"Ca ne te regarde pas !"

En général il vaut mieux ne pas écouter la bonne "jugeote" de ces harpies, ni d'ailleurs tous ces biens-intentionnés qui ne vous veulent que du bien...C'est ce que va apprendre sur son destin et malgré elle la plantureuse Valérie Burnett; après avoir pris son bain et entre autre parmi les pages de ce pulp précoce des familles.

Il n'y a pas de quoi se plaindre, on a vu pire surtout qu'il y a dedans des conduites intérieures convenablement conduites, de l'argent facile et de la classe, des Smith & Wesson .44, avec aussi une préférence au rien plutôt qu'au médiocre qui fera ensuite la différence. Plus tard. J'ai assez bien aimé ça se laisse lire, en fait on croirait voir un de ces polars vintage qui sont tellement tendance aujourd'hui au cinéma. Pas si fréquent.

Résumé

Je chante, tu chantes, il chante, nous chantons tous, tout le monde chante, et pour autant que je sache il est préférable de le faire en harmonie ! Et de gaieté de choeur. Même si ça n'est pas le cantique des cantiques que l'on fredonne, mais c'est le De Profondis. Tout ça parceque Miami est un patelin ou on ne peut pas assassiner tranquillement un copain sans qu'aussitôt un pauvre condé vous demande de vous aligner...

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  Chantons en chœur! [Texte imprimé] James Hadley Chase traduit de l'anglais par André Bellac

  de Chase, James Hadley Bellac, André (Traducteur)
  Gallimard / Carré noir.
  ISBN : 9782070431441 ; 3,80 € ; 26/09/1973 ; 249 p. ; Poche

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