Le Club du suicide de Robert Louis Stevenson
Le Club du suicide de Robert Louis Stevenson
(The Suicide Club)
(The Suicide Club)
Catégorie(s) : Littérature => Voyages et aventures
Critiqué par Egnatia, le 29 janvier 2004
(Aix-en-provence, Inscrit le 17 janvier 2004, 37 ans)
Critiqué par Egnatia, le 29 janvier 2004
(Aix-en-provence, Inscrit le 17 janvier 2004, 37 ans)
La note :
Moyenne des notes : (basée sur 5 avis)
Cote pondérée : (41 811ème position).
Visites : 5 155 (depuis Novembre 2007)
Moyenne des notes : (basée sur 5 avis)
Cote pondérée : (41 811ème position).
Visites : 5 155 (depuis Novembre 2007)
Un peu fade
Sous un titre alléchant, Stevenson nous plonge dans une histoire des plus ambiguë, entremêlant trois histoires, cette nouvelles retracent les aventures du prince Florizel et de son compagnon le colonel Géraldine.
A lire, mais gare aux impatients!
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Les éditions
-
Le club du suicide [Texte imprimé] Robert Louis Stevenson trad. de l'anglais par Charles Ballarin
de Stevenson, Robert Louis Ballarin, Charles (Traducteur)
Gallimard / Folio. 2 euros
ISBN : 9782070303854 ; 0,80 € ; 09/10/2003 ; 138 p. ; Poche
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Les critiques éclairs (4)
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Suspense, Angoisse, et aventure en si peu de lignes
Critique de Cydel (Lille / Yaoundé, Inscrit le 6 août 2005, 40 ans) - 10 août 2005
R.L Stevenson me laisse là une fois de plus une grosse impression.
Ce qui débute comme un conte banal où l'auteur s'efforce à engager son héros dans une simple aventure divertissante pour le lecteur, se révèle un réel travail et une véritable réussite où on reconnaît là, la plume du père de " L’étrange cas... Hyde". Certes pas de la même envergure, mais tout de même digne qu'on s'y arrête.
On souligne là cette volonté de rigueur, de minutie, un fort désir de SURPRENDRE et d'étonner qu'avaient les auteurs d'autre fois et qu'on toujours les plus grands d'aujourd'hui.
Ecrite comme une page des milles et une nuits, cette nouvelle où les personnages et les lieux sont plus qu'insolites répond parfaitement aux prévisions: captivante, curieuse, drôle et ... courte. Ciao et bonne lecture
Ce qui débute comme un conte banal où l'auteur s'efforce à engager son héros dans une simple aventure divertissante pour le lecteur, se révèle un réel travail et une véritable réussite où on reconnaît là, la plume du père de " L’étrange cas... Hyde". Certes pas de la même envergure, mais tout de même digne qu'on s'y arrête.
On souligne là cette volonté de rigueur, de minutie, un fort désir de SURPRENDRE et d'étonner qu'avaient les auteurs d'autre fois et qu'on toujours les plus grands d'aujourd'hui.
Ecrite comme une page des milles et une nuits, cette nouvelle où les personnages et les lieux sont plus qu'insolites répond parfaitement aux prévisions: captivante, curieuse, drôle et ... courte. Ciao et bonne lecture
Voulez-vous vous suicider?
Critique de Sahkti (Genève, Inscrite le 17 avril 2004, 50 ans) - 24 juin 2005
Les trois nouvelles reprises dans ce petit recueil sont extraites d'un volume plus important (et plus riche!) "Les Nouvelles mille et nuits". Extraire de la sorte trois textes hors contexte crée à mes yeux une coupure entre les récits qui leur fait perdre de leur force. Dans le volume original, tout se suit et le lecteur peut observer avec plaisir le machiavélisme de ce Prince Florizel, habile manipulateur de l'âme humaine.
Quoi qu'il en soit, ne gâchons tout de même pas notre plaisir et savourons le premier texte intitulé "Histoire du jeune homme aux tartelettes à la crème, récit qui présente le Club du suicide, association étrange qui permet aux gens de mourir selon un jeu de loterie de cartes. Etrange et cruel, Stevenson narre assez bien la peur qui s'empare de chacun au moment de tirer une carte.
Le second texte "Histoire du docteur et de la malle de Saratoga" me paraît plus faible mais cela tient en partie à sa présentation sommaire hors contexte, l'histoire se présente comme une suite du premier texte mais cela n'en est pas vraiment une. Les protagonistes sont identiques mais il manque quelque chose, on a l'impression d'avoir manqué un truc.
Idem avec le troisième texte "Aventure du fiacre" dans lequel on retrouve Florizel et son adjoint Géraldine qui obtiennent enfin réparation des crimes découverts dans la première nouvelle.
Une manière de boucler la boucle en quelque sorte mais de manière trop sommaire à mes yeux et je crains que le lecteur qui ne connaîtrait pas Stevenson et l'aborde d'abord via ce volume ne se sente un peu déçu et déboussolé. Ce qui serait dommage, Stevenson est un auteur qui mérite vraiment le détour.
Quoi qu'il en soit, ne gâchons tout de même pas notre plaisir et savourons le premier texte intitulé "Histoire du jeune homme aux tartelettes à la crème, récit qui présente le Club du suicide, association étrange qui permet aux gens de mourir selon un jeu de loterie de cartes. Etrange et cruel, Stevenson narre assez bien la peur qui s'empare de chacun au moment de tirer une carte.
Le second texte "Histoire du docteur et de la malle de Saratoga" me paraît plus faible mais cela tient en partie à sa présentation sommaire hors contexte, l'histoire se présente comme une suite du premier texte mais cela n'en est pas vraiment une. Les protagonistes sont identiques mais il manque quelque chose, on a l'impression d'avoir manqué un truc.
Idem avec le troisième texte "Aventure du fiacre" dans lequel on retrouve Florizel et son adjoint Géraldine qui obtiennent enfin réparation des crimes découverts dans la première nouvelle.
Une manière de boucler la boucle en quelque sorte mais de manière trop sommaire à mes yeux et je crains que le lecteur qui ne connaîtrait pas Stevenson et l'aborde d'abord via ce volume ne se sente un peu déçu et déboussolé. Ce qui serait dommage, Stevenson est un auteur qui mérite vraiment le détour.
So British ...
Critique de Catinus (Liège, Inscrit le 28 février 2003, 73 ans) - 14 mai 2005
J'ai beaucoup apprécié l'envolée fantasmagorique, au tout début, de la rencontre entre le Prince de Bohême, Le colonel Géraldine et le jeune homme aux tartelettes à la crème. Le ton est donné. On entre dans un " à côté "....Il ne reste plus qu'à suivre le fil conducteur.
J'ai eu l'impression d'une succession, si pas de cauchemars, tout au moins de mauvais rêves qui se bousculent. Ce livre vous trouble.
Une perfection dans le genre !
J'ai eu l'impression d'une succession, si pas de cauchemars, tout au moins de mauvais rêves qui se bousculent. Ce livre vous trouble.
Une perfection dans le genre !
Opinion partagée
Critique de FightingIntellectual (Montréal, Inscrit le 12 mars 2004, 42 ans) - 14 juin 2004
....Au départ j'aime bien le format de la tripartie d'histoires qui , cahin-caha, se rejoignent et font du sens. On sent un gros effort de Stevenson qui veut que son lecteur apprécie l'exotisme des sociétés secrètes de son époque. C'est un peu raté selon moi. On se fait donner trois histoires qui sont comme trois extraits de films hollywoodiens qui se rejoignent mais on sent des pièces manquantes entre les trois... moins fort que l'île au trésor et INCOMMENSURABLEMENT moins fort que le docteur Jekyll & Mr.Hyde ....aux inconditionnels de Stevenson....
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