La cité sans sommeil de Ed McBain
( The big bad city)
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
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La grosse pomme ne dort jamais
Avec Ed McBain nous suivons la vie de deux flics, Brown et Carella , qui officient dans une cité nommée Isola 87ème district , parfaite décalque de New-York bien entendu . Une jeune religieuse est retrouvée étranglée dans un parc public et on découvre qu'elle venait de se faire placer des implants de silicone dans les seins . De plus , un tueur auquel le père de Carella avait laissé la vie sauve alors qu'il le tenait au bout de son arme , est sur la piste de Carella fils .
Alors , le lecteur n'a plus qu'à suivre l'enquête de voisinage des deux héros . A chaque interrogatoire de témoin , on avance d'une case sur l'échiquier . Tout doucement le passé de la religieuse ressurgit et nous mêne à un dénouement tout à fait convenu . Je rassure tout le monde . L'un des héros , Carella , ne mourra pas . Il sera flingué par Brown in extremis ...
Donc , un roman d'atmosphère avec des situations lues et surtout vues cent fois dans les films policiers américains . Je ne comprends pas bien pourquoi McBain est considéré comme un maître du polar américain car je ne lui trouve rien de particulier ni dans le style , ni dans la façon de traiter l'intrigue .
Peut-être suis-je un peu sévère parce que le roman policier n'est pas mon genre préféré !
Les éditions
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La cité sans sommeil [Texte imprimé] Ed McBain trad. de Jacques Martinache
de McBain, Ed Martinache, Jacques (Traducteur)
Presses de la Cité
ISBN : 9782258051751 ; 18,50 € ; 14/04/1999 ; 310 p. ; Poche
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Les critiques éclairs (3)
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Bonne soeur
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 10 avril 2006
On est toujours à Isola (pas 2000, 87ème district !), clône transparent de N.Y.C.. Il s’y passe toujours plein de choses désagréables ; ici on retrouve une jeune femme étranglée dans un jardin public. Et donc on sollicite encore et toujours Steve Carella et ses collègues. Eh oui ! l’équation s’écrit ainsi : Mc Bain égale crime à Isola 87ème district et enquête de Steve Carella.
Bon, ce n’est pas bêtement du policier qui se prendrait au sérieux. Il y a du Elmore Leonard et Donald Westlake dans ce Ed Mc Bain. La jeune femme, c’est une nonne. Bon ! Mais une nonne qui a des implants mammaires … ? Ah ! Je vous disais !
Et comme abondance de biens ne nuit pas, Mc Bain nous entrecroise gentiment deux autres intrigues dans la principale. Histoire de faire monter la tension à la fin et puis … parce que Mc Bain est quand même pas mal doué. Humour, décalage, mais respect des situations psychologiques, Mc Bain a tout pour nous empêcher de dormir … tant que cette « Cité sans sommeil » n’est pas terminée.
Le pouls de la ville
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 55 ans) - 10 janvier 2005
Cité sans sommeil
Critique de Diane49 (St-Eustache, Inscrite le 29 janvier 2004, 70 ans) - 30 décembre 2004
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