Histoires à délire debout de Jean-Luc Fonck
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
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Sacré Jean-Luc!
Philippe Geluck a bien résumé en quatrième de couverture la démarche qui m’a amené à acheter, puis à dévorer ce livre hors du commun : si vous connaissez et appréciez Fonck, le chanteur, vous ne pouvez ignorer Fonck, l’écrivain.
Jean-Luc Fonck a une écriture fluide, agréable, rythmée et il l’utilise pour emmener votre esprit et votre imagination dans un univers que vous ne soupçonniez même pas.
Ce livre est constitué de plusieurs nouvelles, toutes plus savoureuses les unes que les autres.
A livre d’une traite… le sourire aux lèvres !
Les éditions
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Histoires à délire debout [Texte imprimé] Jean-Luc Fonck
de Fonck, Jean-Luc
Casterman / C'est pour offrir
ISBN : 9782203340329 ; 2,98 € ; 10/11/2003 ; 188 p. ; Broché
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Les critiques éclairs (2)
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Surréalismo-dadaïste
Critique de Catinus (Liège, Inscrit le 28 février 2003, 73 ans) - 27 août 2013
1. « Il ne pleut jamais dans les aquariums «, les aventures d’Hubert et de ses amis Victor un poisson rouge, Patrick un ficus et Marie qui a eu un grave accident ….
2. « Isabelle « les cinq amis comme les quatre doigts de la main et les boites de pâté …
3. « Tante Jacqueline «, les aventures d’Hubert dans une petite ville en attendant son rendez-vous dans le cimetière avec tante Jacqueline décédée il y a peu …
4. « L’ascenseur « comme son titre l’indique, une histoire d’ascenseur, d’escalier…
5. « Vincent « Hubert et son ami Vincent et les gens vernis …
Extraits :
- un père verseau, une mère poisson et le tour est joué. Je bénis très souvent le ciel que ma mère ne soit pas taureau.
- J’ai regardé le taxi qui s’enfonçait dans le brouillard. Le plus étonnant, c’est qu’il n’y avait pas de brouillard. D’ailleurs, il n’y avait pas de taxi non plus. Je regardais quelque chose qui n’existait pas qui s’enfonçait dans rien, et ça me passionnait.
Jean-Luc Fonck sur le net, ici :
https://www.youtube.com/watch?v=pbU6fl0noLg
« Ce sont les poissons qui ont inventé la machine à remonter l’étang »
Critique de Bolcho (Bruxelles, Inscrit le 20 octobre 2001, 76 ans) - 5 juillet 2005
Il n’y a rien à faire, le calembour est très drôle quand il surgit au détour d’une conversation, mais, servi ainsi poussivement à la pelle, c’est presque toujours consternant de platitude.
J’ai tenu une cinquantaine de pages.
Parce que des choses comme ça :
« - Vous êtes certain ?
- Non, je suis Italien…ah ! ah ! ah ! elle est bonne. C’est pour rire (…) »
…il faut être de très bonne humeur pour en lire pendant 188 pages.
Mais je suis sûr que certains d’entre nous y trouveront malgré tout leur joie : il y a quelques perles tout de même.
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