Trois fermiers s'en vont au bal de Richard Powers
( Three farmers on their way to a dance)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
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du plaisir à l'etat pur.
C'est le livre dont on parle beaucoup en ce moment - et avec raison!
Un journaliste en Informatique suit une femme rousse entrevue dans la rue. Celle-ci le mène jusqu'à une photo ancienne représentant un homme lui ressemblant étrangement, en compagnie de Henry Ford, au début du siècle. Prémisse qui va conduire notre homme sur les traces d'un étonnant secret de famille.
Ce livre procure un rare plaisir de lecture. Des pérégrinations de trois jeunes fermiers pendant la première guerre Mondiale jusqu’à l’Amérique d'aujourd'hui, c'est l'histoire du siècle qui s'écoule devant nos yeux.
L'auteur est un contemporain capital aux Etats-Unis, où il est considéré comme l'égal de Don Delillo ou Paul Auster.
On comprend aisément cette distinction en lisant ce livre éblouissant de culture et d'intelligence!
Martin Winckler en a, en plus, dit le plus grand bien - gage de qualité si il en fallait!
Message de la modération : Présentation du livre par le directeur de la collection Lot49 du Cherche-Midi....
Les éditions
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Trois fermiers s'en vont au bal [Texte imprimé] Richard Powers trad. de l'anglais (États-Unis) par Jean-Yves Pellegrin
de Powers, Richard Pellegrin, Jean-Yves (Traducteur)
le Cherche midi / Collection Lot 49
ISBN : 9782749102276 ; 20,30 € ; 22/04/2004 ; 500 p. ; Broché -
Trois fermiers s'en vont au bal [Texte imprimé] Richard Powers traduit de l'américain par Jean-Yves Pellegrin
de Powers, Richard Pellegrin, Jean-Yves (Traducteur)
10-18 / 10-18. Série Domaine étranger
ISBN : 9782264041456 ; 10,20 € ; 02/03/2006 ; 515 p. ; Poche
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Les critiques éclairs (4)
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Abandonné à la page 150
Critique de Alma (, Inscrite le 22 novembre 2006, - ans) - 16 juin 2020
La période du confinement, tant par sa durée que par la réclusion qu'elle imposait était idéale …..
J'ai lu 50 pages, je n'ai pas accroché. J'ai poursuivi le lendemain, même déception. Cette installation dans le récit sous forme de vagabondage narratif entre lieux, époques, et individus, dont je ne voyais pas la raison , m'a semblé interminable.
Trop de descriptions, focalisées souvent sur des détails. Des personnages certes, mais qui m'ont semblé dépourvus de toute capacité à émouvoir, et de perspective romanesque.
Bien qu'un peu découragée, j'y suis revenue une troisième fois, et n'ai pu aller plus loin que la page 150. Il m'en restait 450 que je n'ai osé affronter. Et le roman a rejoint sa place sur l'étagère........
Ce qui ne m'empêchera pas de tenter la lecture de L'ARBRE-MONDE !
Hélas, moi non plus
Critique de Maria-rosa (Liège, Inscrite le 18 mai 2004, 69 ans) - 11 mai 2008
Il y a de courts passages éblouissants, et puis il explique, réexplique, insiste jusqu'à l'overdose. Lassant pour ne pas dire casse-pieds. Pas pour moi, de toutes façons.
Tout comme Jules
Critique de Féline (Binche, Inscrite le 27 juin 2002, 46 ans) - 17 janvier 2007
Bref, une lecture qui m'a déçue. Je n'entends que des éloges de son nouveau roman "le temps où nous chantions" mais je crains de rencontrer la même déception.
Perturbé !
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 21 octobre 2006
Jamais je ne suis vraiment entré dans l'histoire. Puis quand on est passé des trois fermiers à l'Amérique de la seconde guerre mondiale je n'ai pas vu le rapport entre les deux.
Oui Powers écrit bien, mais il ne m'a jamais passionné. Ses démonstrations commencent par être intéressantes, puis bien trop longues et insistantes. On a compris, cela suffit, mais il continue et continue... C'est le cas, par exemple, des étapes de l'évolution.
En fait, où veut-il aller ?... Et cette question on se la pose toujours à la page cent cinquante !... Et dire que "Du temps où nous chantions" m'attend encore dans ma pile, fortement conseillé qu'il était par une de mes amies excellente lectrice par ailleurs. Je crains...
Swiggers compare Powers avec Auster et Delillo. Je ne retrouve pas tellement Paul Auster dans ce livre. Celui-ci vous captive dès les premières phrases de ses récits et ne vous lâche plus. Ici, ce n'est vraiment pas le cas. De Don Delillo j'ai commencé "Americana" mais j'ai également abandonné. Voilà une similitude, mais négative.
Bon Dieu, serais-je un taré complet qui passerait à côté de grands livres sans m'en apercevoir ?... Peut-être bien ! Mais j'assumerai...
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trois fermiers | 4 | Swiggers | 17 juin 2020 @ 20:05 |
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