La confession de John Grisham
La confession de John Grisham
(The confession)
(The confession)
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
Critiqué par Tanneguy, le 26 septembre 2011
(Paris, Inscrit le 21 septembre 2006, 85 ans)
Critiqué par Tanneguy, le 26 septembre 2011
(Paris, Inscrit le 21 septembre 2006, 85 ans)
La note :
Moyenne des notes : (basée sur 3 avis)
Cote pondérée : (56 533ème position).
Visites : 4 384
Moyenne des notes : (basée sur 3 avis)
Cote pondérée : (56 533ème position).
Visites : 4 384
Toujours pareil, sans surprises...
Cette fois J. Grisham se révèle un ardent défenseur de l'abolition de la peine de mort aux USA, au Texas en particulier. Son récit est vif, bien mené, ses personnages caricaturaux : les Bons et les Méchants, les Noirs et les Blancs. Pas mal d'incohérences ou d'approximations, mais le lecteur se laisse faire.
On réservera ce long récit à une nuit d'insomnie ou un long voyage.
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Les éditions
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La confession [Texte imprimé], roman John Grisham traduit de l'anglais (États-Unis) par Johan-Frédérik Hel Guedj
de Grisham, John Hel-Guedj, Johan-Frédérik (Traducteur)
R. Laffont / Best-sellers (Paris)
ISBN : 9782221125489 ; 2,42 € ; 12/05/2011 ; 492 p. ; Broché
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Les critiques éclairs (2)
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Un modeste Grisham
Critique de Usdyc (Bruxelles, Inscrit le 27 août 2004, 68 ans) - 8 octobre 2012
Je trouve la critique de Chrisland un peu trop sévère même si sur le fond, je suis d'accord avec lui. En effet, on est à nouveau avec le problème récurrent de la peine de mort, à nouveau avec d'un côté les noirs et de l'autre les blancs.
Au fur et à mesure de la lecture du livre, on se retrouve (pour ceux qui ont déjà lu des Grisham)avec une impression dérangeante d'avoir déjà lu le livre tellement on est proche de son livre "le couloir de la mort".
Je ne trouve pas les personnages trop stéréotypés, du moins pas plus que dans les livres de beaucoup d'autres auteurs connus (MH Clark, P. Cornwell...).
Il est vrai aussi qu'une fois l'histoire éventée, on se retrouve avec une fin tirée en longueur.
Cela reste malgré tout un roman plaisant qui se laisse lire jusqu'au bout.
Au fur et à mesure de la lecture du livre, on se retrouve (pour ceux qui ont déjà lu des Grisham)avec une impression dérangeante d'avoir déjà lu le livre tellement on est proche de son livre "le couloir de la mort".
Je ne trouve pas les personnages trop stéréotypés, du moins pas plus que dans les livres de beaucoup d'autres auteurs connus (MH Clark, P. Cornwell...).
Il est vrai aussi qu'une fois l'histoire éventée, on se retrouve avec une fin tirée en longueur.
Cela reste malgré tout un roman plaisant qui se laisse lire jusqu'au bout.
Le Grisham de trop ?
Critique de Chrisland (, Inscrit le 27 septembre 2011, 64 ans) - 21 octobre 2011
Depuis quelques années, il est manifeste que Grisham a du mal à se renouveler. Après avoir épuisé à peu près tous les grands thèmes des conflits juridiques aux USA (tabac, produits toxiques,...), abordé à maintes reprises les sujets "brûlants" (mais plus tant que ça) comme les class action, le racisme, le voilà revenir vers un sujet qui paraitra un peu dépassé en Europe, mais qui a le bonheur de redevenir d'actualité aux States : la peine de mort.
Le problème est qu'il le fait en oubliant les outils de précision et le pinceau, au détriment de la bétonneuse et de la truelle. Les personnages principaux sont tous (je dis bien tous !) des archétypes poussés à l'extrême, jusqu'à en être ridicules. Ce qui ne serait pas une catastrophe en soi, si l'auteur n'avait oublié en chemin ce qui faisait la qualité de ses oeuvres passées, l'essentiel : une intrigue ! Pas d'histoire, un suspense totalement éventé : on s'ennuie ferme et on se prend à lire les pages en diagonale... non pour connaître la fin, mais pour ne pas perdre de temps inutile !
John Grisham a prouvé par le passé qu'il pouvait être un auteur formidable hors du thriller juridique ("La dernière récolte"). Il aurait tout intérêt à trouver dorénavant ses sources d'inspiration plus souvent hors des prétoires.
Le problème est qu'il le fait en oubliant les outils de précision et le pinceau, au détriment de la bétonneuse et de la truelle. Les personnages principaux sont tous (je dis bien tous !) des archétypes poussés à l'extrême, jusqu'à en être ridicules. Ce qui ne serait pas une catastrophe en soi, si l'auteur n'avait oublié en chemin ce qui faisait la qualité de ses oeuvres passées, l'essentiel : une intrigue ! Pas d'histoire, un suspense totalement éventé : on s'ennuie ferme et on se prend à lire les pages en diagonale... non pour connaître la fin, mais pour ne pas perdre de temps inutile !
John Grisham a prouvé par le passé qu'il pouvait être un auteur formidable hors du thriller juridique ("La dernière récolte"). Il aurait tout intérêt à trouver dorénavant ses sources d'inspiration plus souvent hors des prétoires.
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