Cinquième chronique du règne de Nicolas Ier de Patrick Rambaud
Catégorie(s) : Sciences humaines et exactes => Economie, politique, sociologie et actualités
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Un peu de croustillant pour la masse des pôv' cons...en attendant!
Dans sa cinquième chronique et, ainsi qu'il l'écrit en dernière ligne "A suivre une dernière fois, espérons-le.", Rambaud nous conte une nouvelle fois le croustillant mais déplorable feuilleton du Hamster Ravi et d'une clique qui a pris la France pour une dinde et sa population pour une courge!
Si pour les habitués des récits du P'tit Nico Sautillant il n'y a plus guère de surprises à attendre quant à la forme, au fil de la narration on ne peut qu'essayer de profiter au mieux de ce dérivatif humoristique sur l'insurpassable, ubuesque, guignolesque et ridicule bande de la Crétinerie Avancée au pouvoir... et...
pouvoir écrire une suite à l'Histoire avec les mots de Rambaud:
"Incommensurable Seigneur, voyez avec clarté les choses comme elles sont, jusqu'à quels excès, quels malheurs, quels périls vous ont poussé votre penchant naturel, la satisfaction de vous-même.Gémissez-en utilement, courageusement, et sauvez votre Etat en embrassant, par une pénitence également juste, le remède unique à tant de calamités présentes et à venir: dégagez, Sire."
Les éditions
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Cinquième chronique du règne de Nicolas Ier [Texte imprimé] Patrick Rambaud,...
de Rambaud, Patrick
B. Grasset
ISBN : 9782246794707 ; 14,50 € ; 04/01/2012 ; 200 p. ; Broché
Les livres liés
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- Troisième chronique du règne de Nicolas Ier
- Quatrième chronique du règne de Nicolas 1er
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Les critiques éclairs (1)
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Période été 2020 – été 2011
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 26 mars 2013
Ca s’ouvre avec ce qui restera pour la postérité – postérité ! – le « discours de Grenoble » et ça se terminera avec les soubresauts post-Fukushima et l’affaire dite du « Sofitel ». Y’a pas, nous vivons une époque formidable !
Il y aura eu tout de même ce qu’on a appelé les « printemps arabes » et notamment tunisien avec les errements du gouvernement français dans les premières semaines de la crise :
« Une fois encore, si elle n’avait pas ouvert la bouche, la duchesse de Saint-Jean-de-Luz s’en sortait indemne, mais elle crut bon de s’exprimer dans l’hémicycle devant les représentants. Pardonnez cette audacieuse comparaison, mais ce jour-là, cette ministre au mutisme proverbial qui lui valait une surprenante longévité, ressembla au Porthos de M. Alexandre Dumas ; à la fin du « Vicomte de Bragelonne », ce gigantesque mousquetaire courait dans un souterrain miné, quand, brusquement, il s’arrêta net : « Pourquoi est-ce que je mets un pied devant l’autre pour courir ? » se demanda-t-il. Cette pensée le tua puisque la montagne s’écroula sur son dos. Ainsi, le premier jour où il se mit à réfléchir, Porthos en mourut. De même, la première fois que la duchesse d’Alliot-Marie émit une décision personnelle, elle tomba grillée comme un bouquet de gambas. Elle avait dit fermement, avec sa conviction rageuse, alors même que la révolution s’affermissait, une semaine avant la fuite des dictateurs : « Pour régler une situation sécuritaire de ce type, offrons le savoir-faire de nos forces de sécurité en matière de techniques du maintien de l’ordre. » »
Et bien d’autres choses, tant d’autres … la Libye, la Cote d’Ivoire, Gbagbo et Ouattara … On en oublie, c’est incroyable !
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