La note sensible de Valentine Goby
La note sensible de Valentine Goby
Catégorie(s) : Littérature => Voyages et aventures
Critiqué par Nelibelul, le 23 juillet 2004
(TOURS, Inscrite le 19 juillet 2004, 55 ans)
Critiqué par Nelibelul, le 23 juillet 2004
(TOURS, Inscrite le 19 juillet 2004, 55 ans)
La note :
Moyenne des notes : (basée sur 8 avis)
Cote pondérée : (1 248ème position).
Visites : 6 244 (depuis Novembre 2007)
Moyenne des notes : (basée sur 8 avis)
Cote pondérée : (1 248ème position).
Visites : 6 244 (depuis Novembre 2007)
SI POETIQUE
Quel bonheur ce livre, magnifique histoire racontée par une Valentine Goby sage et discrète... Du bonheur à l'état pur.
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Les éditions
-
La note sensible [Texte imprimé] Valentine Goby
de Goby, Valentine
Gallimard / Collection Folio
ISBN : 9782070313310 ; 8,60 € ; 06/05/2004 ; 242 p. ; Poche
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Les critiques éclairs (7)
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Partition délicate
Critique de Marvic (Normandie, Inscrite le 23 novembre 2008, 66 ans) - 31 août 2014
Inès vient d'obtenir un poste de professeur d'anglais au Conservatoire de musique de La Villette. Provinciale fraîchement arrivée à Paris, elle passe sa première journée à acheter des dizaines de plantes pour re-créer un jardin dans son petit appartement.
Le premier soir, elle est réveillée en sursaut par Pavarotti; quelques coups frappés sur la cloison seront les premiers échanges qu'elle aura avec son voisin, Vendello.
Inès s'écrira alors une incroyablement douce histoire d'amour avec cet invisible violoncelliste.
N'ayant pas aimé "Qui touche à mon corps je le tue", lu dans le cadre d'une sélection CL, je ne pensais pas relire un ouvrage de cette auteure.
Je remercie les amis qui m'ont conseillé de le faire car j'ai beaucoup aimé la délicatesse de cette histoire, la douceur de l'écriture.
Une très belle parenthèse.
Le premier soir, elle est réveillée en sursaut par Pavarotti; quelques coups frappés sur la cloison seront les premiers échanges qu'elle aura avec son voisin, Vendello.
Inès s'écrira alors une incroyablement douce histoire d'amour avec cet invisible violoncelliste.
N'ayant pas aimé "Qui touche à mon corps je le tue", lu dans le cadre d'une sélection CL, je ne pensais pas relire un ouvrage de cette auteure.
Je remercie les amis qui m'ont conseillé de le faire car j'ai beaucoup aimé la délicatesse de cette histoire, la douceur de l'écriture.
Une très belle parenthèse.
Eloge du rêve...
Critique de Missparker (Ixelles, Inscrite le 27 janvier 2006, 42 ans) - 7 mai 2006
Hymne à la musique, plaisir des sens, justesse des mots,...ce roman est troublant, tout en beauté et en finesse.
A conseiller à tous les violoncellistes (dont j'ai l'honneur de faire partie). Certains passages risquent de leur parler intimement. Ce fut une expérience déconcertante mais ô combien merveilleuse!
Cello, quand tu nous tiens...
A conseiller à tous les violoncellistes (dont j'ai l'honneur de faire partie). Certains passages risquent de leur parler intimement. Ce fut une expérience déconcertante mais ô combien merveilleuse!
Cello, quand tu nous tiens...
Merveilleux ...
Critique de Valentina (, Inscrite le 10 février 2006, 33 ans) - 10 février 2006
Ce livre est simplement magique, il est envoûtant !! J'ai adoré et apparemment je ne suis pas la seule, je le conseille à tous et à toutes et je suis pressée de lire "Sept jours" et "L'antilope Blanche" !
Une passion impossible
Critique de Ichampas (Saint-Gille, Inscrite le 4 mars 2005, 60 ans) - 29 septembre 2005
Une jeune provinciale s’installe à Paris. Elle découvre la musique en cohabitant avec un musicien, ancien ténor ou plus précisément la cloison qui les sépare étant si fine qu’elle vit au rythme de ce voisin Vendello. Elle se découvre une passion pour lui. Elle s’oublie, sa vie se cale sur celui-ci, les siens n’existent plus. Ils partagent des moments intenses, des instants de bonheur. Une passion dévorante l’habite. Mais la fin est bouleversante. A croquer.
Tout en finesse !
Critique de Moon (LYON, Inscrite le 18 janvier 2004, 44 ans) - 18 février 2005
J'ai beaucoup aimé ce premier livre de Valentine Goby, pleine de fraîcheur et de justesse dans le choix de ses mots. Une bouffée de bonheur et d'air pur. J'ai passé un bon moment.
vivre au lieu de rêver
Critique de Laure256 (, Inscrite le 23 mai 2004, 52 ans) - 11 septembre 2004
Je lis vos critiques enthousiastes, et moi, j'ai eu du mal avec ce bouquin. J'ai aimé le début, et puis non, l'ennui a pointé le bout de son nez.
Inès a un voisin qui joue du violoncelle et les cloisons ne sont pas bien épaisses... Une nuit qu'il frappe à sa porte, elle se lève mais finalement n'ouvre pas.
Elle écrit ce qui aurait pu être leur histoire d'amour, car elle est vite tombée amoureuse de cet homme qu'elle n'a jamais vu et de sa musique. Le livre commence sur la lettre qui accompagne le texte qu'elle lui envoie, tout le reste est cette histoire qui aurait pu être. ça démarre bien et on y croit, c'est vivant, plaisant, agréable à lire. ça coule tout seul, c'est simple, peut-être un peu trop. Presque lisse et fade. J'ai avalé les 100 premières pages d'une traite. Et puis, je me suis enlisée. ça n'évoluait plus, ça ronronnait, il ne se passait plus rien. Je l'ai fini dans la déception, histoire d'aller jusqu'au bout mais sans passion ! Dommage. J'ai dû rater la note sensible. Pas compris la musique. Pas vu la fraicheur, ni la poésie.
Inès a un voisin qui joue du violoncelle et les cloisons ne sont pas bien épaisses... Une nuit qu'il frappe à sa porte, elle se lève mais finalement n'ouvre pas.
Elle écrit ce qui aurait pu être leur histoire d'amour, car elle est vite tombée amoureuse de cet homme qu'elle n'a jamais vu et de sa musique. Le livre commence sur la lettre qui accompagne le texte qu'elle lui envoie, tout le reste est cette histoire qui aurait pu être. ça démarre bien et on y croit, c'est vivant, plaisant, agréable à lire. ça coule tout seul, c'est simple, peut-être un peu trop. Presque lisse et fade. J'ai avalé les 100 premières pages d'une traite. Et puis, je me suis enlisée. ça n'évoluait plus, ça ronronnait, il ne se passait plus rien. Je l'ai fini dans la déception, histoire d'aller jusqu'au bout mais sans passion ! Dommage. J'ai dû rater la note sensible. Pas compris la musique. Pas vu la fraicheur, ni la poésie.
Exquis...
Critique de Anonyme7 (, Inscrite le 14 avril 2004, 39 ans) - 29 juillet 2004
"Tu es le demi-ton . Tu es l'entre-deux, la note suspendue, l'équilibre fragile. Tu es le vacillement qui contient la chute, tu es le fa dièse qui frôle le sol; tu es la défaillance retenue d'extrême justesse, tu es le bord de l'abîme. Tu es ce qui pourrait être et ce qui n'est pas, tu es un possible. Tu es cette note en mouvement obligé vers une autre, qui voudrait se confondre avec elle et ne se confond pas. Tu es l'incertitude. Tu es la note sensible. "
Est-il encore nécessaire de dire que ce roman est une perle d'une fraîcheur incontestable ? Je crois que l'extrait vous dit tout...
[Spoiler]
Il s'agit de l'histoire d'une femme qui, à défaut de pouvoir vivre une histoire d'amour avec son voisin de palier, homme aux cheveux poivre et sel dont elle rêve nuit et jour, va entreprendre d'écrire leur histoire, celle qu'ils ne vivent pas et ne vivront probablement jamais.
A lire absolument !
Est-il encore nécessaire de dire que ce roman est une perle d'une fraîcheur incontestable ? Je crois que l'extrait vous dit tout...
[Spoiler]
Il s'agit de l'histoire d'une femme qui, à défaut de pouvoir vivre une histoire d'amour avec son voisin de palier, homme aux cheveux poivre et sel dont elle rêve nuit et jour, va entreprendre d'écrire leur histoire, celle qu'ils ne vivent pas et ne vivront probablement jamais.
A lire absolument !
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