Un style peu agréable.

Cette histoire tentaculaire regorge d'une multitude de fausses pistes et de protagonistes, quasiment tous mêlés à la fabrication, la commercialisation et la consommation de méthamphétamine.

Peut-être est-ce dû justement à ce nombre impressionnant de directions que l'histoire emprunte, qui me l'a rendu extrêmement brouillonne, mais le style de l'autrice n'aide pas non plus. En effet, la construction des chapitres reste identique, et le contenu bien souvent redondant, ce qui donne l'impression de lire régulièrement les mêmes passages, seuls les noms des intervenants changeant au gré de la progression de l'enquête.

De plus, l'Oklahoma apparaît comme un territoire désœuvré, d'une grande misère sociale et empreint d'une violence au caractère presque héréditaire. Franchement, rien ne donne envie de le découvrir.

Et ceci sans compter sur la corruption et le manque de volonté, voire l'incompétence, d'un nombre impressionnant de membres de la police, du FBI, ou encore des services du shérif.

Globalement, cette lecture ne m'a que peu passionné, ceci dû en grande partie à la construction de l'œuvre et au style de Jax Miller.

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  Les lumières de l'aube

  de Miller, Jax Clévy, Claire-Marie (Traducteur)
  J'ai lu
  ISBN : 9782290258378 ; 8,30 € ; 08/09/2021 ; 448 p. ; Poche

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