La carte du pendu de Jeffery Deaver
(The twelfth card)
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
Moyenne des notes : (basée sur 2 avis)
Cote pondérée : (55 823ème position).
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Trop technique
Pourquoi une adolescente sans problème de Harlem est-elle victime d'une tentative de meurtre à la bibliothèque ?
Est-ce le travail de recherche qu'elle mène sur un ancien aïeul, esclave affranchi et propriétaire d'une ferme, engagé dans la lutte pour l'égalité des droits des hommes et soupçonné d'assassinat en 1868 qui fait que Geneva Settle se retrouve traquée par de diaboliques tueurs ?
Il faudra une nouvelle fois tout le talent du célèbre inspecteur Lincoln Rhyme et de sa co-équipière non moins célèbre Amélia Sachs pour venir à bout de cette enquête toujours aussi riche en rebondissements et en découvertes qui les emmènera, entre autres, dans l'histoire douloureuse de l'abolitionnisme.
Malgré cela, j'ai trouvé ce titre un peu moins passionnant que les précédents. On a l'impression que l'auteur n'est pas convaincu lui-même; l'abondance et la redondance de notices techniques, historiques ou scientifiques finissent par lasser.
Un policier honnête mais un peu en dessous de la moyenne à laquelle nous avait habitué Jeffery Deaver.
Les éditions
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La carte du pendu [Texte imprimé], roman Jeffery Deaver traduit de l'anglais (États-Unis) par Isabelle Maillet
de Deaver, Jeffery Maillet, Isabelle (Traducteur)
Éd. des 2 terres
ISBN : 9782848930473 ; 22,50 € ; 23/10/2013 ; 491 p. ; Format Kindle
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Trampoline
Critique de Ardeo (Flémalle, Inscrit le 29 juin 2012, 77 ans) - 19 mars 2020
Dans ce roman qui commence bien, il y a une tentative de viol sur une brave adolescente qui tourne bientôt à la recherche d’un tueur de sang-froid pas du tout convivial lui non plus. Le livre est plaisant et les policiers d’un côté dans leurs recherches d’indices et leur méthode scientifique et d’un autre côté l’assassin lui-même que nous découvrons dans sa vie quotidienne et ses préparatifs font une lecture passionnante et vivante.
Puis Deaver nous distille un rebondissement qui ravit et empêche le lecteur de s’endormir … puis un autre et encore un autre et encore !!! Jusqu’à une réelle saturation. Le lecteur (moi) décroche et se demande pourquoi Deaver nous avait asséné régulièrement 4 ou 5 pages d’indices recopiées sur le tableau de travail de l’équipe scientifique et qui finalement ne servent plus à rien.
Donc trop c’est trop. Ce roman devient un vrai trampoline de rebondissements. Dommage ! Quatre cents pages ou 600 comme sur mon édition de poche, c’est le même prix pour le lecteur mais quand l’ennui s’installe, la cote de satisfaction frôle les 2,5/5 comme Marvic donne.
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