La planète des singes de Pierre Boulle
Catégorie(s) : Littérature => Francophone , Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique
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Bien loin des clichés commerciaux du film !
Je ne pense pas que j'aurais lu spontanément ce livre si je n'avais eu à le faire pour un cours de français, il y a bientôt 6 ans.
Franchement, c’était loin de m’attirer ! La planète des singes… J'avais entrevu le film qui ne m’avait pas plu du tout. Alors allais-je aimer le livre ? Non, voilà quelle fut ma première pensée. Mais je me trompais…
Voilà un livre bien inquiétant. Imaginez que la technologie soit enfin suffisamment poussée pour que nous soyons capables de parcourir l'espace et y chercher d’autres traces de vie. Et que la première planète " habitée " que nous trouvions soit un endroit où tous les rôles sont inversés… Le singe, un être pensant, l’homme, une bête sauvage. Comment prouver son humanité à des créatures se livrant sur vous à des expériences dignes de Pavlov ? Que s'est-il donc passé sur cette planète où tout semble si superficiel, si stéréotypé ? Et qui descend de qui ? ?
Le héros de cette expédition se nomme Ulysse Mérou et il est accompagné du professeur Antelle et de son second, Levain. Des trois, il sera le seul à supporter cette réalité qui les dépasse… et à s’en échapper. Enfin, qui sait.
Ce livre est admirablement bien fait. Subtile et fine, la plume de Pierre Boulle nous captive dès les premières pages. Après tout, voilà bien une question qui nous concerne tous : l'homme parviendra-t-il toujours à tout contrôler ? ? Datant de 1963, cette histoire est bien loin d’être pour autant obsolète, au contraire !
Croyez-moi, vous ne perdrez pas votre temps si vous décidez de lire ce roman !
Les éditions
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La Planète des singes de Pierre Boulle
de Boulle, Pierre
Pocket
ISBN : 9782266026536 ; EUR 3,51 ; 01/01/1989 ; 191 p. ; Poche -
La planète des singes [Texte imprimé] Pierre Boulle
de Boulle, Pierre
Pocket / Presses pocket (Paris)
ISBN : 9782266118286 ; 1,09 € ; 01/06/1983 ; 192 p. ; Poche -
La Planète des singes [Texte imprimé] Pierre Boulle
de Boulle, Pierre
Pocket
ISBN : 9782266008457 ; 3,42 € ; 01/01/1987 ; 189 p. p. ; Poche -
La planète des singes
de Boulle, Pierre
le Livre de poche
ISBN : SANS000000602 ; 01/04/1972 ; 183 p. ; Poche
Les livres liés
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Les critiques éclairs (24)
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Cultissime !
Critique de Cédelor (Paris, Inscrit le 5 février 2010, 52 ans) - 4 juin 2020
Quand j’ai lu le début, cela m’a paru tellement invraisemblable que c’en était kitchissime ! Une bulle dans l’espace gouvernée par 2 personnes qui s’agrandit ou rétrécit, une bouteille contenant un message jeté dans l’espace comme si c’était une mer… et que ces deux personnes dans la bulle la retrouvent, dans une telle immensité, quel coup de chance ! Vraiment, j’ai eu la tentation de m’arrêter là…
Mais j’ai la manie de toujours terminer les romans que je commence, aussi mauvais soient-ils, et j’ai pris mon mal en patience… du moins le croyais-je. Bien m’en a pris ! Car la suite du roman est d’un tout autre tonneau que ce début ridicule. Il est vite devenu passionnant à suivre, jusqu’au bout. Vraiment, un excellent roman de science-fiction. Ce n’est pas merveilleusement bien écrit mais l’histoire qui est racontée est très intéressante. Je ne la résumerai même pas ici, tout le monde connaît plus ou moins, et pourtant, on est pris par le récit jusqu’à la fin. Et la fin, ah, la fin ! Elle donne vraiment tout son sens au début. Il faut relire le début à la lumière de la fin !
En bref, une lecture à recommander sans hésitation, elle vous donnera de belles heures d’évasion et de réflexion
La planète des singes
Critique de Windigo (Amos, Inscrit le 11 octobre 2012, 42 ans) - 4 juin 2016
En l'an 2500, trois humains se rendent dans la constellation de Beetlejeuce, et découvrent une planète où ce sont les singes qui dominent, et où les humains ne sont que des animaux.
Le film de 1968, le seul de la saga que j'ai vu, est bien différent du roman, même à la fin.
Classique
Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 42 ans) - 31 mars 2014
Difficile, aujourd'hui, de le lire sans penser au film avec Charlton Heston, à sa fin grandiose ; pourtant, "La Planète Des Singes", le roman de Boulle, est totalement différent, aussi bien dans sa fin que dans ses personnages (on retrouve Cornelius et Zira, OK, mais les Terriens qui débarquent malgré eux sur la Planète Des Singes sont Français, ce qui est logique vu la nationalité du roman et de son auteur, aussi auteur du roman "Le Pont De La Rivière Kwaï" qu'Hollywood adaptera au cinéma). Commercialisé généralement dans une collection pour la jeunesse, ce qui peut donner une fausse impression du roman (qui n'est pas spécialement destiné aux jeunes, un adulte peut et doit le lire sans souci), ce roman très court est très réussi, un classique de la SF, un des meilleurs romans de SF français. Mais, comme je l'ai dit en intro, si j'avais à choisir entre ce roman et le film de 1968, c'est le film que je prend, pour une fois (désolé), bien qu'il n'adapte pas fidèlement le roman.
Je ne me vois pas donner moins que 4,5/5 ceci étant, dont acte.
Grand roman de science-fiction
Critique de Marcel11 (Paris, Inscrit le 23 juin 2011, 26 ans) - 6 octobre 2013
Une superbe réussite
Critique de Ayor (, Inscrit le 31 janvier 2005, 52 ans) - 21 août 2013
L'auteur nous entraîne dès les premières lignes dans cette histoire fantastique, bien construite et au suspense haletant (même si la fin est connue). De plus le style de l'auteur soigné et abordable magnifie ce scénario légitimement reconnu de tous.
Certes il s'agit d'une fiction, mais les interrogations quant à la nature profonde de l'homme et à ses agissements sur la seule planète capable de l'accueillir pour le moment sont plus que jamais d'actualité. Quelle vision du monde nous propose Pierre Boulle ! C'est tout simplement extraordinaire.
Une chose est certaine, et cela fait froid dans le dos, la nature reprendra ses droits quelles que soient les activités humaines. Qu'avons-nous fait depuis tout ce temps pour modifier un tant soit peu notre comportement, et ce malgré les multiples alertes lancées par les spécialistes et les avertissements de la planète elle-même ?
L'adaptation cinématographique de 1968 (celle avec Charlton Heston) s'inspire du roman dans les grandes lignes, mais parait totalement désuète de nos jours. Et que dire du jeu des acteurs! Tout autant dépassé. A contrario, l'œuvre de Pierre Boulle n'a pas pris une ride.
Tellement explicite
Critique de Antihuman (Paris, Inscrit le 5 octobre 2011, 41 ans) - 20 novembre 2012
Car le peuple humain est stigmatisé, infantilisé, déraciné tout en étant rompu au plus bas que terre par des singes de toute façon sans cesse à l'affût du moindre faux pas - du moins quand certains sont dignes d'un éveil quelconque, et d'autant plus aisément que tout sur Soror se base sur le matérialisme. Le singe est partisan. Le singe ne bouge pas ailleurs que chez lui. Le singe est consanguin. Le singe a le droit d'insulter. Le singe se croit homme et encore davantage. Le singe refuse toute action véritable ou dynamique individuelle qui ont pourtant déterminés le cours de l'histoire, sauf si c'est de peu d'importance ou pour faire comme tout un chacun - et pour cause cela causera au final sa perte. Le singe se croit désiré, il pense également que l'astronaute est très amoureux de sa guenon et qu'il ira jusqu'au mariage si tout va bien. L'homme rêve de la fabuleuse guenon. Le singe est travailleur. Le singe s'estime assez malin pour parler au nom de toute sa tribu. Le singe est juste égocentrique et hyper-narcissique. L'art primitif du singe est le meilleur. Le singe passe dans l'allée en osant toiser l'homme. Le singe espionne l'homme. Le singe surveille l'homme. Le singe imite l'homme. Le singe se sert de codes masqués ainsi que simiesques entre ses congénères pour définir l'homme. Le singe se croit le centre du monde; il est comme ces gens de l'Inquisition naguère sinon bien pire. Le singe est jaloux. Le singe veut tout et aussi l'argent du beurre. Le singe est brutal. En fait, le singe n'aime rien de plus que faire la leçon aux autres. Le singe est semblable à Tartuffe dans sa morale primaire. Le singe est mégalomane. Le singe croit que la sérénité des riches fait la justice de la société. Le singe vit en tribu. Le singe est soigneux. Mais l'homme, lui, ne peut pas penser par lui-même en définitive, et même en diable à la limite. De fait, les singes sont juste plus hypocrites, se drapant dans de splendides idées et diverses philosophies généreuses nées du néant... J'adore enfin certains passages plus que parlants: Comme ils ont peur de l'humain et encore davantage de l'astronaute, ils lui refusent entre autre le savon dans sa cage, puis s'étonnent ensuite qu'il soit sale !! A l'aide donc d'une hiérarchie toute-puissante contenant des sbires comme des penseurs, les singes sont des pervers qui ont placés tout le monde en esclavage et ce dés le jeune âge, et qui ne tolèrent ni disgression ni contradiction dans leur discours. Puisque la majorité des humains sont aveugles sinon affamés tant au point de vue que l'âme que du corps, pourquoi pas ?
Plus que jamais, cette oeuvre mythique est donc actuelle en dehors de ses aspects fort comiques, à ceci près qu'il faudra noter que ce sont les gorilles la plupart du temps le plus proche de l'homme (et non les chimpanzés, en fait plus méchants et beaucoup moins malins que l'on croit en définitive.)
Un livre qui donne à réfléchir !
Critique de Naoki70 (, Inscrit le 13 septembre 2011, 46 ans) - 9 octobre 2012
L'auteur nous plonge dans le miroir de nos sociétés . Les singes nous montrent de quoi l'homme est capable de réaliser : chasse à l'homme , lobotomie , expériences sur les animaux .....
Les pratiques nazies , les expériences des japonais sur les chinois , la chaise électrique , des atrocités ,hélas , commises par l'homme , voilà ce à quoi m'a fait penser ce livre.
Essayons , à notre échelle , de rendre ce monde meilleur , utopie quand tu nous tiens !
J'ai trouvé que les rapports entre Zira et Ulysse avaient quelque chose de très sensuel , qui donne une teinte d'humour , j'ai même senti une pointe de jalousie naitre chez Cornélius .
Super bouquin , avec une fin génialissime !
La planète des singes
Critique de Exarkun1979 (Montréal, Inscrit le 8 septembre 2008, 45 ans) - 3 septembre 2012
Pierre Boulle réussit à nous faire réfléchir sur la place de l'Homme
Critique de Buck (Rennes, Inscrit le 20 juin 2010, 36 ans) - 6 octobre 2011
Le scénario aussi est aussi bien organisé. Les scènes « d’ actions » et les moments où les paradoxes font émerger certaines questions aux lecteurs s’alternent bien, donnant du rythme au livre où j’ai été pris dedans toute de suite.
Comme je l’ai dit précédemment, le livre ne tient qu’en 150 pages. Certains verront dans cet argument une vision limitée de la lecture, mais ce petit format permet à ce livre d’être abordable par un grand nombre de lecteurs (ou pas) potentiels.
Enfin, je tiens aussi à féliciter Mister Pierre Boulle pour avoir écrit enfin une fin surprenante (je parle de la toute dernière page, dans le vaisseau spatial). Le détail sur la nature des personnages m’a fait dire que l’auteur ne nous a pas pris pour des billes et qu’il a essayé de nous surprendre jusqu’à la fin. C’est un argument personnel mais qui m’a fait tourner la quatrième de couverture en me disant « wahouuu ! »
Allez, je ne veux pas caricaturer mais je retiendrai comme seul arguments négatif certains passages un peu longs (et encore) comme la captivité de Mérou en cage par exemple. Mais tout livre a ces passages un peu longs... Alors je passe.
Un livre à mettre entre toute les mains et tous les cerveaux (humains...)
Cultissime !
Critique de Frunny (PARIS, Inscrit le 28 décembre 2009, 59 ans) - 30 avril 2010
Oeuvre majeure de la SF " humaine " !
Simien sapiens
Critique de Hexagone (, Inscrit le 22 juillet 2006, 53 ans) - 10 juin 2009
Voyage au bout de l'espace
Critique de Dirlandaise (Québec, Inscrite le 28 août 2004, 69 ans) - 5 mai 2006
Quoi qu'il en soit, c'est un bon livre de SF qui se lit vite car assez court. Malgré sa brièveté, le récit n'en demeure pas moins intense. La suprématie du singe sur l'homme est un véritable cauchemar pour nos trois explorateurs qui débarquent sur la planète Soror (soeur), nommée ainsi par eux en raison des nombreuses similitudes avec la planète terre. Les singes y sont la race intelligente et les hommes sont traités comme de vulgaires animaux, ce qu'ils sont en réalité compte tenu de leur cerveau assez peu développé. Mais les singes sont-ils si intelligents ? N'ont-ils pas plutôt imité une race d'humains d'une intelligence supérieure, ayant habité sur la planète plusieurs milliers d'années auparavant. Toute leur technologie et leur science ne seraient-elles qu'une simple imitation et non le résultat de leur propres recherches et découvertes ?
Le début est imaginatif, la fin également.
Une histoire passionnante à lire qui réserve de nombreuses surprises et rebondissements au lecteur et nous fait apprécier le fait que nous sommes les maîtres de notre planète...
Cocorico !
Critique de Sinon (Paris, Inscrit le 17 mars 2006, 49 ans) - 27 mars 2006
Tout a déjà été dit et redit... L'ellipse du départ - qui s'explique dans les dernières pages - est un modèle du genre.
Le film avec Charlton Eston est peut-être l'adaptation la plus fidèle, mais je pense qu'il n'y a eu aucune adaptation cinématographique réellement à la hauteur du roman de Pierre Boulle.
Science-fiction caustique
Critique de Ritsuko (, Inscrite le 16 décembre 2004, 48 ans) - 26 juin 2005
Pour moi, la science-fiction n'est qu'un prétexte pour P. Boulle. C'est un "décor" extrêmement pratique quoique subtil pour se lancer dans une diatribe féroce contre l'espèce humaine et pour lui donner une leçon d'écologie et de respect bien sentie.
Comme La Fontaine qui se servait des animaux pour fustiger les travers humains, c'est par le prisme de la société simienne que l'auteur s'attaque à l'humanité. Elle, et son petit orgueil qui lui fait se sentir soi-disant supérieure à tout être et chose, elle qui inflige la douleur et qui détruit tout ce qui l'entoure sous les prétextes les plus fallacieux, y compris ceux de la Science (la science, un "effet" de notre fatuité ?), elle qui refuse de voir ce qui est pourtant sous son nez parce qu'elle se croit hors de toute atteinte, sur son piédestal...
Je suis venue au roman par les films, mais à partir du moment où je me suis plongée dans le livre, je n'ai plus voulu regarder ces adaptations tant elles ne pouvaient, à mes yeux, soutenir la comparaison avec l'original... Connaissant T. Burton, j'espérais une satire à la mesure du livre... Et j'ai été déçue... Seules les toutes dernières minutes rendent justice au roman...
Le futur, la combinaison des possibles...
Critique de FightingIntellectual (Montréal, Inscrit le 12 mars 2004, 42 ans) - 23 juin 2005
Pierre Boulle a compris ce qu'était l'essence de la science-fiction. La combinaison de possibles intrinsèques au futur rapproché ou distant, créant une alternative singulière au roman historique ou contemporain. Ce qui en fait un roman de science-fiction d'élite et aussi passionnant à mon avis, c'est que Boulle profite de cette représentation de ce qui n'est pas encore pour soulever des questions philosophiques par rapport à nos certitudes acquises.
Nietzsche a dit:"Ce n'est pas le doute, mais la certitude qui tue"
C'est le moteur derrière la réflexion de Boulle et celle d'Ulysse Mérou, son personnage principal. Qu'est-ce qu'est "l'humain"... qu'est-ce qu'est l'action de "singer". Est-ce si différent? Toutes ces théories bien pensantes scientifiques sur la supériorité de l'homme... à long terme, seraient-elles de la foutaise??
Nos certitudes tiennent à pas grand chose... on le réalise en découvrant cette planète des singes...
Singulier. Brrrr
Critique de Killeur.extreme (Genève, Inscrit le 17 février 2003, 43 ans) - 14 octobre 2003
Très loin de l'action des films du Grand Ecran...
Critique de Olorin (HobbitTown, Inscrit le 29 août 2002, - ans) - 17 septembre 2002
J'ai vu les deux films concernant ce livre, celui avec Charlton Heston et le récent qui date de 2001. J'ai bien aimé les deux films, beaucoup d'action et d'effets spéciaux (surtout celui de Tim Burton) mais le constat s'arrête là.
Je pense que je n'aurais jamais lu le livre si mon amie ne me l'avait pas conseillé en me faisant remarquer qu'il était fort différent des films. Il a suffi de ce détail pour éveiller ma curiosité et me mettre à le lire.
Pour résumer grossièrement, deux personnes ont attrapé dans l'espace une bouteille qui contient une histoire. Cette histoire est celle de trois astronautes qui sont pris dans un vide spatial. Après un voyage de plusieurs centaines d'années, ils atterrissent en catastrophe sur une planète où les singes dominent les hommes...
Dès le début de l'oeuvre on est plongé dans ce fabuleux récit, on se pose constamment des questions sur l'environnement qui les entoure, sur le pourquoi du comment...
Boulle s'est posé (encore une fois) en tant que philosophe sur son livre : il soulève la question sur le règne autoritaire de l'homme, sur sa façon de se comporter avec les autres espèces animales. Si un jour, l’homme ne se trouvait plus en haut de la chaîne alimentaire, que se passerait t'il ? .C'est sans doute pour répondre à cette question type que Pierre Boulle a écrit ce roman. On lit avec ferveur et on adore.
Une bonne histoire, de la réflexion, du suspense, ce livre a tout pour plaire. Je le conseille vivement.
Et moi qui pensais être la seule...
Critique de Thémis (Ligny, Inscrite le 17 avril 2001, 54 ans) - 2 mai 2002
ça y est... je reviens...
Critique de Pendragon (Liernu, Inscrit le 26 janvier 2001, 54 ans) - 24 avril 2002
PS : les étoiles, c'est pour le livre, qui est un chef-d'oeuvre !
Littérature versus Cinéma...
Critique de Rosenblum Petit (Marcinelle, Inscrite le 22 novembre 2001, 50 ans) - 24 avril 2002
Remettons-nous en mémoire que le premier film intitulé "La Planète des Singes" a été réalisé par Franklin J. Schaffner en 1968. A l'époque (je n'étais pas encore née), on avait souligné le travail exceptionnel des maquilleurs pour rendre "humain" un visage simien. Il fallait quand même le faire! Nous sommes maintenant blasés par les effets spéciaux et autres trucages cinématographiques. Mon fils qui va avoir deux ans serait capable de reconnaître un décor qui défile d'une véritable chaîne de montagne. Le réalisateur avait même pris soin de respecter l'histoire de P. Boulle. Il ajoute une note personnelle en changeant légèrement la fin! Sans révéler la fin du livre, réfléchissez à la seule différence entre ce film et le livre: une distance, celle qui sépare notre Voie Lactée de la galaxie d'Orion, à peine quelques années-lumière... Et de nos jours qu'est-ce donc qu'une année-lumière?... Quant au second film, je ne dois pas être très objective en écrivant ce qui va suivre puisque je suis avec attention la carrière de Tim Burton, réalisateur en 2001 de cette nouvelle version de "La Planète des Singes". Je vous rappelle au passage que mon ami Tim est aussi le réalisateur de nombreux chefs-d'oeuvre -ce qui ne signife rien OK- tels que "Beetlejuice", "Edward aux Mains d'Argent," "L'Etrange Noël de Monsieur Jack" ou "Mars Attacks" pour ne citer que ceux-là. Ce "remake" n'en est en fait pas un. Vous remarquerez que les seules similitudes entre le livre et la "Planète Burton" sont : dans une autre galaxie les singes sont LES êtres réfléchis et la fin qui cette fois est identique à celle de Pierre Boulle. Ce film n'en reste pas moins un petit bijou que je vous conseille autant que le livre... Pour les amateurs du genre bien entendu!
Un vrai livre par un vrai auteur
Critique de Marco (Seraing, Inscrit le 19 février 2001, 50 ans) - 6 novembre 2001
Fabuleux
Critique de Saule (Bruxelles, Inscrit le 13 avril 2001, 59 ans) - 1 octobre 2001
La condition animale
Critique de Tophiv (Reignier (Fr), Inscrit le 13 juillet 2001, 49 ans) - 19 juillet 2001
C'est aussi la théorie de l'évolution, une espèce prend le pas sur une autre...
Au delà de ces thèmes, l'histoire est formidable et fait maintenant partie de l'imaginaire collectif. Même si on connait par coeur l'intrigue ,cela vaut la peine de lire ce roman classique de la SF.
Anthropocentrisme et singeries.
Critique de Mauro (Bruxelles, Inscrit le 20 février 2001, 61 ans) - 9 mars 2001
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