Les puissances des ténèbres de Anthony Burgess
Les puissances des ténèbres de Anthony Burgess
(Earthly powers)
(Earthly powers)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
Critiqué par ARL, le 6 septembre 2014
(Montréal, Inscrit le 6 septembre 2014, 38 ans)
Critiqué par ARL, le 6 septembre 2014
(Montréal, Inscrit le 6 septembre 2014, 38 ans)
La note :
Moyenne des notes : (basée sur 2 avis)
Cote pondérée : (55 701ème position).
Visites : 4 484
Moyenne des notes : (basée sur 2 avis)
Cote pondérée : (55 701ème position).
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Le chef-d'oeuvre de Burgess
Un énorme pavé qui est sans conteste la plus grande oeuvre de Burgess et qui représente en quelque sorte son testament littéraire. Humour et érudition se mélangent habilement et l'auteur aborde des réflexions sur la religion, la mort et l'art avec une grande profondeur sans jamais oublier de divertir. À lire pour ceux que la longueur n'effraie pas.
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Les éditions
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Les puissances des ténèbres [Texte imprimé] Anthony Burgess traduit de l'anglais par Georges Belmont et Hortense Chabrier
de Burgess, Anthony Belmont, Georges (Traducteur) Chabrier, Hortense (Traducteur)
R. Laffont / Bibliothèque Pavillons
ISBN : 9782221133552 ; 13,90 € ; 22/11/2012 ; 1010 p. ; Poche -
Les puissances des ténèbres
de Burgess, Anthony Belmont, Georges (Traducteur) Chabrier, Hortense (Traducteur)
R. Laffont / Pavillons Poche
ISBN : 9782221134825 ; EUR 13,99 ; 22/11/2012 ; 1024 p. ; Format Kindle
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Fausse promesse
Critique de Sundernono (Nice, Inscrit le 21 février 2011, 41 ans) - 30 août 2017
« La presse anglaise et américaine a crié au « roman du siècle » devant ce livre. Tout le XXe siècle y passe, en effet, emportant le lecteur dans sa chevauchée fantastique, bruit et fureur, fumées des guerres et des holocaustes, où se répercute le galop des cavaliers de l'Apocalypse. Le génie de Burgess est d'avoir concentré l'écho du gigantesque fracas dans trois personnages : un écrivain curieux et voyageur, sa sœur, belle et intelligente, et un prêtre qui, devenu leur parent par alliance, finira pape. »
Voilà ce que nous « vend » la quatrième de couverture de l’édition poche qui compte deux tomes d’à peu près 700 pages chacun.
Je vais aller droit au but, ce roman m’a profondément déçu. Roman du siècle ? Comment peut-on dire cela lorsque l’on songe à la richesse littéraire du siècle dernier ? Dis comme cela je m’attendais à une lecture proche de la trilogie du siècle de Ken Follett mais sous la plume de Burgess. Certes le style est là, la plume est élégante mais que d’ennui au cours des 400 pages que j’ai eu la force de lire. L’histoire, du moins là où je l’ai laissée se borne autour des « aventures » et des déboires d’un écrivain à succès, Kenneth Toomey, dont l’homosexualité constitue la trame principale du roman : questionnements et constations vis-à-vis de la société, de la famille, de la religion, des moeurs…
Certains passages sont tout de même intéressants et m’ont parfois fait sourire mais cela reste bien trop peu pour accrocher un minimum le lecteur que je suis.
J’ai essayé de m’y replonger plusieurs fois mais je suis las de ces puissances des ténèbres. Rarement un roman m’aura tant donné cette impression de perdre mon temps.
Une grande déception.
Voilà ce que nous « vend » la quatrième de couverture de l’édition poche qui compte deux tomes d’à peu près 700 pages chacun.
Je vais aller droit au but, ce roman m’a profondément déçu. Roman du siècle ? Comment peut-on dire cela lorsque l’on songe à la richesse littéraire du siècle dernier ? Dis comme cela je m’attendais à une lecture proche de la trilogie du siècle de Ken Follett mais sous la plume de Burgess. Certes le style est là, la plume est élégante mais que d’ennui au cours des 400 pages que j’ai eu la force de lire. L’histoire, du moins là où je l’ai laissée se borne autour des « aventures » et des déboires d’un écrivain à succès, Kenneth Toomey, dont l’homosexualité constitue la trame principale du roman : questionnements et constations vis-à-vis de la société, de la famille, de la religion, des moeurs…
Certains passages sont tout de même intéressants et m’ont parfois fait sourire mais cela reste bien trop peu pour accrocher un minimum le lecteur que je suis.
J’ai essayé de m’y replonger plusieurs fois mais je suis las de ces puissances des ténèbres. Rarement un roman m’aura tant donné cette impression de perdre mon temps.
Une grande déception.
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