Yorker, comme elle en a toujours rêvé.
J'ai beaucoup aimé mais j'émettrai quand même un bémol : l'écriture est très enjouée, l'histoire amusante...
Cher visiteur, si tu ne veux pas que je te 'gâche' la découverte, arrête de lire ici. Sinon, continue : je ne révèle pas la fin, mais mon avis à son sujet. Pour ne pas vendre la mèche, voici l'adresse Internet d'une sandale Jimmy Choo qui te permettra de voir l'un des personnages clés du livre et de ne pas lire les lignes qui suivent :)
http://oopshi.com/images/…
Si tu as continué, c'est que tu veux savoir.
Voici la suite : au fur et à mesure, on en vient à souhaiter une bonne 'punition' pour cette Miranda, une fin à l'Américaine :) avec un retournement de situation rocambolesque. Or, la pression monte, monte, moooooonte... et... pfffffuit ! 5 pages avant la fin, un petit pétard mouillé fait une timide apparition. Je suis quand même un peu resté sur ma faim. Allez, quoi, je m'attendais quand même à un truc sympa du genre coup de boule, seau de goudron sur la tête, grande révélation à l'échelle mondiale... Non : pffuit, un p'tit pet entre deux fesses bien serrées et ni vu ni connu que j'te termine le bouquin !
A part cela, je me suis régalé pendant tout le reste du livre.
La fameuse 'Miranda' est une garce de première, un véritable tyran qui demande à An-dreeee-âââ d'effectuer les tâches les plus subalternes et les plus humiliantes, qui l'oblige à accomplir des missions impossibles - et futiles - à côté desquelles celles de Tom Cruise s'apparentent aux cabrioles de la Belle des Champs qui baguenaude-dans-les-pâturages.
Un an... Andrea doit tenir un an et accepter cette forme d'esclavage sans broncher, puis elle aura peut-être une chance de bénéficier d'un piston pour travailler au New Yorker, comme elle en a toujours rêvé.
J'ai beaucoup aimé mais j'émettrai quand même un bémol : l'écriture est très enjouée, l'histoire amusante...
Cher visiteur, si tu ne veux pas que je te 'gâche' la découverte, arrête de lire ici. Sinon, continue : je ne révèle pas la fin, mais mon avis à son sujet. Pour ne pas vendre la mèche, voici l'adresse Internet d'une sandale Jimmy Choo qui te permettra de voir l'un des personnages clés du livre et de ne pas lire les lignes qui suivent :)
http://oopshi.com/images/…
Si tu as continué, c'est que tu veux savoir.
Voici la suite : au fur et à mesure, on en vient à souhaiter une bonne 'punition' pour cette Miranda, une fin à l'Américaine :) avec un retournement de situation rocambolesque. Or, la pression monte, monte, moooooonte... et... pfffffuit ! 5 pages avant la fin, un petit pétard mouillé fait une timide apparition. Je suis quand même un peu resté sur ma faim. Allez, quoi, je m'attendais quand même à un truc sympa du genre coup de boule, seau de goudron sur la tête, grande révélation à l'échelle mondiale... Non : pffuit, un p'tit pet entre deux fesses bien serrées et ni vu ni connu que j'te termine le bouquin !
A part cela, je me suis régalé pendant tout le reste du livre.
Très facile à lire mais fort agréable
Critique de Le_matou_d_internet (, Inscrit le 7 avril 2007, 33 ans) - 6 juin 2007
Il est vrai que ce livre est assez simpliste dans l'écriture, ce n'est pas du Sartre, loin de là. Mais c'est un bon roman pour lire à la plage ou dans le train.
Décue décue mais peut être impatiente...
Critique de ADE (MARSEILLE, Inscrite le 10 octobre 2005, 46 ans) - 19 mai 2007
Désolé de ne pas être d'accord avec un peu tout le monde mais j'ai sauté sur ce livre suite au succès du film. et vlan! déception...
En effet, j'adore lire les livres que l'on adapte au cinéma : en général, ça vaut le coup.
Mais là, je n'ai pu lire que deux chapitres... je pense que c'est la syntaxe qui m'a ennuyée dès le départ :
aucun point, les chapitres durent une éternité, les descriptions durent six pages, et puis le monde du travail, on le voit toute la semaine....
Ce livre ne m'a pas "pris" comme on dit, et j'en suis ressorti avec un petit mal de tête...
En effet, j'adore lire les livres que l'on adapte au cinéma : en général, ça vaut le coup.
Mais là, je n'ai pu lire que deux chapitres... je pense que c'est la syntaxe qui m'a ennuyée dès le départ :
aucun point, les chapitres durent une éternité, les descriptions durent six pages, et puis le monde du travail, on le voit toute la semaine....
Ce livre ne m'a pas "pris" comme on dit, et j'en suis ressorti avec un petit mal de tête...
Talons de fer et gants d'acier : pour rire à en pleurer
Critique de Veneziano (Paris, Inscrit le 4 mai 2005, 47 ans) - 27 octobre 2006
Andrea Sachs, dite Andy, fraîchement diplômée en journalisme, se fait embaucher chez Elias-Clark, qui édite la revue Runway, la bible internationale, tenue d'une main de fer par la Femme-dragon, sa rédactrice en chef, Miranda Priestley. Son recrutement pour un an comme assistante auprès d'elle relève déjà de l'exploit : elle ne s'intéresse pas à la mode et n'avait jamais lu auparavant la revue en question. Son culot et son audace l'y ont aidée... à son grand désespoir par la suite...
Miranda est un vrai tyran de l'absurde, une Ubu-Reine de la mode, qui exige qu'on trouve pour ses jumelles un manuscrit d'un livre non encore paru, qu'on lui affrète un jet privé par temps d'ouragan quand tous les avions commerciaux sont cloués au sol, que soient prêts à la seconde ses cafés, déjeuners, livraisons de vêtements de luxe dont elle a passé commande.
Elle est chapeautée par Emily - "Em" -, l'ex assistante junior, passée assistante senior : Andy la seconde désormais. Elle admire la diva de la mode. Dans sa vie privée, Andy a un petit ami, Alex, ses parents, sa soeur enceinte, sa meilleure copine Lily, étudiante.
Emily, atteinte de mononucléose infectieuse "carabinée" (si ça n'est pas un pléonasme) est clouée à l'hôpital : à son grand dam, elle ne peut pas accompagner Miranda à Paris pour la semaine des défilés de mode, et c'est la consécration pour Andrea, qui doit l'y remplacer sur-le-champ.
Par ailleurs, elle est au bord de tomber sous le charme de Christian, romancier à succès et grand séducteur, et, du même coup, dans l'adultère. Succombe-t-elle ? Pour le savoir, lisez jusqu'au bout.
Andy a donc fini par se prêter au jeu, sans même véritablement s'en rendre compte : de peur de se faire virer, elle compose et obéît aux caprices les plus futiles de Miranda. Alex, qu'elle ne voit quasiment plus, s'attriste et sa vie sentimentale se dégrade. Elle n'a pas le temps de voir son neveu qui vient de naître, et Lily, devenue depuis peu sa colocataire, prend la pente savonneuse de l'alcoolisme et tombe un jour dans le coma, dont elle se remet, heureusement, après un accident de voiture. C'est ce qui crée le dénouement, un peu attendu en soi, mais dont les circonstances consistent la surprise.
Il est étonnamment fait allusion à Anna Wintour, la directrice de Vogue, qui a inspiré le personnage de Miranda, pour devenir un personnage autonome.
Le roman est très drôle, et bourré d'anecdotes croustillantes de sadisme. J'ai chaviré, comme une vraie midinette, entre désopilement et compassion. C'est un peu long, mais ça se laisse bien lire.
J'ai vu le film avant. Meryl Strip y est géniale. Elle porte le film.
Il est amusant de voir les différences entre la trame originelle et le scénario. Le roman, assez long, est évidemment plus fouillé : les personnages, bien qu'assez caricaturaux, pour faire rire, sont mieux décrits psychologiquement, tandis que le film, très distrayant, est avant tout une comédie de masse : il y a donc eu des simplifications.
Mais il a été opéré des modifications : dans le film, le roman non paru arrive dans les mains des jumelles, ce qui n'est pas le cas dans le roman. C'est Emily qui s'occupe du fameux vol par temps d'ouragan, alors que, dans le film, c'est Andy qui en écope. Dans le film, Miranda décide sciemment d'évincer Emily du voyage à Paris, la veille où elle a un accident de voiture. Lily se retrouve photographe dans le film, et pas étudiante, ni colocataire d'Andrea. Elle ne devient pas alcoolique et n'a pas d'accident. Elle est beaucoup moins présente dans le film que dans le roman. Dans le film, Andrea vit avec Alex, qui est là cuisinier, et elle n'a pas de soeur. Dans le film, une concurrence professionnelle à laquelle est confrontée Miranda n'apparaît pas dans le roman. Le film a grossi encore les relations Miranda-Andrea : elle finit quasiment à sa dévotion, et part d'un peu bas socialement. La fin n'est pas tout à fait pareil, mais de la même teneur.
C'est un bon moment. Je le recommande à tout le monde. Si vous détestez la mode, cela vous confortera vos impressions ; si vous êtes attiré par ses paillettes, cela vous fera rire et un chouilla rêver. C'est très américain ; il n'y a rien de trop méchant à craindre.
Miranda est un vrai tyran de l'absurde, une Ubu-Reine de la mode, qui exige qu'on trouve pour ses jumelles un manuscrit d'un livre non encore paru, qu'on lui affrète un jet privé par temps d'ouragan quand tous les avions commerciaux sont cloués au sol, que soient prêts à la seconde ses cafés, déjeuners, livraisons de vêtements de luxe dont elle a passé commande.
Elle est chapeautée par Emily - "Em" -, l'ex assistante junior, passée assistante senior : Andy la seconde désormais. Elle admire la diva de la mode. Dans sa vie privée, Andy a un petit ami, Alex, ses parents, sa soeur enceinte, sa meilleure copine Lily, étudiante.
Emily, atteinte de mononucléose infectieuse "carabinée" (si ça n'est pas un pléonasme) est clouée à l'hôpital : à son grand dam, elle ne peut pas accompagner Miranda à Paris pour la semaine des défilés de mode, et c'est la consécration pour Andrea, qui doit l'y remplacer sur-le-champ.
Par ailleurs, elle est au bord de tomber sous le charme de Christian, romancier à succès et grand séducteur, et, du même coup, dans l'adultère. Succombe-t-elle ? Pour le savoir, lisez jusqu'au bout.
Andy a donc fini par se prêter au jeu, sans même véritablement s'en rendre compte : de peur de se faire virer, elle compose et obéît aux caprices les plus futiles de Miranda. Alex, qu'elle ne voit quasiment plus, s'attriste et sa vie sentimentale se dégrade. Elle n'a pas le temps de voir son neveu qui vient de naître, et Lily, devenue depuis peu sa colocataire, prend la pente savonneuse de l'alcoolisme et tombe un jour dans le coma, dont elle se remet, heureusement, après un accident de voiture. C'est ce qui crée le dénouement, un peu attendu en soi, mais dont les circonstances consistent la surprise.
Il est étonnamment fait allusion à Anna Wintour, la directrice de Vogue, qui a inspiré le personnage de Miranda, pour devenir un personnage autonome.
Le roman est très drôle, et bourré d'anecdotes croustillantes de sadisme. J'ai chaviré, comme une vraie midinette, entre désopilement et compassion. C'est un peu long, mais ça se laisse bien lire.
J'ai vu le film avant. Meryl Strip y est géniale. Elle porte le film.
Il est amusant de voir les différences entre la trame originelle et le scénario. Le roman, assez long, est évidemment plus fouillé : les personnages, bien qu'assez caricaturaux, pour faire rire, sont mieux décrits psychologiquement, tandis que le film, très distrayant, est avant tout une comédie de masse : il y a donc eu des simplifications.
Mais il a été opéré des modifications : dans le film, le roman non paru arrive dans les mains des jumelles, ce qui n'est pas le cas dans le roman. C'est Emily qui s'occupe du fameux vol par temps d'ouragan, alors que, dans le film, c'est Andy qui en écope. Dans le film, Miranda décide sciemment d'évincer Emily du voyage à Paris, la veille où elle a un accident de voiture. Lily se retrouve photographe dans le film, et pas étudiante, ni colocataire d'Andrea. Elle ne devient pas alcoolique et n'a pas d'accident. Elle est beaucoup moins présente dans le film que dans le roman. Dans le film, Andrea vit avec Alex, qui est là cuisinier, et elle n'a pas de soeur. Dans le film, une concurrence professionnelle à laquelle est confrontée Miranda n'apparaît pas dans le roman. Le film a grossi encore les relations Miranda-Andrea : elle finit quasiment à sa dévotion, et part d'un peu bas socialement. La fin n'est pas tout à fait pareil, mais de la même teneur.
C'est un bon moment. Je le recommande à tout le monde. Si vous détestez la mode, cela vous confortera vos impressions ; si vous êtes attiré par ses paillettes, cela vous fera rire et un chouilla rêver. C'est très américain ; il n'y a rien de trop méchant à craindre.
Un petit délice
Critique de Muchado (Paris, Inscrite le 21 avril 2006, 43 ans) - 24 septembre 2006
Je me suis régalée en lisant ce petit "bouquin de filles". Non seulement parce que je me suis reconnue dans de nombreux épisodes mais aussi parce que c'est drôle. Tout simplement. Tout est exagéré, pour le pire supplice d'Andrea, qu'on a parfois envie de prendre dans nos bras.
Que ne donnerait-on pas pour ne pas se retrouver à sa place !
Allez maintenant, vite, le film (que je vais m'empresser d'aller voir avec mes collègues) !
Que ne donnerait-on pas pour ne pas se retrouver à sa place !
Allez maintenant, vite, le film (que je vais m'empresser d'aller voir avec mes collègues) !
Drôle, divertissant, rafraîchissant...
Critique de Vigger (, Inscrite le 7 mai 2004, 48 ans) - 26 août 2006
Une collègue m'a prêté ce roman et, bien que d'habitude je ne lis pas ce genre d'histoires, j'ai vraiment adoré !
Je ne suis pas franchement une fashion victim (juste un soupçon pour la forme) et j'ai totalement accroché à cette histoire ayant pour fond le monde impitoyable de la mode avec ses filles anorexiques, les commères qui critiquent... tout ce que je déteste en fait.
J'ai même découvert beaucoup de grands noms de marques que je ne connaissais pas et qui me paraissent presque familiers maintenant... Comme quoi on peut même apprendre avec ce livre !!!
L'histoire est très simple, mais on se prend au jeu et on a envie de tuer Miranda tout au long du livre, c'est trop génial et horrible en même temps...
Un très bon moment de détente !
Une seule question me taraude : est-ce qu'un homme aimerait ce livre ?
Je ne suis pas franchement une fashion victim (juste un soupçon pour la forme) et j'ai totalement accroché à cette histoire ayant pour fond le monde impitoyable de la mode avec ses filles anorexiques, les commères qui critiquent... tout ce que je déteste en fait.
J'ai même découvert beaucoup de grands noms de marques que je ne connaissais pas et qui me paraissent presque familiers maintenant... Comme quoi on peut même apprendre avec ce livre !!!
L'histoire est très simple, mais on se prend au jeu et on a envie de tuer Miranda tout au long du livre, c'est trop génial et horrible en même temps...
Un très bon moment de détente !
Une seule question me taraude : est-ce qu'un homme aimerait ce livre ?
pour se détendre
Critique de Babsid (La Varenne St Hilaire, Inscrite le 8 mai 2006, 37 ans) - 1 juillet 2006
C'est le livre idéal pour se détendre et flâner.
Il se laisse parcourir très facilement.
On rit, parfois, et on a envie d'étrangler Miranda, souvent.
Il me laissera un bon souvenir
Il se laisse parcourir très facilement.
On rit, parfois, et on a envie d'étrangler Miranda, souvent.
Il me laissera un bon souvenir
Rose pour les filles
Critique de -LAURA- (Bois-colombes, Inscrite le 18 mars 2006, 46 ans) - 19 mars 2006
Un vrai livre de filles !!!!!!!!!!!!!!!
Un livre féminin, 440 pages de bonheur, le monde impitoyable de la mode, des scènes plus que comique , une vilaine sorcière nommée Miranda, un livre fait pour se détendre et se vider la tête, il se lit vite et peut-être même trop vite.C'est un cocktail de bonne humeur. Chez le même éditeur à lire également "Blonde attitude"
Un livre féminin, 440 pages de bonheur, le monde impitoyable de la mode, des scènes plus que comique , une vilaine sorcière nommée Miranda, un livre fait pour se détendre et se vider la tête, il se lit vite et peut-être même trop vite.C'est un cocktail de bonne humeur. Chez le même éditeur à lire également "Blonde attitude"
Vamos a la plaja, oh-ohohohoh
Critique de Sparkling Nova (Paris, Inscrite le 6 juillet 2005, 41 ans) - 6 mars 2006
Voilà un joli livre, parfait pour emmener à la plage.
D'abord, sa couverture rose vous permettra d'attirer le regard des maîtres-nageurs bronzés. Une femme avec un livre à la main, ça fait peur. Mais si le livre est rose, ça va.
Ensuite, son épaisseur permet, une fois l'ouvrage achevé, de s'en servir comme appuie tête. Atout non négligeable, qui donne un air étudié d'intello-décontractée.
Enfin, l'intrigue se révèle idéale pour vous faire apprécier à leur juste valeur vos vacances bien méritées. Ben oui, quoi de plus affreux que ce qui arrive à la pauvre Andréa, condamnée à servir d'assistante à une rédactrice de mode tyrannique?
En somme, voici un livre léger, à l'écriture agréable. Pas d'intrigue, juste une succession d'anecdotes autour d'ingrédients prédigérés (la meilleure amie en dérive, le prince charmant ordinaire, le bel inconnu mystérieux, etc.)
Ce livre me mets mal à l'aise, car oui il est futile, mais mignon.
Malheureusement, les aventures d'Andrea au pays de Chanel laissent un goût amer. Porter des vêtements chers et tout serrés, c'est dur. Obéir aux ordres de son patron et faire des heures supp', c'est pas humain. Etre payé à effectuer des tâches peu épanouissantes, c'est trop affreux. Ouvriers et autres employés, petit peuple ordinaire, passez votre chemin, tant ce livre est insultant envers vous!
Pardon d'avance, mais il fallait que ça sorte:
Vamos a la prada, oh-ohohohoh :)
D'abord, sa couverture rose vous permettra d'attirer le regard des maîtres-nageurs bronzés. Une femme avec un livre à la main, ça fait peur. Mais si le livre est rose, ça va.
Ensuite, son épaisseur permet, une fois l'ouvrage achevé, de s'en servir comme appuie tête. Atout non négligeable, qui donne un air étudié d'intello-décontractée.
Enfin, l'intrigue se révèle idéale pour vous faire apprécier à leur juste valeur vos vacances bien méritées. Ben oui, quoi de plus affreux que ce qui arrive à la pauvre Andréa, condamnée à servir d'assistante à une rédactrice de mode tyrannique?
En somme, voici un livre léger, à l'écriture agréable. Pas d'intrigue, juste une succession d'anecdotes autour d'ingrédients prédigérés (la meilleure amie en dérive, le prince charmant ordinaire, le bel inconnu mystérieux, etc.)
Ce livre me mets mal à l'aise, car oui il est futile, mais mignon.
Malheureusement, les aventures d'Andrea au pays de Chanel laissent un goût amer. Porter des vêtements chers et tout serrés, c'est dur. Obéir aux ordres de son patron et faire des heures supp', c'est pas humain. Etre payé à effectuer des tâches peu épanouissantes, c'est trop affreux. Ouvriers et autres employés, petit peuple ordinaire, passez votre chemin, tant ce livre est insultant envers vous!
Pardon d'avance, mais il fallait que ça sorte:
Vamos a la prada, oh-ohohohoh :)
Le diable s'habille en Prada
Critique de Anne-Lise (, Inscrite le 21 février 2006, 76 ans) - 22 février 2006
C'est avec intérêt que j'ai suivi l'itinéraire d'Andréa, itinéraire éprouvant pour cette jeune femme qui se débat dans son premier job, au sein du monde superficiel de la mode.
Le style efficace qui permet de bien camper les personnages, notamment l'odieuse patronne Miranda, et l'humour présent tout au long du livre, en font un roman qui accroche le lecteur dès la première page.
Le style efficace qui permet de bien camper les personnages, notamment l'odieuse patronne Miranda, et l'humour présent tout au long du livre, en font un roman qui accroche le lecteur dès la première page.
Ah bon?
Critique de Apmisa (pays basque, Inscrite le 14 octobre 2005, 52 ans) - 20 janvier 2006
Difficile de comprendre pourquoi ce livre est un un best-seller.Pas mauvais en soi, mais pas très intéressant tout de même;;à peine divertissant.
Tout ce qui brille n'est pas or
Critique de Maya (Eghezée, Inscrite le 18 octobre 2001, 49 ans) - 27 décembre 2005
Voilà le bouquin idéal pour les vacances mais même si c'est un roman, on sent quand même le vécu. L'humour féroce de ce livre offre un excellent moment de détente.
Pas mal...
Critique de Clop (, Inscrite le 15 juillet 2005, 40 ans) - 20 décembre 2005
Ce livre m'a offert de bons moments de détente. Il est facile à lire, il fait sourire par moment, on s'attache aux personnages...
Ce n'est pas, pour moi, LE livre à lire absolument mais il est idéal pour les vacances par exemple. Distrayant.
Ce n'est pas, pour moi, LE livre à lire absolument mais il est idéal pour les vacances par exemple. Distrayant.
...
Critique de Berivan (, Inscrite le 6 mars 2004, 37 ans) - 14 septembre 2005
Ne pas être attirée par l'univers la mode et lire ce livre peut se concilier ! J'en suis une preuve vivante ! Plutôt pas mal comme livre j'ai bien aimé, bien écrit, de bonnes réparties, assez drôle ... Pas mal quoi !
Le hic dans tout ça, c'est que Miranda existe vraiment ...
Le hic dans tout ça, c'est que Miranda existe vraiment ...
Le diable s'habille en Prada
Critique de Petiteclochette (Elancourt, Inscrite le 18 août 2005, 43 ans) - 18 août 2005
Après avoir entendu beaucoup de critiques sur ce livre je me suis enfin décidée à le lire !!!
J'en garde un bon souvenir, c'est écrit avec beaucoup de fraîcheur et on est très vite pris dans l'incroyable voyage d'Andrea.
L'envie d'étrangler Miranda reste très présente toute au long de l'histoire !!!
Mais tout ça reste vraiment amusant et divertissant.
J'en garde un bon souvenir, c'est écrit avec beaucoup de fraîcheur et on est très vite pris dans l'incroyable voyage d'Andrea.
L'envie d'étrangler Miranda reste très présente toute au long de l'histoire !!!
Mais tout ça reste vraiment amusant et divertissant.
Magique pour les filles
Critique de Cuné (, Inscrite le 16 février 2004, 57 ans) - 8 août 2005
Voici donc LE fameux roman de chick-lit qui fait fureur cette année en France. Univers de la mode, jeune héroïne, Andréa, 23 ans, assez débrouillarde et portant un regard assez lucide sur le milieu dans lequel elle évolue, c'est effectivement drôle et méchant. Quand on sait que l'auteure a été l'assistante personnelle de l'éditrice de Vogue, on apprécie d'autant plus ce qui n'est finalement qu'une façon romancée et amusante de décrire la réalité.
Je n'ai pas pu reposer ce roman une fois commencé, c'est hyper efficace et j'adore l'ambiance qui y règne. Pour autant, je n'ai ri à aucun moment, tout juste souri, le charme des lignes de Lauren Weisberger tient plus à son sujet qu'à son style, pour ce que j'en ai lu.
J'espère très vite un deuxième roman !!
Je n'ai pas pu reposer ce roman une fois commencé, c'est hyper efficace et j'adore l'ambiance qui y règne. Pour autant, je n'ai ri à aucun moment, tout juste souri, le charme des lignes de Lauren Weisberger tient plus à son sujet qu'à son style, pour ce que j'en ai lu.
J'espère très vite un deuxième roman !!
sex and the city version poche
Critique de LYRA PARLE D'OR (, Inscrite le 10 avril 2005, 48 ans) - 24 juin 2005
Je viens de terminer "le diable s'habille en prada" version pocket. J'ai choisi ce livre au détour d'un relais presse à la gare de dijon, c'était toute une histoire, et je l'ai commencé calée sur la banquette du tgv (mais est ce que dans ce cas tgv veut vraiment dire train grande vitesse ??? ou trop grand voyage ??? ) entre dijon et paris.
Au début, j'ai ressenti un léger étourdissement devant le rythme très enlevé de l'auteur et la succession de marques de grands couturiers qu'elle nous balance à la figure, nous ignorants que nous sommes des bonnes manières et de la classe new yorkaise. j'avoue qu'il m'a fallu du temps pour entrer dans le personnage d'Andreaaaaa et me mettre à detester Miranda Priestly, sa fameuse patronne. Mais une fois oublié mon fauteuil trop petit, et la chaleur étouffante qui régnait dans le wagon, je me suis retrouvée prise au piège dans cette première expérience professionelle ereintante et exténuante. En bref, on a envie d'étrangler Miranda avec ses carrés hermès ou de lui envoyer à la figure son 15ème cappucino de chez starbuck de la journée.
J'ai finalement aimé ce livre pour sa fraicheur et sa spontanéité et surtout parce que je suis une fan inconditionnelle de la série sex and the city et qu'il y a un fameux parallèle entre la destinée d'ANDREA et la vie quotidienne des 4 héroines de la série.
Par contre, si votre patron est un bourreau et que vous pensez déjà à votre job jour et nuit sans arriver à vous en détacher, là, je vous déconseille ce livre.. ce ne sera pas une thérapie, loin de là !!!
Au début, j'ai ressenti un léger étourdissement devant le rythme très enlevé de l'auteur et la succession de marques de grands couturiers qu'elle nous balance à la figure, nous ignorants que nous sommes des bonnes manières et de la classe new yorkaise. j'avoue qu'il m'a fallu du temps pour entrer dans le personnage d'Andreaaaaa et me mettre à detester Miranda Priestly, sa fameuse patronne. Mais une fois oublié mon fauteuil trop petit, et la chaleur étouffante qui régnait dans le wagon, je me suis retrouvée prise au piège dans cette première expérience professionelle ereintante et exténuante. En bref, on a envie d'étrangler Miranda avec ses carrés hermès ou de lui envoyer à la figure son 15ème cappucino de chez starbuck de la journée.
J'ai finalement aimé ce livre pour sa fraicheur et sa spontanéité et surtout parce que je suis une fan inconditionnelle de la série sex and the city et qu'il y a un fameux parallèle entre la destinée d'ANDREA et la vie quotidienne des 4 héroines de la série.
Par contre, si votre patron est un bourreau et que vous pensez déjà à votre job jour et nuit sans arriver à vous en détacher, là, je vous déconseille ce livre.. ce ne sera pas une thérapie, loin de là !!!
Très agréable
Critique de Missmynii (, Inscrite le 5 mai 2005, 43 ans) - 5 mai 2005
Pour un premier roman, l'auteur a un style très agréable, facile à lire et fluide.
Ce roman nous prône l'univers impitoyable de la mode, ses us et coutumes ainsi que les facettes que l'on préfère cacher.
Je le recommande à toutes les personnes qui aiment les romans rapides à lire et où la réflexion est peu présente,mais où cependant l'humour et le sarcasme répondent présents.
A lire !!!!
Ce roman nous prône l'univers impitoyable de la mode, ses us et coutumes ainsi que les facettes que l'on préfère cacher.
Je le recommande à toutes les personnes qui aiment les romans rapides à lire et où la réflexion est peu présente,mais où cependant l'humour et le sarcasme répondent présents.
A lire !!!!
Une patronne à se taper la tête contre les murs
Critique de Kreen78 (Limours, Inscrite le 11 septembre 2004, 46 ans) - 18 novembre 2004
J'ai lu ce livre il y a quelques mois. J'en garde un très bon souvenir. Il se lit très vite, il est écrit d'un ton assez drôle.
Je lui mets 5 étoîles car il m'a permis de passer de sacrés bons moments, et ce de la première à la dernière page.
Je lui mets 5 étoîles car il m'a permis de passer de sacrés bons moments, et ce de la première à la dernière page.
Sympa et facile à lire
Critique de Zéphyrine (, Inscrite le 11 novembre 2004, 49 ans) - 11 novembre 2004
Le premier roman de Lauren basé sur sa première expérience professionnelle, assistante d'Anna Wintour, éditrice de Vogue:pari réussi elle nous plonge dans les coulisses du magazine et dans les griffes de sa patronne toute puissante.Rapide à lire c'est un livre simple, amusant et sans prétention.
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