Si tu passes la rivière de Geneviève Damas
Si tu passes la rivière de Geneviève Damas
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
Critiqué par Ddh, le 31 janvier 2012
(Mouscron, Inscrit le 16 octobre 2005, 83 ans)
Critiqué par Ddh, le 31 janvier 2012
(Mouscron, Inscrit le 16 octobre 2005, 83 ans)
La note : 
Moyenne des notes :
(basée sur 11 avis)
Cote pondérée : (41 951ème position).
Visites : 9 394
Moyenne des notes :
(basée sur 11 avis)
Cote pondérée :
(41 951ème position).
Visites : 9 394
Une découverte
La rivière forme la limite de la propriété. Si tu passes la rivière, François, … C’est la raclée, voire pire.
Sa licence en droit en poche, Geneviève Damas se lance dans le théâtre. De comédienne, elle passe à la mise en scène, puis adapte pour le théâtre un roman de Sylvie Germain avant d’écrire Méli à vélo qui est couronné Prix du Théâtre – Meilleur Auteur 2004. Si tu passes la rivière est son premier roman. Coup de maître, puisque cette œuvre reçoit le Prix Rossel et est présélectionné pour le Prix Première RTBF radio et pour le 25e Festival du 1er roman de Chambéry.
François, un peu simplet, vit à la ferme familiale mais sans la chaleur que l’on pourrait y ressentir. Un père tyrannique, deux frères aînés qui le dépassent non seulement en hauteur ; et des absents dont on ne peut parler : sa sœur Maryse qui l’aimait bien mais qui s’est enfuie, son frère Jean-Paul décédé accidentellement, sa mère qu’il n’a jamais connue.
François, ado attardé, s’accroche à ce qui l’entoure et crée un univers où il veut se construire. Son confident ? Oscar, un porc et ensuite Hyménée, une truie ; faut ajouter qu’il est bouseux chargé de la porcherie. Un ami ? Le curé Roger qui, lui aussi, connaît la souffrance. Il y a aussi, au gré des rencontres Lucie, Marcel, Maryse qui petit à petit l’éclaireront sur les non-dits tabous qui l’entourent.
Une prouesse qu’a réalisée Geneviève Damas. Le lecteur découvre François, le narrateur qui réagit avec les mots, les sensations d’un jeune retardé mental. Cela donne une empathie, une humanité, une compassion qui retourne l’âme de tout un chacun.
L’auteur maintient la tension dramatique en ne révélant que par bribe la réponse à toutes les questions que se pose François.
Connectez vous pour ajouter ce livre dans une liste ou dans votre biblio.
Envoyer à un(e) ami(e)
Version imprimable
Les éditions
-
Si tu passes la riviere
de Damas, Geneviève
Luce Wilquin
ISBN : 9782882534248 ; 13,00 € ; 08/09/2011 ; 128 p. ; Broché
»Enregistrez-vous pour ajouter une édition
Les livres liés
Pas de série ou de livres liés. Enregistrez-vous pour créer ou modifier une série
Les critiques éclairs (10)
» Enregistrez-vous pour publier une critique éclair!
Passez, passez toutes les rivières de vos vies...
Critique de Bafie (, Inscrite le 19 juillet 2004, 62 ans) - 23 juin 2013
« Si tu passes la rivière », premier roman de Geneviève Damas, est un trésor pour ses lecteurs.
Les mots sont difficiles à trouver pour parler de cet ouvrage sans déflorer le récit dont je souhaite vous laisser la découverte.
C’est d’abord une ode à la différence, François, puîné d’une famille de 5 enfants se sent différent, il est apeuré, craintif. Cependant, au fil du récit dont il est narrateur, il s’affranchit de ses liens et vit de plus en plus sa différence comme une richesse.
C’est aussi une saga familiale : dans une famille taiseuse, taciturne qui cache un lourd secret dont François va dénouer les fils.
J’y vois aussi personnellement une incitation à vivre : on a tous une rivière à passer et ce roman, poétique et touchant, nous y invite joyeusement
Les mots sont difficiles à trouver pour parler de cet ouvrage sans déflorer le récit dont je souhaite vous laisser la découverte.
C’est d’abord une ode à la différence, François, puîné d’une famille de 5 enfants se sent différent, il est apeuré, craintif. Cependant, au fil du récit dont il est narrateur, il s’affranchit de ses liens et vit de plus en plus sa différence comme une richesse.
C’est aussi une saga familiale : dans une famille taiseuse, taciturne qui cache un lourd secret dont François va dénouer les fils.
J’y vois aussi personnellement une incitation à vivre : on a tous une rivière à passer et ce roman, poétique et touchant, nous y invite joyeusement
Conseil : Passez la rivière
Critique de Fanny (, Inscrite le 30 novembre 2012, 28 ans) - 30 novembre 2012
Ce roman n'est pas mauvais, malgré cela il ne m'a pas beaucoup inspirée. Je l'ai apprécié, néanmoins quelques critiques sont à retenir. Tout d'abord, le style d'écriture que l'auteur a employé pourrait représenter une petite difficulté car le langage vient d'un patois. Certains extraits sont un peu longs et alourdissent le texte. De plus, l'écrivain n'a pas su entretenir le suspense lié à l'intrigue. Elle insiste beaucoup sur le sujet principal de l'histoire et y fait allusion dès le début de son récit. On devine rapidement la fin du roman. Le titre par contre illustre bien l'histoire mais donne encore un indice sur la fin de cet ouvrage.
La critique
Critique de Triple M (, Inscrit le 30 novembre 2012, 28 ans) - 30 novembre 2012
Le roman en général ne m'a pas paru si mauvais. L'originalité de son genre ne concordait pas avec le titre. La concentration était primordiale à la compréhension des phrases qui elles-mêmes manquaient de clarté. Le prolixe et la description dans l'incipit m'ont paru inutiles. Mais finalement, je n'ai pu en retirer que des éléments positifs. La présence de belles phrases et d'humour m'a plu. On ne découvre les personnages qu'en avançant dans l'histoire, d'où l'impression d'incarner le héros. En conclusion, la fin ne décevant pas apporte une morale instructive.
Ni l'un ni l'autre
Critique de Ibo2012 (, Inscrit le 30 novembre 2012, 27 ans) - 30 novembre 2012
Je n'ai pas beaucoup apprécié ce roman car l'intrigue n'était pas très intéressante. La fin, surtout, m'a déçu énormément. Je m'attendais à plus de ce livre avec un incipit aussi accrocheur.
Par ailleurs, le suspense du début s'est estompé par la suite, la lecture paraissait alors encore plus ennuyeuse.
Par contre , le personnage principal était assez bien décrit ainsi que les relations qu'il entretenait avec sa famille. Cela m'a permis de plonger plus rapidement dans l'histoire. Je me suis alors senti un peu à la place du héros.
Par ailleurs, le suspense du début s'est estompé par la suite, la lecture paraissait alors encore plus ennuyeuse.
Par contre , le personnage principal était assez bien décrit ainsi que les relations qu'il entretenait avec sa famille. Cela m'a permis de plonger plus rapidement dans l'histoire. Je me suis alors senti un peu à la place du héros.
Critique de "Si tu passes la rivière"
Critique de Erion007 (, Inscrit le 30 novembre 2012, 29 ans) - 30 novembre 2012
Je n'ai pas trop aimé ce livre car le manque d'humour ne donne pas envie de continuer à lire. Je pense que la présence d'un peu de plaisanterie est importante pour rendre l'histoire intéressante. En outre l'absence d'action, d'intrigue et de retournement de situation rend le roman ennuyant.
La narration est trop présente et très peu de dialogues l'enrichissent. La supériorité de la narration ne donne pas trop envie de continuer à lire.
L'absence de séparation en chapitres rend l'histoire encore plus rebutante.
En conclusion, il ne faut pas acheter ce livre.
La narration est trop présente et très peu de dialogues l'enrichissent. La supériorité de la narration ne donne pas trop envie de continuer à lire.
L'absence de séparation en chapitres rend l'histoire encore plus rebutante.
En conclusion, il ne faut pas acheter ce livre.
Si tu passes la rivière
Critique de Ardado (, Inscrite le 30 novembre 2012, 29 ans) - 30 novembre 2012
Le titre de ce roman est très intriguant: il a favorisé mon entrée en lecture. Je me demandais ce qui pouvait bien se cacher derrière cette rivière. La première de couverture est très bien choisie. Ce récit m'a paru extrêmement long mais si le vocabulaire utilisé provient d'un registre de langue courante.
à première vue, la couverture donnait une image passionnante sur le contenu de l'histoire.
Les personnages étaient bien choisis, chacun vivait dans son monde et jouait un rôle spécifique.
Par contre, cette oeuvre littéraire manquait de rebondissements, de suspense et plus principalement de bonheur et de gaieté.
La division du roman en plusieurs chapitres aurait pu favoriser la lecture. Si je n'ai pas apprécié l'ouvrage, c'est entre autres à cause des phrases trop longues. L'auteur développe en plusieurs pages ce qu'il pourrait exprimer en une seule. Seuls le chagrin et la tristesse régnaient dans l'histoire.
à première vue, la couverture donnait une image passionnante sur le contenu de l'histoire.
Les personnages étaient bien choisis, chacun vivait dans son monde et jouait un rôle spécifique.
Par contre, cette oeuvre littéraire manquait de rebondissements, de suspense et plus principalement de bonheur et de gaieté.
La division du roman en plusieurs chapitres aurait pu favoriser la lecture. Si je n'ai pas apprécié l'ouvrage, c'est entre autres à cause des phrases trop longues. L'auteur développe en plusieurs pages ce qu'il pourrait exprimer en une seule. Seuls le chagrin et la tristesse régnaient dans l'histoire.
Un livre incomplet
Critique de Knyy (, Inscrit le 30 novembre 2012, 30 ans) - 30 novembre 2012
Le plus décevant dans "Si tu passes la rivière" est que l'histoire que l'on s'imagine avant de lire le livre s'avère ne pas correspondre à l'histoire.
En lisant la 4ème de couverture, j'ai tout de suite eu envie d'entamer ce roman. Mon idée était que le personnage principal allait décider de passer la rivière. Mais plus on avance, plus on se rend compte du peu de chance qu'il la passe un jour.
On lit donc le récit de la vie banale d'un jeune fermier seul et triste. Il faut attendre les trois quarts de la narration avant qu'elle ait un but (quête) qui sera résolu une vingtaine de pages plus tard.
Pour finir je pense que l'auteur aurait dû continuer l'écrit ou éventuellement écrire un deuxième ouvrage qui serait la suite.
Je considère donc ce livre comme une introduction.
En lisant la 4ème de couverture, j'ai tout de suite eu envie d'entamer ce roman. Mon idée était que le personnage principal allait décider de passer la rivière. Mais plus on avance, plus on se rend compte du peu de chance qu'il la passe un jour.
On lit donc le récit de la vie banale d'un jeune fermier seul et triste. Il faut attendre les trois quarts de la narration avant qu'elle ait un but (quête) qui sera résolu une vingtaine de pages plus tard.
Pour finir je pense que l'auteur aurait dû continuer l'écrit ou éventuellement écrire un deuxième ouvrage qui serait la suite.
Je considère donc ce livre comme une introduction.
Si tu passes la rivière
Critique de Narek madrid (, Inscrit le 25 novembre 2011, 29 ans) - 30 novembre 2012
Le livre est très intéressant car l'auteur nous plonge dans un univers assez fermé et mystérieux. En effet, le héros cherche des réponses à toutes les questions qui peuvent éclaircir son passé. Les personnages sont très vite caractérisés par le romancier qui met l'accent davantage sur les qualités que sur les défauts. A chaque part de découverte de son histoire, d'autres zones d'ombre apparaissent. Cela nous tient en haleine au fil de l'oeuvre. La plupart de temps, le récit se déroule dans un seul village. Le nombre d'individus reste raisonnable, rendant le roman compréhensible et plutôt accrocheur.
"Si tu passes la rivière" m'a paru fort pourvu d'éléments à rebondissements. L'intrigue est captivante et surtout imprévisible avec beaucoup de retournements de situation. Le personnage principal dégage beaucoup d'émotions, donnant l'impression de se trouver avec lui. Le texte est original. Il n'est en effet pas commun de rencontrer ce jeune homme qui se confie à ses cochons. il est atypique et attachant. L'humour est présent et confère à la narration une certaine légèreté.
"Si tu passes la rivière" m'a paru fort pourvu d'éléments à rebondissements. L'intrigue est captivante et surtout imprévisible avec beaucoup de retournements de situation. Le personnage principal dégage beaucoup d'émotions, donnant l'impression de se trouver avec lui. Le texte est original. Il n'est en effet pas commun de rencontrer ce jeune homme qui se confie à ses cochons. il est atypique et attachant. L'humour est présent et confère à la narration une certaine légèreté.
Voici ma critique , qu'en pensez-vous ?
Critique de Keiishaa (, Inscrite le 30 novembre 2012, 29 ans) - 30 novembre 2012
J'estime que l'intrigue ne présente aucun intérêt . Le début du récit donne pourtant l'envie de lire. Cependant , au fur et à mesure que les pages défilent , on se détache de la narration et on sent l'ennui s'installer . De plus , la longueur de la majorité des phrases atteint trois à quatre lignes. Je constate donc trop de lenteur et une envie moindre de poursuivre la lecture . On ne remarque aucun suspense . Tout est décrit , par conséquent , nulle création d'univers ne peut se faire. Je découvre aussi un manque de rebondissements et de retournements de situation .
Mon jugement premier
Critique de Nicoprox (, Inscrit le 30 novembre 2012, 12 ans) - 30 novembre 2012
Le livre ne m'a pas du tout plu.
le roman ne comprend aucun rebondissement avant les quinze dernières pages.
Un retournement de situation s'opère à la fin mais nous en ignorons l'aboutissement.
Selon moi, le livre débute lorsque le héros se décide enfin à transgresser les interdictions de son père.
Le roman devrait être prolongé.
Le thème du récit est banal: un jeune homme cherche l'identité de sa maman par divers moyens.
je suis très déçu car cette lecture était pénible et sans aucun intérêt.
Nous attendons la suite...
le roman ne comprend aucun rebondissement avant les quinze dernières pages.
Un retournement de situation s'opère à la fin mais nous en ignorons l'aboutissement.
Selon moi, le livre débute lorsque le héros se décide enfin à transgresser les interdictions de son père.
Le roman devrait être prolongé.
Le thème du récit est banal: un jeune homme cherche l'identité de sa maman par divers moyens.
je suis très déçu car cette lecture était pénible et sans aucun intérêt.
Nous attendons la suite...
Forums: Si tu passes la rivière
Il n'y a pas encore de discussion autour de "Si tu passes la rivière".
haut de page