La Nostalgie de l'Ange de Alice Sebold
( The lovely bones)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
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Curiosité incontournable
À la grande surprise des éditeurs, avec beaucoup de bouche à oreille, le premier ouvrage de cette auteure américaine s'est hissé au sommet des ventes en 2002, aux USA. Maintenant écoulé à 3 millions de copies dans le monde, il est déjà consacré par certains comme le roman de la décennie.
La narration, tout au long du livre, est menée par un ange. Celui d'une adolescente qui raconte son viol et son assassinat dans un champ de maïs. Avec elle, on s'infiltre dans sa famille incapable d'oublier le drame, on rencontre ses amis, son amour, et ce meurtrier impuni qui rôde toujours dans le quartier.
Tout le monde a déjà perdu un être cher. Alice Sebold invoque cette douleur de l'absence. Ce sentiment étrange que l'on essaie d'enfouir lorsqu'il refait surface. Cet aspect est très réussi. Par contre, je m'attendais à trouver plus d'envolées poétiques. L'auteur a plutôt opté pour une écriture dénudée et directe.
Sans jamais juger ses personnages, sans nous imposer la manière dont nous devrions vivre un deuil, elle présente ce post-mortem tout en douceur. On marche parmi les vivants comme si on était mort, comme si les deux mondes se confondaient. Un voyage surprenant jusqu'à cette dernière phrase, toute simple, qui prend tout ce sens après avoir lu cette histoire émouvante.
Un roman troublant, qui en a choqué plusieurs. Certainement pas un chef-d'oeuvre, mais tout de même, une curiosité incontournable.
Les éditions
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La nostalgie de l'ange [Texte imprimé] Alice Sebold trad. de l'anglais, États-Unis, par Édith Soonckindt
de Sebold, Alice Soonckindt, Édith (Traducteur)
Nil éd.
ISBN : 9782744164613 ; 17,00 € ; 21/08/2003 ; 351 p. ; Broché
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Les critiques éclairs (26)
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La petite voyeuse
Critique de Koolasuchus (Laon, Inscrit le 10 décembre 2011, 35 ans) - 13 juin 2021
Cependant, je suis loin d'avoir été totalement conquis par ce roman, déjà on suit beaucoup trop de personnages, ce qui fait que certains manquent un peu de développement tandis que d'autres ont au final assez peu d'intérêt dans l'histoire. Pour ce qui est de Susie, même si je l'ai bien appréciée dans l'ensemble il y a eu des moments où je ne comprenais pas trop son comportement et il faut bien reconnaître que passer son temps à observer les autres, parfois jusque dans leur moments les plus intimes, est quand même assez dérangeant quand on y réfléchit bien. Le rythme est également assez inégal et parfois je m'ennuyais un peu quand l'auteur s'attarde sur des précisions ou des descriptions superflues. J'ai aussi trouvé que le paradis tel que l'imagine Alice Sebold était une idée assez originale mais qu'elle aurait pu un peu mieux l'exploiter car l'on reste avec plus de questions que de réponses sur cet endroit et, avec du recul, je me suis rendu compte qu'un paradis classico-classique tel qu'on le conçoit aurait tout aussi bien servi le récit.
Ainsi, sans avoir été la découverte du siècle, cela n'a pas été une mauvaise lecture pour autant et c'est avec plaisir que je me replongeais dans ce livre car j'avais envie de connaître la fin qui est, globalement, satisfaisante malgré deux-trois éléments un peu frustrants quand même. Un roman qui est donc parfois inutilement complexe mais qui réussit quand même plutôt bien à traiter une thématique assez difficile.
A lire et à relire...
Critique de AyaSebold (, Inscrite le 4 mars 2011, 30 ans) - 4 mars 2011
C'est l'histoire d'une jeune fille, Suzie SALMON, qui après avoir été violée et tuée se retrouve dans son paradis et devient donc un ange. De son paradis, elle est spectatrice de la vie de ceux qu'elle a quittés et du changement que sa mort a engendré.
C'est sans doute le personnage de Jack SALMON, le père de Suzie, qui m'a le plus touché. Depuis la mort de sa fille, il fait tout pour retrouver le corps de sa fille et par la même occasion son meurtrier. Jack, meurtri par ce drame, n'a plus que Suzie en tête et se morfondre sur lui-même.
Sa femme, qui a une aventure avec l'inspecteur chargé de l'enquête, finira par en avoir assez et partira vivre à Los Angeles.
La soeur de Suzie est aussi un personnage incroyable. Après le drame, elle devra subir le malheur de son père, devra en quelque sorte prendre la place de Suzie - irremplaçable dans le coeur de son père, pense-t-elle - et être identifiée aux yeux de tous comme "la soeur de Suzie SALMON". Mais malgré tout ça, elle aimait sa soeur et est prête à tout pour retrouver son meurtrier. C'est ce qui d'ailleurs, la rapproche de son père.
Le petit frère lui est étonnant. Il sait que quelque chose s'est passé mais il ne sait pas quoi exactement. Il sait seulement que sa soeur, Suzie, lui manque énormément.
Il n'y a pas que l'entourage de Suzie qui devra accepter sa mort, elle aussi devra le faire.
Alice SEBOLD décrit à la perfection le paradis. Elle n'en fait une image que déjà tout le monde s'est faite du paradis - tout blanc, tout beau -. Elle le décrit comme un endroit où toutes les choses dont on a toujours rêvées et dont on rêve, nous sont accessibles.
Dans toute histoire, ce qui est le plus entrainant, ce sont les apparitions de Suzie auprès de son entourage.
Le moment que j'ai préféré :
Lorsque Jack est à l'agonie, à l'hôpital. Alors là s'enclenche comme une rivalité entre les deux soeurs. Chacune voulant avoir son père à ses côtés. Suzie, du haut de son paradis, devient un instant hypocrite et souhaite que son père la rejoigne et sa soeur l'a compris alors elle demande à Suzie :
"Je t'en prie Suzie, ne le laisse pas mourir, laisse le-nous !".
C'est ce fantastique que j'ai aimé dans ce roman et aussi l'Amour Immortel que le père porte à sa fille Morte !
Avis partagé...
Critique de Kimysmile (, Inscrite le 5 octobre 2009, 34 ans) - 3 mars 2010
Le sujet est difficile mais raconté de façon pas trop dure, j'ai apprécié les nombreux moments d'émotion.
De plus, j'ai vu le film, et je ne l'ai pas vraiment apprécié car il est vraiment dur.
Peut-être que le sujet était trop dur pour moi, je ne sais pas trop...
Lecture difficile mais intense...
Critique de Ellcrys (Marseille, Inscrite le 24 décembre 2009, 40 ans) - 4 janvier 2010
J'avais très peur de lire ce livre, car je savais qu'il m'emmènerait au-delà de mes peurs, dans un endroit que je ne voulais surtout pas voir. J'avais aussi honte, avant d'ouvrir ce roman, car j'allais épier la douleur d'une famille, d'amis. Mais il n'en fut rien. Dès l'ouverture du livre, Susie m'a prise par la main et m'a invité à la suivre. Elle voulait que je fasse la connaissance de ceux qu'elle aimait. Les mots qui défilaient sous mes yeux m'ont littéralement dépouillés de tout ce qui m'entourait ; je me suis retrouvée là, avec Susie et, j'ai écouté son coeur d'adolescente me parler. Susie est une de ces jeunes filles que tout le monde aime, même si en secret beaucoup la jalousent un peu, de par sa beauté, son intelligence et sa gentillesse.
Tout le livre m'a bouleversé, mes larmes ont coulé plus d'une fois, mais Susie était là, me serrant la main et me conviant à continuer. La scène de son assassinat fut plus que douloureuse et éprouvante. Pendant ces quelques pages, j'ai vécu l'horreur, j'ai ressenti physiquement la peur et la douleur de Susie. Alice Sebold n'a pas fait de ce livre une galerie de l'horreur à montrer aux voyeurs avides de douleur, de sang et de larmes, comme je le redoutais et comme sûrement vous le redoutez. Non, Alice Sebold nous raconte brillamment et intelligemment l'horreur de ce monde mais aussi ces petits moments de bonheur qui donnent à la vie son caractère sacré : l'amour, l'amitié, le sourire de ses frères et soeurs, la construction de bateaux miniatures en bouteilles avec son père, ou bien la photo d'une mère prise à l'insu de celle-ci, magnifique.
Alice Sebold met beaucoup de justesse dans son récit et ne montre pas l'horreur pour l'horreur. Elle nous montre la reconstruction d'une famille et d'amis après un évènement tragique. Elle nous montre l'amour et le courage avec sensibilité et poésie. Je ne regrette aucunement la lecture de cet ouvrage intense, cruel certes mais magnifique. Laissez Susie vous prendre par la main, suivez la et écoutez la. N'ayez pas peur. Lisez.
De l'au delà
Critique de Tyty2410 (paris, Inscrite le 1 août 2005, 38 ans) - 29 janvier 2009
L'idée est assez originale , on ne tombe pas dans le pathétique , on voit la vie des autres et les différentes réactions face au décès ( surtout pour expliquer au petit frère avec le pion de susie du monopoly j'ai trouvée la métaphore assez touchante ) Puis la réaction de la mère qu'on ne comprend pas tout à fait
Cependant parfois des passages auraient pu être raccourcis , et puis l'absence de fin judiciaire résonne comme une injustice . Mais on voit aussi le culot du meurtrier qui dit qu'il est désolé et l'intuition du père qui sait que c'est lui alors qu'aucune preuve ne l'accable
Au final j'ai aimé l'idée de départ , le style d'écriture assez simple et sobre qui permet de comprendre les sentiments des personnages . On passe un bon moment et ça fait réfléchir.
A méditer
Critique de Campanule (Orp-Le-Grand, Inscrite le 10 octobre 2007, 62 ans) - 12 octobre 2007
Je n'ai pas accroché...
Critique de Gabri (, Inscrite le 28 juillet 2006, 38 ans) - 15 octobre 2006
De l'au-delà...
Critique de Muchado (Paris, Inscrite le 21 avril 2006, 43 ans) - 8 mai 2006
C'est ce que fait Susie. Et elle en parle plutôt bien, cette petite.
Pas une minute d'ennui en lisant ce roman, on se sent mal à l'aise parfois (quand Susie raconte son meurtre), mais j'étais au bord des larmes à la fin de cette belle histoire.
Désormais, je regarderai le ciel différemment...
Merci Susie
où est l'ange?
Critique de Erwan (, Inscrit le 12 décembre 2005, 51 ans) - 13 février 2006
Enfin si vous voulez vous émerveiller de la détresse humaine dévorez le !
De l’au-delà
Critique de Voni (Moselle, Inscrite le 1 septembre 2005, 64 ans) - 12 février 2006
“Personne n’aurait pu prévoir comment mon départ allait changer de petits instants sur Terre. Mais je m’accrochais à ces moments, je les thésaurisais. Aucun n’était perdu tant que je veillais.”
Puis, petit à petit, une forme de fatalité va s’installer, celle de l’impuissance qu’elle a à intervenir dans le monde et surtout cet éloignement qu’elle perçoit lentement puisque les éléments qui lui servaient de lien avec son existence d’avant s’étiolent les uns après les autres. Elle réalise que sa sœur, qui grandit, est la “multitude de choses qu’elle ne deviendra jamais”. Là, la nostalgie du titre prend toute sa valeur et entraîne le lecteur aussi dans ce sentiment de déchirement qui l’habite. Elle doit se convaincre qu’il lui faut se libérer de ces liens sur Terre et poursuivre son chemin dans l’au-delà.
Deux thèmes sont développés et sont en interaction dans ce roman. D’une part, le traumatisme vécu lors de la disparition tragique d’un membre d’une famille. Ce douloureux apprivoisement du deuil, plus violent peut-être, quand la mort, comme ici, est certaine alors qu’aucun corps n’a été retrouvé. Puis, l’anéantissement que peut provoquer une telle souffrance chez certaines personnes. D’autre part, l’intrigue autour de la personnalité mystérieuse et inquiétante du meurtrier s’étoffe lentement au fil des pages pour prendre un caractère psychopathique. Le déroulement de l’enquête qui piétine permet pourtant au lecteur d’approcher avec horreur le machiavélisme serein du meurtrier. Un suspense…
Bien que les thèmes abordés soient distincts et sans aucun doute bien plus violents dans ce livre-ci, l’idée originale de la construction de cette narration fait bien entendu penser à “la vie interdite” de Didier Van Cauwelaert.
Un thriller original empli, certes, de bien des émotions. Néanmoins je ne suis pas à ce point enthousiasmée, à l’instar de ces quelque trois millions de lecteurs dans le monde, pour le classer dans mes favoris du moment.
Agréable
Critique de Lyra will (, Inscrite le 25 août 2004, 36 ans) - 7 mai 2005
Mais peut-être est-ce la toute fin qui a déçu ?
C'est un bon livre, qui se lit facilement, mais comme dit précédemment, je m'attendais à plus d'envolée poétique, le style est fluide, mais un peu terne, pas très original.
Par contre, le thème, lui, est traité de manière originale, il est intéressant de voir les réflexions de Susie, sur sa famille, sa soeur surtout, mais aussi ses amis, et son paradis, qui occupe bien moins d'importance que la terre.
Un paradis qui semble d'ailleurs si terne, si ennuyeux, enfin, c'est comme ça qu'il m'a paru, jusqu'à la fin, où il évolue, mais je crois que c'était le but.
C'est un livre qui fait réfléchir, original dans la démarche, intrigant dans le sujet, troublant et rassurant à la fois.
Et pourtant, il me manque un petit quelque chose qui aurait fait gagner à ce livre une ou deux étoiles de plus.
LA NOSTALGIE DE L'ANGE
Critique de Grisette (, Inscrite le 4 avril 2005, 86 ans) - 4 avril 2005
Très beau
Critique de Mary305 (, Inscrite le 4 avril 2005, 49 ans) - 4 avril 2005
Personnellement, j'ai beaucoup aimé ce livre.
Parce que l'auteur, qui a elle-même été violée, raconte très simplement l'inacceptable.
Parce que, au fond de soi, on se demande : "et si cette gamine, c'était moi ou mon enfant ?"
La métamorphose d’une lecture
Critique de THYSBE (, Inscrite le 10 avril 2004, 67 ans) - 3 février 2005
Mais, cela fait maintenant plus d’un an que j’ai lu la nostalgie de l’ange. Ce livre est réactivé à chaque évènement semblable.
Toute la subtilité de ce roman est justement, cet amorce du deuil, de la vérité, du mobile, sans jamais pouvoir les atteindre. Sans jamais pouvoir accepter. La plus grande souffrance en nous, l’impuissance, l’incompréhension n’arrive pas à se satisfaire de cette fin. Ce côté mystique procuré par l’esprit de la victime, insiste sur l’irréalité de l’horreur. Mes sentiments malmenés tout au long du livre, refusaient ce dénouement.
Voici ce qui m’en reste au bout d’un an. Un livre élégant et pudique sur la cruauté d’un tel évènement. Depuis j’ai fait mon deuil…
Où es tu?
Critique de Aamelie (chartres, Inscrite le 23 janvier 2005, 44 ans) - 3 février 2005
Bluffée
Critique de Didane (, Inscrite le 2 décembre 2004, 44 ans) - 2 décembre 2004
Beaucoup d'émotions.
Un seul petit défaut la fin est un peu bâclée.
J'ai regretté mon acquisition de ce livre
Critique de Kreen78 (Limours, Inscrite le 11 septembre 2004, 46 ans) - 11 septembre 2004
Elle s'en est assez mal tiré au final et c'est vraiment dommage. Bon il faut que je revende le bouquin maintenant...
Pourquoi?
Critique de Vanessa (, Inscrite le 19 avril 2004, 44 ans) - 30 août 2004
Touchant !
Critique de Schéerazade (Talange, Inscrite le 16 juillet 2004, 42 ans) - 19 juillet 2004
On aurait aimé protéger Suzie, alors on se met à éprouver la tristesse de sa famille qui tente lentement de "re-vivre".
C'est une histoire originale, sur un thème d'actualité.
J'ai beaucoup aimé ce roman, même si au départ, je me sentais réticente à l'idée de lire un roman où une jeune fille décédée en faisait le récit, mais en fait on se fond vite dans l'histoire, sans penser que c'est irréel.
Subtile sensibilité
Critique de Sahkti (Genève, Inscrite le 17 avril 2004, 50 ans) - 29 avril 2004
Au-delà de cet aspect qui peut sembler fantaisiste, c’est tout le travail du deuil qui est ici abordé d’une manière très sensible.
Non seulement les parents de Susie doivent apprendre à vivre avec l’absence si cruelle de leur trésor (et on sait les répercussions que ça aura sur eux, la maman va s’en aller et le papa se morfondre solitairement), mais Susie elle-même doit accepter sa mort. Elle appartient désormais au monde des esprits et si cela semble facile au départ d’intervenir comme elle le fait dans le monde des vivants, elle doit réaliser les conséquences de ses actes et se retirer en douceur, sur la pointe des pieds, laissant les choses reprendre leur cours, même si la tentation est grande de se prendre pour une fée ou une magicienne, étant donné qu’on l’est tout de même un petit peu.
Si les styles sont très différents, on pourrait même se risquer à établir un parallèle avec l’idée développée par Van Cauwelaert : un personnage décédé assiste à son immédiat après-mort, à son enterrement, au comportement de ses amis et de sa famille. Qu’on préfère Van Cauwelaert à Alice Sebold, soit. Il est vrai que ce sont deux plumes au tempérament opposé, mais l’idée est là. Susie regarde ses amis d’école, elle les écoute se répandre en questions après cet horrible meurtre, elle assiste impuissante au désespoir de ses parents et à la mauvaise foi de son meurtrier. C’est une sorte de journal intime, des vies extérieures racontées par une jeune adolescente qui cherche ses marques dans son nouvel univers et aimerait tant, malgré son état de morte, garder le contact avec ses proches, faire encore partie de leur vie d’une manière un peu plus concrète qu’une simple photo sur une cheminée.
C'est un ouvrage sensible qui dresse un portrait sans faille de notre fragilité.
troublant
Critique de Scarlett (, Inscrite le 6 mars 2004, 38 ans) - 21 mars 2004
doux et angélique
Critique de Lolia (, Inscrite le 18 mars 2004, 51 ans) - 19 mars 2004
La nostalgie de l'ange
Critique de Ni (ARLON, Inscrite le 13 février 2004, 64 ans) - 15 février 2004
merveilleux...
Critique de Pauline (, Inscrite le 1 février 2004, 35 ans) - 1 février 2004
Souvenir inoubliable...
Irréel mais émouvant
Critique de Aramis (, Inscrit le 13 janvier 2004, 82 ans) - 13 janvier 2004
Ce n'est peut-être pas le roman de la décennie, mais il est novateur par la nature de la narratrice, le récit est agréable et parfois émouvant.
Absolument à lire !
Un succès qui m'étonne un peu
Critique de Nutella (Rhode-Saint-Genèse, Inscrite le 31 décembre 2000, 44 ans) - 12 janvier 2004
Forums: La Nostalgie de l'Ange
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adaptation | 9 | Laurent03000 | 22 février 2010 @ 16:20 |