La maîtresse d'école de Marie-Paul Armand
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
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Dur, dur, d'être enseignant(e)
Il faudra beaucoup de volonté à Céline pour réaliser son rêve : devenir institutrice. Ce n'est pas facile, surtout pour une fille, de faire des études dans une famille de pêcheurs pendant l'entre-deux guerres. Même Pierrot, celui qu'elle aime, n'accepte pas cette ambition. Heureusement une tante l'encouragera, moralement et matériellement, et lui permettra de réussir. Céline nous fera partager sa vie d'institutrice : ses joies, ses difficultés, ses inquiétudes.
Dans la seconde partie du livre, Irène, la fille de Céline, prend le relais. Elle sera professeur, encouragée en cela par ses parents. Irène nous parlera en détail des classes dont elle a la charge. Les problèmes, avec même des actes de violence, seront nombreux. Mai 68 se profile. S'y mêlera une vie sentimentale compliquée, que je ne vous dévoile pas, mais qui est déterminante pour l'histoire.
Le roman est facile à lire. Les personnages sont entiers, sans nuances. Un bon moment de détente.
Les éditions
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La maîtresse d'école [Texte imprimé], roman Marie-Paul Armand
de Armand, Marie-Paul
Presses de la Cité / Collection dirigée par Jeannine Balland (Paris. 19
ISBN : 9782258037106 ; 21,00 € ; 10/03/1995 ; 326 p. ; Broché
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Les critiques éclairs (3)
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Pas assez centré sur l'école elle-même ...
Critique de Emira17 (/, Inscrite le 9 juillet 2010, 27 ans) - 12 mars 2011
Le seul véritable problème de ce livre est son contenu en lui-même. Le livre est divisé en deux parties. La première, c'est Céline qui raconte et la deuxième c'est Irène, sa fille, devenue professeur en collège. Mais, avant que l'on ne parle des méthodes d'enseignement elles-mêmes, on suit tout le périple de Céline afin de faire comprendre sa passion à sa famille et à ses amis. Résultat, on se retrouve à lire un chapitre ou deux seulement sur l'école des années 30 au lieu d'un roman entier, ce qu'on nous annonçait pourtant dans le résumé. De plus, dans le récit d'Irène, seule l'histoire familiale est traitée, ce qui empêche de suivre l'évolution de l'enseignement.
C'est bien dommage, j'aurais préféré lire un livre ne parlant QUE de l'école.
Désolé mais je suis déçu...
Critique de Rock30 (Nimes, Inscrit le 6 juillet 2008, 61 ans) - 6 novembre 2010
Le quatrième de couverture laisse très nettement penser qu'on va nous régaler des conditions et des difficultés d'être instituteur en un temps déjà lointain. Seule la première moitié du livre est concernée et encore! La seconde partie traite de l'histoire de la fille du personnage principal de la première partie, et une large place est consacrée à ses déboires familiaux sans grand intérêt. C'était mon premier livre de Marie Paul ARMAND, et je ne relirais pas cet auteur, son style étant trop rébarbatif à mon goût, et le fil de l'histoire cousu de fil blanc. Déçu !!!!!
Je m'attendais peut-être à mieux
Critique de Norway (Entre le Rhin, la Méditerranée et les Alpes !, Inscrite le 7 septembre 2004, 49 ans) - 14 octobre 2004
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