Je ne suis pas totalement d'accord avec les critiques négatives. OK ce n'est probablement pas de "la" littérature mais l'histoire est plutôt pas mal et le suspense bien entretenu. On se demande qui est vraiment Marty et comment Samantha va s'en sortir. Heureusement un policier tenace va avoir du flair et intervenir à temps.
Le dénouement est étonnant aussi, un rebondissement dans les dernières lignes et quel rebondissement!
Finalement c'est un livre distrayant à lire pour se divertir sans chercher plus que cela. A lire en vacances ou dans le train sans trop se prendre la tête.

Pourquoi avoir réédité ce roman des années 80, tel est le principal mystère de ce livre.
Pour le reste... C'est très mal écrit, le suspense est inexistant (aucun point de vue adopté, le lecteur sait à tout moment ce que pense chaque protagoniste...).
Et le rebondissement final, il surprendra sans doute ceux qui n'ont pas vu les très grosses ficelles du récit. Entièrement d'accord avec Gwench!

En conclusion, rien n'est à sauver...

Quelle déception qu'est ce livre.
Le sujet semblait intéressant - un homme ayant vraisemblablement inventé son passé - mais c'est bien mal raconté.

Je suis d'accord avec BMR & MAM quant à la qualité de l'écriture. Aucun style, si ce n'est celui de n'avoir rien tenté.

Pour ce qui est de la fin "imprévisible", je l'ai trouvée au contraire très prévisible...
Marty qui reçoit des courriers d'alerte au long du livre signifiant que Sam est au courant pour son faux-passé. Qui donc peut bien envoyer de tels courriers ? Les personnes au courant étant Lynne et Tom Edwards (tiens, le même nom de famille que l'homme de la cassette vidéo de Marty). Sachant que Marty avait un frère et que Sam trouve une certaine ressemblance entre Marty et Tom... On se doute bien que ce dernier est très lié au projet de vengeance de Marty et qu'il pourrait très bien être son frère.

Et que dire du faux-rebondissement concernant l'une des dernières scènes : Cross-Wade arrêtant sa surveillance à la fin de la fête, car tout va finalement bien pour ensuite........ Surprise, intervenir lorsque Marty passe à l'acte, suivant son "flair du détective" ! Wouaaaaaaaah !

Une fin trop rapide, bâclée, prévisible. Un livre qui est largement oubliable. A déconseiller.

Quelle sévérité de BRM & MAM !

J'ai lu le livre en 2 heures pendant un trajet de train.

Ce n'est pas un grand polar, mais j'ai passé un bon moment.

Les dernières pages du livre sont inattendues..

Honnête donc !

À éviter ! Absolument !
Voilà longtemps qu'on n'avait lu un tel navet.
Mais quelle mouche a piqué les Presses de la Cité pour ré-éditer ce nanar vieux de trente ans ? Oui bien sûr, les succès récents de l'auteur dans les gares TGV, mais bon quand même ...
Une intrigue absolument invraisemblable : une jeune mariée organise l'anniversaire de son récent époux et tente d'inviter les vieilles connaissances d'icelui (camarades d'école, etc ...) ... mais en vain : son chéri ne semble pas avoir de véritable passé, en tout cas pas celui qu'il a voulu lui faire croire.
Pendant ce temps, un tueur en série rôde ...
Oh ... et tiens, serait-ce le même bonhomme ?
Et ben vous allez rire, mais OUI ! Ah, ben ça alors !
Et la surprise party tourne en suprise partie.
Passent encore les invraisemblances incroyables qui émaillent la vie de ce "couple" ... mais alors que dire de l'écriture ?
C'est du niveau d'une rédaction de collège :

[...] Samantha avait trente-cinq ans, des yeux bleus et des cheveux châtains qu'elle portait longs; elle était incroyablement heureuse.

Peut-être fallait-il lire tout cela au second degré ? Mais avouons ne pas y être arrivé.
Désolé pour les Presses de la Cité qui nous ont gentiment fait parvenir ce bouquin, mais non vraiment, il n'est pas possible d'être plus bienveillant avec ce thriller qui ne fait pas frissonner, si ce n'est d'ennui.

[...] Elle en arrivait maintenant à souhaiter n'avoir jamais eu cette idée de fête, n'avoir jamais pensé à retrouver les gens que Marty avait connu dans sa jeunesse. L'ignorance est parfois une bénédiction.

Bénis soient ceux qui ignorent l'existence de William Katz.