Dans la bonne moyenne de la série

Bien meilleur que le précédent, cet opus bénéficie d'un scénario intéressant et d'un suspense qui se tient jusqu'aux explications finales. De plus le côté fantastique parfois trop présent et à l'origine de certaines confusions dans quelques uns des romans de la série est ici quasi inexistant, ce qui pour ma part me convient très bien.
Le style de John Connolly rappelle celui de James Lee Burke, non pas dans les scénarios qui restent plus variés, mais dans l'écriture elle-même, soignée mais pas forcément compréhensible à la première lecture.

Charlie Parker accepte de travailler pour une avocate chargée de protéger les intérêts d'un homme n'ayant eu le choix de changer d'identité suite à un emprisonnement de dix-huit années pour un meurtre commis sur une mineure alors qu'il était lui-même âgé de quatorze ans. Ce dernier recevant des courriers démontrant que son passé n'est pas inconnu de tous décide de se faire aider, mais une part d'ombre demeure et provoque pas mal d'interrogations chez Parker.

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  La nuit des corbeaux [Texte imprimé] John Connolly traduit de l'anglais (Irlande) par Jacques Martinache

  de Connolly, John Martinache, Jacques (Traducteur)
  Pocket / Thrillers (Paris. 1998)
  ISBN : 9782266232364 ; 7,95 € ; 11/04/2013 ; 519 p. ; Poche

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