La Maison aux esprits de Isabel Allende
La Maison aux esprits de Isabel Allende
(La casa de los espíritus)
(La casa de los espíritus)
Catégorie(s) : Littérature => Sud-américaine
Critiqué par Leïa, le 15 février 2001
(Montréal, Inscrite le 15 février 2001, 47 ans)
Critiqué par Leïa, le 15 février 2001
(Montréal, Inscrite le 15 février 2001, 47 ans)
La note : 
Moyenne des notes : (basée sur 20 avis)
Cote pondérée : (335ème position).
Visites : 11 574 (depuis Novembre 2007)
Moyenne des notes :
(basée sur 20 avis)
Cote pondérée :
(335ème position).
Visites : 11 574 (depuis Novembre 2007)
Au cœur d'une famille chilienne
J'ai de la difficulté à mettre un mot précis sur ce que je ressens au terme de cette lecture.
L'histoire de la famille Trueba m'a transportée mais également ô combien bouleversée. Malgré tous ses défauts, Esteban Trueba m'a séduite. Sa vulnérabilité passagère me le rendait, par moment, sympathique.
Et que dire de ces histoires d'amour impossibles ou si compliquées de par les origines et provenances. Sans compter le nombre de conflits familiaux engendrés par la divergence d'opinion. Le pouvoir paternel est notable et joue un rôle important dans ce roman. Isabel Allende y est vraiment allée de main de maître avec son écriture. À mon avis cependant, certains passages de cette saga familiale étaient superflus et présentaient des longueurs interminables, mais dans l'ensemble, l'oeuvre de l'auteur m'a donné l'envie d'approfondir sa bibliographie.
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Les éditions
-
La Maison aux esprits [Texte imprimé] Isabel Allende
de Allende, Isabel
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253038047 ; 8,40 € ; 01/01/1986 ; 540 p. ; Poche -
La maison aux esprits [Texte imprimé], [roman] Isabelle Allende trad. de l'espagnol par Claude et Carmen Durand
de Allende, Isabel Durand, Carmen (Traducteur) Durand, Claude (Traducteur)
Fayard
ISBN : 9782213592145 ; 22,30 € ; 01/03/1994 ; 476 p. ; Broché
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Saga latina
Critique de Millepages (Bruxelles, Inscrit le 26 mai 2010, 65 ans) - 5 février 2014
Apprenant que son grand-père de 99 ans se meurt, Isabel Allende commence a lui écrire une lettre qui constituera plus tard le manuscrit de l'œuvre qui reste son plus grand succès.
Nul doute que cet aïeul lui aura inspiré le personnage d'Esteban Trueba, homme dur en affaires, exigeant en famille, impitoyable en politique. Mais qui s'adoucira à la fin de sa longue vie.
Une scène du livre fait fortement penser à la prise par le général Pinochet de la Moneda à Santiago du Chili où Salvador Allende, l'oncle du père d'Isabel, sera retrouvé mort le 11 septembre 1973.
Ce premier roman d'Isabel Allende a donc en partie été inspiré par des événements familiaux. L'auteure plante admirablement bien les personnages qui font cette histoire, notamment les véritables héroïnes que sont Clara, Blanca et Alba, trois générations de femmes qui auront obligé Esteban le patriarche à assouplir son caractère et ses positions inflexibles.
J'ai également fort apprécié les aspects historique et social de cette saga familiale des Trueba, qui couvre presque l'entièreté du XXème siècle.
Nul doute que cet aïeul lui aura inspiré le personnage d'Esteban Trueba, homme dur en affaires, exigeant en famille, impitoyable en politique. Mais qui s'adoucira à la fin de sa longue vie.
Une scène du livre fait fortement penser à la prise par le général Pinochet de la Moneda à Santiago du Chili où Salvador Allende, l'oncle du père d'Isabel, sera retrouvé mort le 11 septembre 1973.
Ce premier roman d'Isabel Allende a donc en partie été inspiré par des événements familiaux. L'auteure plante admirablement bien les personnages qui font cette histoire, notamment les véritables héroïnes que sont Clara, Blanca et Alba, trois générations de femmes qui auront obligé Esteban le patriarche à assouplir son caractère et ses positions inflexibles.
J'ai également fort apprécié les aspects historique et social de cette saga familiale des Trueba, qui couvre presque l'entièreté du XXème siècle.
Magnifique!
Critique de GeorgesGil (, Inscrit le 31 octobre 2013, 28 ans) - 31 octobre 2013
C'est un magnifique roman, certainement l'un de mes livres préférés.
J'adore le genre du réalisme magique et j'adore le style d'écriture d'Isabelle Allende.
J'ai aimé tous les caractères du livre, Clara est une fille très intéressante et amusante, Esteban est un homme dur, passionné et travailleur.
J'adore toutes les petites histoires dans le livre, l'histoire du pays, les relations amoureuses de Blanca et Pierre, Alba et Miguel, les événements à la ferme etc...
Je suis un fan du réalisme magique, j'ai aimé les histoires de Clara et ses pouvoirs, les rendez-vous avec d'autres personnes ayant des pouvoirs, l'histoire de Pedro et comme il a expulsé les fourmis de la ferme.
L'histoire a un couple des rudes et tristes chapitres avant la fin, mais ils sont vraiment bons et intéressants.
Je pense que ce livre est vraiment bien pour les jeunes, car il n'est pas ennuyeux et il est très facile à lire.
Pardonnez-moi si mon français n'est pas très bien, je suis mexicain et je n'écris pas parfait
- Georges Gil
J'adore le genre du réalisme magique et j'adore le style d'écriture d'Isabelle Allende.
J'ai aimé tous les caractères du livre, Clara est une fille très intéressante et amusante, Esteban est un homme dur, passionné et travailleur.
J'adore toutes les petites histoires dans le livre, l'histoire du pays, les relations amoureuses de Blanca et Pierre, Alba et Miguel, les événements à la ferme etc...
Je suis un fan du réalisme magique, j'ai aimé les histoires de Clara et ses pouvoirs, les rendez-vous avec d'autres personnes ayant des pouvoirs, l'histoire de Pedro et comme il a expulsé les fourmis de la ferme.
L'histoire a un couple des rudes et tristes chapitres avant la fin, mais ils sont vraiment bons et intéressants.
Je pense que ce livre est vraiment bien pour les jeunes, car il n'est pas ennuyeux et il est très facile à lire.
Pardonnez-moi si mon français n'est pas très bien, je suis mexicain et je n'écris pas parfait
- Georges Gil
Une épopée un peu longue
Critique de Tristan57 (, Inscrit le 1 juin 2011, 67 ans) - 2 juin 2011
Une saga qui a du souffle, mais qui m'a laissé sur ma faim, comme si les péripéties de cette famille et les innombrables rebondissements finissaient par lasser.
Le style est plaisant, les personnages hauts en couleur, mais le roman aurait peut-être mérité un traitement plus incisif.
Il y a néanmoins quelques beaux caractères féminins, comme Clara et Blanca. Et la vie de cet Esteban Trueba ressemble à un récit légendaire, ce que l'auteur cherche visiblement à faire.
Conclusion : un avis mitigé.
Le style est plaisant, les personnages hauts en couleur, mais le roman aurait peut-être mérité un traitement plus incisif.
Il y a néanmoins quelques beaux caractères féminins, comme Clara et Blanca. Et la vie de cet Esteban Trueba ressemble à un récit légendaire, ce que l'auteur cherche visiblement à faire.
Conclusion : un avis mitigé.
Déçue.... Quel dommage
Critique de Chocolat liègeois (, Inscrite le 2 octobre 2010, 41 ans) - 4 novembre 2010
J'avais lu Paula... j'avais aimé le style littéraire d'Isabel Allende... J'avais entendu dire qu'au Chili elle était très critiquée...
on considérait qu'elle volait les romans de Gabriel Garcia Marquez... je trouvais ça simplement scandaleux et y voyais une nouvelle attaque du machisme sud américain....
Et puis j'ai lu la maison aux esprits.... et quelle déception!
En effet, tout au long de cette histoire on a l'impression de lire un faux Gabriel Garcia Marquez... un style qui tente de s'en rapprocher sans jamais atteindre sa grandeur, son humour...
Alors oui lisez Paula... c'est instructif, c'est bien écrit, c'est dur et c'est beau.....
Mais si vous avez déjà beaucoup lu et aimé Gabriel Garcia Marquez... ce livre vous décevra... et c'est dommage
on considérait qu'elle volait les romans de Gabriel Garcia Marquez... je trouvais ça simplement scandaleux et y voyais une nouvelle attaque du machisme sud américain....
Et puis j'ai lu la maison aux esprits.... et quelle déception!
En effet, tout au long de cette histoire on a l'impression de lire un faux Gabriel Garcia Marquez... un style qui tente de s'en rapprocher sans jamais atteindre sa grandeur, son humour...
Alors oui lisez Paula... c'est instructif, c'est bien écrit, c'est dur et c'est beau.....
Mais si vous avez déjà beaucoup lu et aimé Gabriel Garcia Marquez... ce livre vous décevra... et c'est dommage
Saga chilienne
Critique de Oburoni (Waltham Cross, Inscrit le 14 septembre 2008, 41 ans) - 27 février 2010
Des destins qui se croisent, se chassent, se battent parfois impitoyablement les uns contre les autres... Une maison "aux esprits" ( en fait une hacienda perdue au fond de la campagne chilienne ) sert de pieuvre a Isabel Allende pour déployer l'histoire d'une famille sur près de quatre générations.
Une histoire qui bascule de temps en temps dans l'irréel, l'imaginaire surnaturel -des créatures étranges au spiritisme- et la fantaisie onirique qui s'invitent, soufflent une petite brise magique qui donne un côté conte à cette saga chilienne.
Des personnages profonds, marquants, tragiques, marrants, méprisables parfois, "une collection de lunatiques et d'excentriques dont même les fantômes se moquent" qui racontent aussi l'histoire du pays -des "peones" exploités dans les haciendas jusqu'à l'abominable dictature du général Pinochet.
On le comprend ce livre, qui se termine crucifié en une étrange Trinité ( le Poète, le Président et le Dictateur; soit, même si leurs véritables noms n'apparaissent jamais, Pablo Neruda, Salvador Allende -dont l'auteure est la fille de l'un des cousins- et Pinochet ) est le genre de roman à la richesse et au souffle tels qu'on le referme en étant sûr de le relire un jour.
Un chef-d'oeuvre.
Une histoire qui bascule de temps en temps dans l'irréel, l'imaginaire surnaturel -des créatures étranges au spiritisme- et la fantaisie onirique qui s'invitent, soufflent une petite brise magique qui donne un côté conte à cette saga chilienne.
Des personnages profonds, marquants, tragiques, marrants, méprisables parfois, "une collection de lunatiques et d'excentriques dont même les fantômes se moquent" qui racontent aussi l'histoire du pays -des "peones" exploités dans les haciendas jusqu'à l'abominable dictature du général Pinochet.
On le comprend ce livre, qui se termine crucifié en une étrange Trinité ( le Poète, le Président et le Dictateur; soit, même si leurs véritables noms n'apparaissent jamais, Pablo Neruda, Salvador Allende -dont l'auteure est la fille de l'un des cousins- et Pinochet ) est le genre de roman à la richesse et au souffle tels qu'on le referme en étant sûr de le relire un jour.
Un chef-d'oeuvre.
Une magnifique saga familiale
Critique de Gabri (, Inscrite le 28 juillet 2006, 38 ans) - 11 août 2006
Ce roman met en scène trois générations d'une famille bourgeoise chilienne qui comporte des personnages tous plus extravagants les uns que les autres. Avec entre autres Clara l'extra-lucide, Rosa aux cheveux verts et l'énorme Barrabàs, l'auteure ajoute un peu de magie à son histoire et nous entraîne ainsi dans un monde féérique qu'on ne veut plus quitter et qui ne nous laisse pas voir les heures passer!
Le tout se passe sur un fond historique et politique qui m'a permis d'en apprendre davantage sur l'histoire de ce pays, car bien que l'auteure ne le précise en aucun moment, il n'est pas bien difficile de démasquer le Poète, le Président et le Dictateur. Le ton de l'histoire change subitement lorsqu'on arrive aux années qui suivirent le coup d'État du 11 septembre 1973, pour prendre une tournure plus dramatique sans toutefois perdre complètement le côté magique dominant dans les chapitres précédents. Personnellement, c'est cette partie de l'histoire qui m'a le plus touchée, captivée et émue.
Bref, c'est tout simplement un magnifique roman que je recommanderais à n'importe qui et que je suis bien contente d'avoir dans ma bibliothèque car je suis certaine de vouloir le relire dans quelques années!
Le tout se passe sur un fond historique et politique qui m'a permis d'en apprendre davantage sur l'histoire de ce pays, car bien que l'auteure ne le précise en aucun moment, il n'est pas bien difficile de démasquer le Poète, le Président et le Dictateur. Le ton de l'histoire change subitement lorsqu'on arrive aux années qui suivirent le coup d'État du 11 septembre 1973, pour prendre une tournure plus dramatique sans toutefois perdre complètement le côté magique dominant dans les chapitres précédents. Personnellement, c'est cette partie de l'histoire qui m'a le plus touchée, captivée et émue.
Bref, c'est tout simplement un magnifique roman que je recommanderais à n'importe qui et que je suis bien contente d'avoir dans ma bibliothèque car je suis certaine de vouloir le relire dans quelques années!
Envoûtant
Critique de Salvador (, Inscrit le 29 juillet 2006, 37 ans) - 29 juillet 2006
C'est la représentation d'une famille très spéciale sur plusieurs générations et dans plusieurs situations différentes, désaccords entre les personnages, évolutions de la vie politique.
Un livre enchanté et enchanteur
Critique de Xerinata (Amiens, Inscrite le 5 avril 2006, 67 ans) - 21 mai 2006
"La maison aux esprits" raconte l'histoire d'un homme, Esteban Trueba, vu à travers le prisme de quatre femmes : Rosa (sa fiancée morte très jeune), Clara (sa femme, sœur de Rosa), Blanca (sa fille) et Alba (sa petite fille), ceci dans un pays qu'on devine être le Chili. Il y a beaucoup d'humour dans ce livre et pourtant l'écriture est très poétique, à la limite du fantastique (Clara est dotée du pouvoir de prédire l'avenir, de converser avec les esprits et de faire bouger les objets à distance : on en croirait presque aux fantômes). Il y a une symbiose étonnante entre le lyrisme de l'écriture et le réalisme autobiographique de l'histoire. Isabel Allende est la nièce de Salvador Allende, Président socialiste du Chili, qui a été renversé en 1973 par l'armée chilienne, à l'origine de la dictature du général Pinochet. C'est un "roman d'amour politique", mais qui n'utilise pas un discours politique. Isabel Allende décrit la vie des paysans chiliens et de la bourgeoisie chilienne dont elle est issue, sans porter de jugement. Elle manifeste au contraire une certaine empathie avec tous les personnages qu'elle décrit, même ceux qui ont les trajectoires les plus sordides. "La mémoire est fragile et le cours d'une vie est on ne peut plus bref et tout se passe si vite que nous ne parvenons pas à saisir les relations entre les évènements, nous sommes impuissants à mesurer les conséquences de chaque acte, nous ajoutons foi à la fiction du temps, au présent, au passé comme à l'avenir, alors que peut-être tout arrive aussi bien simultanément…".
Un grand merci à la collègue qui m'a prêté ce livre.
Un grand merci à la collègue qui m'a prêté ce livre.
Magnifique, onirique et instructif!
Critique de Nirvana (Bruxelles, Inscrite le 7 avril 2004, 51 ans) - 31 janvier 2006
J'ai beaucoup aimé.
Ce roman allie le romanesque et le drame, on est réellement emporté par cette famille,ses histoires d'amour, les personnages si différents qui la composent, avec leurs joies, leurs ambitions et leurs convictions politiques, qui les entraîneront vers leur destin.
Chaque personnage est habilement brossé, l'originalité de chacun est représentée avec beaucoup de talent, avec en toile de fond l'Histoire implacable qui nous est inculquée ici d'une manière palpitante.
L'ombre des esprits y plane avec beaucoup de poésie...., j'ai également été très sensible à l'écriture d'Isabel Allende, qui m'a semblée beaucoup plus poétique que dans certains autres de ses romans que j'avais lu....
Ce roman allie le romanesque et le drame, on est réellement emporté par cette famille,ses histoires d'amour, les personnages si différents qui la composent, avec leurs joies, leurs ambitions et leurs convictions politiques, qui les entraîneront vers leur destin.
Chaque personnage est habilement brossé, l'originalité de chacun est représentée avec beaucoup de talent, avec en toile de fond l'Histoire implacable qui nous est inculquée ici d'une manière palpitante.
L'ombre des esprits y plane avec beaucoup de poésie...., j'ai également été très sensible à l'écriture d'Isabel Allende, qui m'a semblée beaucoup plus poétique que dans certains autres de ses romans que j'avais lu....
Une belle saga sur fond historique
Critique de Ichampas (Saint-Gille, Inscrite le 4 mars 2005, 60 ans) - 27 septembre 2005
Une saga ne peut pas se résumer. L’entrée dans le roman a été difficile pour moi mais une fois que la deuxième génération entre en scène, le rythme de l’histoire s’accélère et le contenu devient plus palpitant jusqu’à avoir des difficultés à le lâcher.
Passionnant !
Critique de Didi (, Inscrite le 16 mai 2005, 34 ans) - 16 mai 2005
Ce livre est très envoûtant malgré ses quelques longueurs .
envoûtant
Critique de Gab (bruxelles, Inscrite le 31 décembre 2004, 50 ans) - 23 janvier 2005
un réel plaisir, passionnant...
Superbe
Critique de Maya (Eghezée, Inscrite le 18 octobre 2001, 49 ans) - 8 mai 2004
Il y a le patriarche, Esteban, et puis sa femme, sa fille, ses fils et sa petite-fille. A travers l'histoire de trois générations, Isabel Allende nous décrit l'histoire d'un pays. Ils croisent en chemin le Poète, le Président et finalement le Dictateur. Les noms ne sont jamais donnés mais tout le monde sait de qui on parle.
Il y a des rires, des larmes, de l'amour, de la haine comme dans la vie. A cela s'ajoute un peu de fantastique avec Clara l'extralucide. C'est un magnifique roman.
Comme Leïa, j'ai du mal à trouver des mots précis tant ce roman est particulier. Certe, c'est une saga familiale, mais c'est tellement plus que ça.
J'ai également beaucoup apprécié le style. J'ai, jusqu'à présent, très peu lu de romans espagnols ou sud-américains. c'est une écriture bien différente de la française ou de l'anglaise, à laquuelle je suis habituée. J'ai donc en plus eu le plaisir de la nouveauté.
Mon premier livre d'Allende mais sûrement pas le dernier!
Il y a des rires, des larmes, de l'amour, de la haine comme dans la vie. A cela s'ajoute un peu de fantastique avec Clara l'extralucide. C'est un magnifique roman.
Comme Leïa, j'ai du mal à trouver des mots précis tant ce roman est particulier. Certe, c'est une saga familiale, mais c'est tellement plus que ça.
J'ai également beaucoup apprécié le style. J'ai, jusqu'à présent, très peu lu de romans espagnols ou sud-américains. c'est une écriture bien différente de la française ou de l'anglaise, à laquuelle je suis habituée. J'ai donc en plus eu le plaisir de la nouveauté.
Mon premier livre d'Allende mais sûrement pas le dernier!
Moi aussi...
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 16 juillet 2003
j'ai beaucoup apprécié ce livre à l'époque. Il m'a également permis de découvrir une partie de l'histoire du Chili et surtout du renversement d'Allende par Pinochet et ses horribles suites. Les personnages sont très vrais et attachants. Un livre à conseiller dans son genre...
Une belle fresque riche d'enseignement
Critique de Féline (Binche, Inscrite le 27 juin 2002, 46 ans) - 15 juillet 2003
J'ai beaucoup apprécié cette lecture qui m'a permis de découvrir un peu de l'histoire du Chili et de comprendre l'évolution politique qui a mené au renversement de Savator Allende. J'ai également adoré les personnages loufoques et baroques. Par contre, la saga familiale ne m'a pas passionnée et m'a laissé un goût de déjà-vu sans innovation.
Envoûtant
Critique de Stéphanie (Chevreuse, Inscrite le 12 juillet 2001, 53 ans) - 23 juillet 2001
Mais quelle famille ! J'ai été envoûtée par la mystérieuse Clara aux dons extra-lucides, prise de pitié par cet homme autoritaire et seul -Esteban Trueba- et j'ai suivi avec beaucoup d'intérêt (pour avoir rencontré des gens l'ayant vécu) le courage de Blanca lors du coup d'état. Et puis il y a également les autres personnages, un peu fous eux aussi...
Très beau !
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 4 juillet 2001
C'est un excellent livre avec des personnages des plus attachants. Il y a aussi tout un côté mystérieux qui m'a plu également. L'écriture est belle et il ne faut surtout pas oublier son message politique... Pinochet hante ce livre de tous ses crimes et tortures...
De grands esprits...
Critique de Zenith_ (Bruxelles, Inscrite le 28 janvier 2001, 43 ans) - 3 juillet 2001
Un roman passionnant, nous dressant le tableau de plusieurs générations d'une famille peu ordinaire... Les relations qui s'entremêlent, les identités cachées, découvertes, les dons de l'un ou de l'autre, la méchanceté ou l'âcreté des uns, la tendresse et la calme des autres, les peines, les douleurs et les joies... Un livre plus qu'humain. Une sorte de "fresque sociologique"... A lire, sans oublier d'approcher les personnages au-delà des mots.
Critique de Leura (--, Inscrit le 29 janvier 2001, 73 ans) - 22 février 2001
Un très grand roman, baroque, émouvant, passionnant d'un bout à l'autre. La vie d'une famille chilienne qui traverse le 20e siècle, racontée par une très grande écrivaine.
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