Le Chevalier Oublié de Kervarec'h
Catégorie(s) : Littérature => Francophone , Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique
Moyenne des notes : (basée sur 4 avis)
Cote pondérée : (50 731ème position).
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Une grosse déception.
" Le chevalier de Saint-Ours est à la semblance de l'animal qui fait son nom, sombre et solitaire."
Il est pratiquement impossible de résumer ce qui se passe dans ce livre, une histoire de chevalier solitaire, une histoire d'amour (pas certain...), et apparemment un voyage dans le temps où bien, le chevalier est devenu immortel... J'avoue que je n'ai pas très bien compris... C'est un roman court mais très embrouillé qui se passe sur deux époques différentes et dans lequel on croise le Roi Arthur...
Acheté sur un coup de cœur à la foire du livre de Bruxelles en février 2015 suite à une rencontre avec l'auteur ( au demeurant très sympathique et qui m'a dédicacé le volume), ce livre m'a fortement déçue. Je me suis pourtant forcée à le lire jusqu'au bout car j'avais promis à l'auteur de lui donner mon avis (ce que j'ai fait), mais je me suis fortement ennuyée. Apparemment une suite est prévue...
Les éditions
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Le chevalier oublié [Texte imprimé], fantasy Kervarec'h
de Kervarec'h,
Black-out / Out-fantasy
ISBN : 9782916753256 ; 17,00 € ; 04/03/2014 ; 1 vol. (236 p.) p. ; Broché
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Les critiques éclairs (3)
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Un personnage; Un titre; Une passion...
Critique de Magdalena (, Inscrite le 10 septembre 2015, 56 ans) - 10 septembre 2015
Dans cette première partie il y a beaucoup de romance, poésie, passion, intrigue, loyauté, justice, injustice ! Avec le personnage de St. Ours, même si à la semblance de l’animal sombre et solitaire, celui qui frappe brutalement et sans état d’âme, j’ai accrochée tout de suite. A fur et à mesure j’en ai conclus que St. Ours et Thierry de Queribus étaient une et même personne, une moins chanceuse que l’autre ! J’ai été même intriguée, mais paradoxalement compréhensible sur le fait qu'ils ont été divisés en deux personnes bien distinctes. J’ai été bouleversée par la morte brutale de deux personnages, qui à été presque en même temps !
La demande que St. Ours ait fait à Aziliz, si par malheur il venait de mourir, m’a aussi bouleversée. Je ne saurais dire exactement dans quel sens. Un peu cruel peut-être, et c’est très personnel, car je crois que je me sentirais très mal à y avoir à faire une chose pareil pour qui que ce soit. C’est aussi car je n’ai jamais pu prendre une décision par rapport à la manière de faire pour moi-même, une fois que la matière, le corps, reste sans souffle de vie au moment de la "mort". Pourtant je n’ai pas peur de la mort, mais cela tient encore de mon incapacité d'intégration par rapport au corps, à la matière qui pour moi était négligeable jusque il n’y a pas si longtemps que ça !
J’ai eu une touche particulière envers votre personnage Thierry de Queribus et de l’effet qu’il laisse autour de lui au moment qui fait son apparition quelque part : "les rires semblent n’avoir jamais existé dans cet endroit ; le moindre geste s’immobilise, la plus petite expression se suspend à l’air sauvage de cet homme. Thierry de Queribus fait toujours cet effet quand il débarque quelque part. Avec sa grande et puissante carcasse et sa beauté d’ange guerrier, il impose l’admiration et la crainte. Il leur offre son magnifique sourire ; l’atmosphère se détend immédiatement." (Extrait du livre). J’avais tellement aimée qu'on puisse lui donner la chance qu’il rencontre celle qui trouvera remède à son âme perturbée. Tout le monde a le droit à une deuxième chance, et malgré son apparence de guerrier chevronné qui s’exprimait sans grande nuance, à l’essentiel, et son humour souvent cru, était plutôt un personnage touchant, attachant, qui nous inspire à lui accorder beaucoup de compassion, d’attention, de la douceur et de tendresse.
Et je ne parle pas trop d’Aziliz qui est le seul personnage féminin qui m’a touchée. Je pense qu’on a beaucoup en commun elle et moi ! ;-)
On est étrangement surpris par le rapprochement de la première partie du livre et la deuxième partie. Autant j’étais intriguée et même chagrinée par la mort de St.Ours dans la première partie, que j’ai autant étais heureuse de découvrir Eflam dans la deuxième partie ! On ressent très bien une "maîtrise", documentation sur le déroulement des certains passages des aventures du roi Arthur et les chevaliers de la table ronde, en ayant rajouté vôtre touche qui vous est propre et personnelle qui est merveilleusement bien exprimée, avec parfois de l’audace, romance, passion, sensualité, malice, trahison, intrigue, chagrin, malchance, humour, sagesse, questionnement…J’ai adorée aussi cette partie, malgré le fait que j’ai eu un peu du mal à m’y remettre de la première. C’est à fur et à mesure que j’avançais dans la lecture que j’étais autant éprise que dans la première, mais avec une autre nuance, peut être beaucoup moins personnelle pour ma part !
J’ai trouvée que l’introduction de certains personnages, que l'auteur a inventé de toute pièce, dans l’ancienne légende, est d’une grande finesse et ingéniosité, mais encore plus surprenante la manière dont il y arrive si bien tout imbriquer et dans les moindres détails, que ça soit dans la première partie ou dans la deuxième. Donc on ne peut que rester avec un arrière goût, un peu amère, quand l’histoire fini, arrivant à la fin de la lecture du livre. Surtout que la fin n’est pas de plus heureuses!
Donc je parle au nom de tous vos lecteurs qui ont aimés votre livre, et je ne peux que dire que nous attendons la suite et espérons que vous soyez un peu plus clément et beaucoup moins cruel avec certains de vos personnages ! ;-)
Le Chevalier Saint-Ours et son histoire à ne pas oublier !
Critique de Fabgargar (, Inscrit le 31 décembre 2009, 48 ans) - 16 août 2015
Le jeune Efflam veut devenir chevalier de la table ronde, il va donc à la rencontre d'Arthur (Arzhur, de son prénom breton) pour arriver à ses fins. Malheureusement l'amour va lui faire commettre un impair impardonnable. Puni par Merlin (Merzhin), Efflam, devenu le chevalier Saint-Ours, va subir deux charmes, le premier le condamne à une vie éternelle, le second à un anonymat le plus total. Tous ses faits d'armes, tous ses faits de cœurs seront attribués à un autre, notamment à Lancelot, ce qui rend ce dernier limite schizophrène. On retrouve Saint-Ours mille ans plus tard lors de la guerre de 100 ans, pendant le siège de La Rochelle par Du Guesclin, torturé par ses souvenirs et l'histoire qui se répète sans fin...
La première partie du livre est montée comme un puzzle, avec un récit non linéaire, qui ne prend tout son sens que lors de la lecture de la seconde partie, écrite de manière plus classique mais tout autant stylisée, avec des bribes d'un vocabulaire médiéval non sans charme.
Message de la modération : Promotion éditeur
Le Chevalier Oublié - Lecture pour les amoureux des thrillers d'ambiance et d'époque
Critique de Fabien31500 (, Inscrit le 15 août 2015, 65 ans) - 15 août 2015
Message de la modération : Promotion éditeur
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