L'île des oubliés de Victoria Hislop

L'île des oubliés de Victoria Hislop
(The island)

Catégorie(s) : Littérature => Anglophone

Critiqué par Monde imaginaire, le 6 juin 2013 (Bourg La Reine, Inscrite le 6 octobre 2011, 51 ans)
La note : 10 étoiles
Moyenne des notes : 7 étoiles (basée sur 15 avis)
Cote pondérée : 7 étoiles (2 172ème position).
Visites : 14 948 

Totalement conquise par cette histoire bouleversante et très originale

4ème de couverture :

L’été s’achève à Plaka, un village sur la côte nord de la Crète. Alexis, une jeune Anglaise diplômée d’archéologie, a choisi de s’y rendre parce que c’est là que sa mère est née et a vécu jusqu’à ses dix-huit ans. Une terrible découverte attend Alexis qui ignore tout de l’histoire de sa famille : de 1903 à 1957, Spinalonga, l’île qui fait face à Plaka et ressemble tant à un animal alangui allongé sur le dos, était une colonie de lépreux... et son arrière-grand-mère y aurait péri. Quels mystères effrayants recèle cette île que surplombent les ruines d’une forteresse vénitienne ? Pourquoi, Sophia, la mère d'Alexis, a-t-elle si violemment rompu avec son passé ? La jeune femme est bien décidée à lever le voile sur la déchirante destinée de ses aïeules et sur leurs sombres secrets... Bouleversant plaidoyer contre l'exclusion, L'Île des oubliés, traduit dans vingt-cinq pays et vendu à plus de deux millions d'exemplaires, a conquis le monde entier.

Ce que j’en ai pensé :

C’est une très belle histoire qui m’a beaucoup touchée. J’ai vraiment adoré partager la vie de la famille Petrakis.
Le charme opère de chapitres en chapitres tenant le lecteur en haleine avec ces petits rien ou parfois ces grands drames qui façonnent des vies.
J’ai également beaucoup appris car j’ignorais totalement l’existence de l’île de Spinalonga qui a servi à mettre en quarantaine une colonie de lépreux en Crète.
L’écriture est exquise, la construction du récit est passionnante, les personnages attachants. Résultat : on ne peut qu’être qu’intensément touché par les coups du destin qui frappent cette famille.
Si vous ne l’avez pas encore lu, vous avez de la chance car vous ferez très certainement une magnifique découverte.

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Touchante histoire crétoise

7 étoiles

Critique de Vinmont (, Inscrit le 12 août 2014, 49 ans) - 21 janvier 2020

Victoria HISLOP donne beaucoup de relief et de sensibilité à cette histoire terrible de colonie de lépreux finalement pas si loin de chez nous, au large d'un paisible village crétois.
C'est une très belle histoire qui touche son lecteur. A découvrir

Une saga familiale sur 4 générations

7 étoiles

Critique de Alma (, Inscrite le 22 novembre 2006, - ans) - 18 juillet 2019

Spinalonga , l'histoire d'une famille sur quatre générations .
Le roman se construit autour d'une enquête menée par une jeune femme anglaise curieuse de connaître les origines de sa mère, un passé à propos duquel celle-ci est toujours restée très discrète .
Ses recherches vont la mener jusqu'à Plaka, en Crète, qui fait face à l'île de Spinalonga où pendant la première moitié du 20e siècle furent parqués les lépreux grecs . Plaka d'où partaient les bateaux qui approvisionnaient l'île, y amenaient des médecins .
On pourrait imaginer cette île comme un camp inhospitalier, une sorte de cour des miracles . Bien au contraire les malades vivaient dans un cadre soigné, agréable. S'y était créée une communauté parfaitement organisée où régnaient calme et solidarité .
Ce voyage en Crète permettra de lever le voile sur un douloureux secret familial .

Une famille sur plusieurs générations, un secret ! Le romanesque est garanti !
S'offrent au lecteur une galerie de personnages bien tranchés, attachants, présentés dans un schéma plutôt manichéen . Des romances, des ruptures, des coups de théâtre aussi. De quoi constituer le scénario d'une série télévisée !

Ce romanesque est le biais par lequel le lecteur va prend conscience de la honte qui s'attache à cette terrible maladie qu'est la lèpre, tare familiale honteuse que l'on se doit de cacher car elle entache toute une descendance .

Les 400 pages du roman où alternent les séquences sur l'île des lépreux et sur la côte placent le lecteur en immersion dans le quotidien de la vie des Crétois. Même si Spinalonga est à présent déserte, seulement envahie par une végétation sauvage et si on ne vit plus en Crète comme il y a plus de 50 ans, certaines traditions, culinaires notamment, ont subsisté et les paysages ruraux ou maritimes n'ont guère changé.

Et si cet été, lors d'un séjour en Crète, vous passez par Elunda ou Plaka , arrêtez-vous . On vous proposera une petite traversée en bateau pour vous rendre à Spinalonga .
N'hésitez pas . Vous y découvrirez une petite bourgade fantôme, abandonnée, mais vous pourrez flâner dans ses ruelles que vous peuplerez des souvenirs de ce roman dont -finalement- la lecture est agréable .

Rejeté comme la lèpre

9 étoiles

Critique de Ddh (Mouscron, Inscrit le 16 octobre 2005, 82 ans) - 26 novembre 2016

Spinalonga est une petite île à quelques brasses de la Crète. On veut l'oublier car elle recèle et a recelé des lépreux !
Victoria Hislop a reçu en 2005 le Prix de la révélation littéraire en Grande-Bretagne avec L'île des oubliés, roman qui a été traduit et publié à plus de deux millions d'exemplaires.
La jeune Alexis veut voir clair dans sa généalogie. Quel passé ! Les non-dits sont multiples ! Et tout remonte avant la guerre 40 et aux arrière-grands-parents : Eleni et Georgis, elle institutrice et lui pêcheur et passeur vers Spinalonga, l'île qui retient les lépreux. La vie à cette époque est d'autant plus rude que la mentalité rejette ces malades, répudiés, la honte des familles. La société est aussi fortement marquée : les propriétaires terriens dominateurs et le petit peuple à leur service. Autant de drames qui marquent le déroulement de ce roman.
L'auteure décrit avec beaucoup de tact ce drame qu'est la lèpre. Les efforts du corps médical pour lutter contre cette maladie sont bien relatés. Le drame d'une famille fait mieux comprendre la détresse de tout un peuple.

Secrets de famille

7 étoiles

Critique de Elko (Niort, Inscrit le 23 mars 2010, 47 ans) - 4 octobre 2015

Voici une belle histoire qui nous immerge dans la culture crétoise. En apprenant son passé familial depuis toujours tenu secret par sa mère, Alexis découvre cette île unique aux traditions toujours vivaces mais aussi la réalité d'une des maladies les plus anciennes.
C'est véritablement le talent de conteuse de l'auteure qui m'a embarqué plus que sa plume. Elle sait avec simplicité dérouler son récit et installer une atmosphère remarquable. Une faiblesse cependant : le manque de nuance de ses personnages, qui confine parfois à la caricature.

Aussi vrai que du folklore

6 étoiles

Critique de Reginalda (lyon, Inscrite le 6 juin 2006, 57 ans) - 14 septembre 2015

L'intrigue générale est simple : Alexis, jeune Anglaise en voyage en Crète avec son fiancé profite de l'occasion pour découvrir le passé familial car sa mère, originaire d'un petit village de l'île, a toujours refusé d'en parler. Elle apprendra une histoire pleine de joies et de souffrances dont elle sortira transformée.
Bon, côté originalité, on a fait mieux, tout comme en ce qui concerne la narration et la vision du monde qui se dégage de ce roman. L'intrigue s'inscrit dans une Crète éternelle à destination des touristes, où le mode de vie est censé ne pas avoir évolué depuis des siècles et que le lecteur observera sous cloche avec la curiosité condescendante semi nostalgique de qui vit dans une modernité urbaine coupée de ses racines.
Victoria Hislop sait indéniablement raconter une histoire et le destin de Maria (la véritable héroïne du roman et tante de la mère d'Alexis) a des moments tragiques particulièrement poignants. Toutefois, c'est un livre d'un autre âge, aussi vrai que la Crète folklorique qui lui sert de décor.

L'espoir fait vivre

8 étoiles

Critique de Marvic (Normandie, Inscrite le 23 novembre 2008, 65 ans) - 10 mai 2015

Alexis, jeune anglaise part avec son ami passer ses vacances en Grèce. Mais avant son départ, elle décide de lever le voile posé par sa maman sur son propre passé. Pourquoi Sophia n'a-t-elle jamais voulu parler de son enfance ? C'est en Crète, auprès de Fotini, meilleure amie d'enfance de sa maman, qu'Alexis va découvrir ses origines et particulièrement le passé de sa grand-mère et de sa grand-tante Anna et Maria.
Car le petit village de Plaka possède un passé qu'il trouve peu glorieux. A quelques centaines de mètres, se trouve l'île de Spinalonga, léproserie du XX° siècle où ont vécu deux de ses aïeules.

Si l'on peut reprocher le côté très romanesque, en particulier dans les personnages stéréotypés et figés des deux sœurs (je rejoins Provisette1 sur ce sujet), j'ai beaucoup aimé la découverte de ce village isolé, j'ai partagé le déchirement provoqué par la condamnation sans appel que constituait l'arrivée sur l'île puis l’étonnante vie de ce village autarcique.
Ces "villageois", qui grâce à la ténacité et le dévouement de certains, vont faire de l'île un lieu de vie digne, où l'arrivée des Athéniens améliorera encore plus leurs conditions . Il restera longtemps un lieu de mort, de mort atroce mais aussi un lieu d'espoir jusqu'à la découverte des soins qui permettront la fermeture de ce village qui provoquera cet étonnant dénouement :
"Les lépreux partageaient l'ambivalence des sentiments des villageois . Certains membres de la colonie n'osaient pas s'avouer que le départ de l'île les remplissait d'une terreur semblable à celle qu'ils avaient éprouvée au moment de la rejoindre. Ils y avaient trouvé une sécurité inespérée, et beaucoup redoutant de la perdre, y compris ceux qui ne portaient pas le moindre stigmate."

Ce livre, coup de coeur de la bibliothécaire et conseillé par une amie m'a permis de passer un très bon moment de lecture, de découvrir une région et ses habitants, et surtout qu'il y avait encore des léproseries à cette époque.

Un peu de patience

6 étoiles

Critique de Isabelle.d. (, Inscrite le 24 mai 2010, 56 ans) - 2 mai 2015

En ce qui me concerne, le problème de ce livre, c'est son début! Long, long, long au démarrage. Pour un peu, on aurait presque envie de se choper la lèpre pour aller vivre sur cette île qui semble un petit coin de paradis, de sortir sa guitare et chanter "la paix sur terre" autour d'un feu de camp. Mais ça c'est le début. une fois lancée, l'histoire est bouleversante, originale, l'écriture est fluide.
Bref ça se laisse lire, j'en garde un bon souvenir mais ça ne vaut pas le ramdam qu'on en a fait.

Déception

4 étoiles

Critique de ClaireF (, Inscrite le 9 août 2010, 40 ans) - 1 février 2015

Bon, ... j'avais gardé ce livre pour un moment privilégié. Quelle déception.

Ça se lit vite, ça s'oublie aussitôt tant tout est prévisible.

Captivant

8 étoiles

Critique de Provisette1 (, Inscrite le 7 mai 2013, 11 ans) - 25 janvier 2015

...et, en particulier, pour qui connait la Crète, son Histoire, ses villages et leurs habitants car, alors, cette douloureuse et bouleversante saga familiale , cette "découverte" de l'histoire de l’île de Spinalonga, île de regroupement-"colonie"-de ces lépreux éloignés brutalement de leurs familles, de leurs villages, de leur passé, exclus violemment d'un monde les considérant comme des parias captive plus encore.

Style très agréable, fluidité de l’écriture, belles évocations de cette Crète qui m'est chère.

Mon seul bémol: ces "histoires d'amour" parfois trop "sirupeuses" superflues à mon goût.

Les impurs !

6 étoiles

Critique de Monocle (tournai, Inscrit le 19 février 2010, 64 ans) - 16 juin 2014

Je rejoins l'avis d'Ardéo : il manque quelque chose à ce livre pour être dans le peloton des merveilles.
Mais ce n'est qu'un ressenti et il n'est pas question de porter atteinte à ceux qui ont aimé.
Le sujet et le décor sont très intéressants.

Un livre saisissant

9 étoiles

Critique de DE GOUGE (Nantes, Inscrite le 30 septembre 2011, 67 ans) - 15 décembre 2013

Si les histoires d'amour, de passions, et de recherche du passé, présentent un intérêt limité, ce livre est un bijou dans l'ouverture qu'il propose sur la culture crétoise : le quotidien, les coutumes, la vie pendant la guerre de 39/45....
Mais surtout, il nous ouvre l'accès à cette île où sont proscrits les "intouchables". Cette vie communautaire, malgré des débuts où la misère et le manque d'hygiène sont prépondérants, se construit au fil du temps très loin de l'image qu'on se fait d'une léproserie.
C'est un village ilien à part entière avec ses maisons, son marché, son école, son hôpital -bien sûr- son cinéma, son café et son journal local. La douleur du "relégué" lorsqu'il arrive est atroce, mais il peut espérer s'y construire une vie sans ostracisme interne et si la maladie ne le détruit pas trop vite, il a la possibilité d'exister dans une communauté, non pas parfaite, mais sans le regard apitoyé, apeuré voire agressif de l'autre.
Et quand enfin, le premier traitement apparait et le première guérison, c'est la joie et la PEUR mélangées. Comment se faire accepter "dehors" (surtout s'il y a séquelles) ? Y a-t-il encore quelqu'un "dehors" qui se réjouisse du retour du lépreux ? Comment reconstruire sa vie ?
Victoria HISLOP nous offre un très bel exemple des "idées reçues", des terribles dégâts de la marginalisation forcée, de la cruauté et la bêtise liées à la méconnaissance : bref, une approche humaine de la violence de l'exclusion.
De ce fait, cet ouvrage est remarquable !

Une atmosphère unique !

8 étoiles

Critique de Nola Tagada (Paris, Inscrite le 22 octobre 2012, 39 ans) - 15 octobre 2013

L’île des oubliés, c’est un joli petit livre mais surtout c’est une histoire qui est magnifiquement racontée, presque contée. J’ai été portée par l’écriture de Victoria Hislop et c’est ça avant tout autre chose qui m’a plu. C’est une invitation au voyage ! Des paysages, des scènes de vie (qui n’ont rien d’exceptionnelles en plus) qui m’ont fait rêver, j’étais en Crète moi et c’était cool. Assise à la terrasse de la belle Fotini, avec un p’tit verre de raki, j’ai senti le soleil sur ma peau et j’ai admiré les couleurs et la beauté de la Crète.


Alors là, vous vous dites “Mouais, elle fume pas un peu la petite ?!…” Et ben non !! Il y a une ambiance, une atmosphère à part dans ce livre, douce, chaleureuse et pleine de joie de vivre malgré la fatalité des événements qui y sont décrits. Au passage vous apprendrez des choses sur l’histoire de la petite île de Spinalonga, dernière léproserie d’Europe, ce qui ne gâche rien vous en conviendrez.


“Elle jacte, elle jacte et on se sait toujours pas de quoi ça parle !”

“Oui, oui, j’arrive à l’histoire !”.


Comme son nom l’indique, L’île des oubliés, c’est l’histoire d’une île, enfin en partie car ce que nous décrit Victoria Hislop c’est l’histoire de la famille d’Alexis, une jeune fille brillante qui se pose des questions sur le silence de sa mère lorsqu’elle aborde le sujet de ses origines. La mère d’Alexis, Sophia, est grecque et a été élevée par son oncle Nikolaos et sa tante Maria. Voila les seuls éléments que la pauvre Alexis a à se mettre sous la dent, pas grand chose donc. Alors qu’elle est à un tournant de sa vie et qu’elle se pose des questions sur son avenir, elle décide d’aller chercher des réponses dans l’histoire de ses origines en Grèce.


On replonge alors des années en arrière, juste avant le début de la seconde guerre mondiale lorsque l’arrière grand-mère d’Alexis, atteinte de la lèpre, est contrainte de s’exiler sur l’île de Spinalonga. On entre dans l’histoire d’une famille dont le destin est implacablement lié à la petite île leur qui fait face. Sur une toile de fond historique douloureusement intéressante, on découvre au travers de trois générations de femmes l’histoire d’une famille qui n’a pas été épargnée par les drames de la vie mais qui sait garder la tête haute, sa confiance en l’avenir et sa rage de vivre, au même titre d’ailleurs que les habitants de Spinalonga que vous aurez le plaisir de rencontrer également.


Amour, trahison, exclusion, séparation, jalousie, émotion, maladie, rejet, bref vous l’avez compris tout y passe dans cette saga familiale ! On aime ou on n’aime pas le genre certes, mais ce n’est pas pour cette raison que je vous conseille de lire l’île des oubliés. A votre place je me lancerai dans cette belle histoire pour le style de Victoria Hislop. Même si comme ça, il n’a rien d’extraordinaire je suis complètement fan de l’ambiance qui transpire de ce bouquin, c’est beau, c’est prenant, c’est dépaysant, on y est quoi ! On admire la force de vie et le courage des lépreux de la même façon que l’on est bercé par les paysages magnifiques de la Crète. Si vous êtes à la recherche de soleil en ce début d’automne, foncez mes petits cocos !

Intéressant et prenant

10 étoiles

Critique de Clacla44 (, Inscrite le 4 mars 2011, 35 ans) - 19 septembre 2013

Ce fut une belle surprise. L'écriture est très agréable à lire, il n'y a pas de longueurs, le lecteur se sent vite embarqué dans cette saga familiale. Ce qui m'a également plu, c'est le fond historique. Je ne connais pas la culture grecque et encore moins l'histoire de la Crète. J'ai donc découvert l'île des lépreux, les traditions culturelles et familiales. A lire donc!

Pagnol crétois

6 étoiles

Critique de Ardeo (Flémalle, Inscrit le 29 juin 2012, 76 ans) - 15 juillet 2013

Un livre agréable à lire, c’est vrai ! L’histoire se déroule sur 4 ou 5 générations (je ne sais plus finalement) et relate notamment un épisode de la lutte contre la lèpre et de l’isolement imposé aux malades sur une petite île de Crète. Le style du bouquin est un peu à rapprocher des romans de Pagnol avec le même type de plaisir à découvrir des grands sentiments : amour, bonheur, drame, souffrance, adversité, fierté, courage etc. Mais au final, il manque quelques « surprises » et, pour moi, le livre reste assez conventionnel.

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