Le fantôme de Lady Margaret de Mary Higgins Clark
( The Anastasia syndrome and other stories)
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
Moyenne des notes :
(basée sur 3 avis)
Cote pondérée :
(50 523ème position).
Visites : 7 595 (depuis Novembre 2007)
Récit de petites nouvelles
Cinq petites nouvelles absolument étonnantes sont regroupées dans "Le fantôme de Lady Margaret", dont c'est le titre de la première nouvelle. Pour ne parler que d'elle, c'est une nouvelle plutôt étonnante où le surnaturel et l'extraordinaire ont une place importante. Difficile d'y croire malgré le récit qui nous enveloppe dans une ambiance pour la moins fascinante. Mélange de réel, extraordinaire sur fond d'histoire... De quoi ravir les amateurs du genre... Moi, j'ai été quelque peu déçue par cet aspect peu crédible qui ne me fait plus penser aux bonnes enquêtes policières des précédents Mary Higgins Clark... Cependant, les autres nouvelles : "Terreur sur la campus, Un jour de chance, L'une pour l'autre, L'ange perdue" se lisent avec grand plaisir pour leur diversité... D'ailleurs je ne vous en dis pas plus pour conserver ce suspense dont MHC est la reine.
Un petit extrait du fantôme de Lady Margaret :
"Ce qui aurait amené votre cerveau à un blocage. Judith, vous venez probablement de découvrir quelque chose de significatif. Le nom que vous cherchiez à prononcer est peut-être Parrish et non Marrish, ou un nom similaire à Parrish. Vous vous êtes sentie frustrée de ne pas trouver l'information que vous recherchiez. Je vous en prie, n'en restez pas là. Notez tout ce qui est inhabituel, un flash-back, un trou de mémoire, un nom ou une pensée subits et d'apparence incongrue. L'esprit a une façon particulière de transmettre des indices..."
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Les éditions
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Le Fantôme de Lady Margaret [Texte imprimé] Mary Higgins Clark trad. de l'anglais par Anne Damour
de Clark, Mary Higgins Damour, Anne (Traducteur)
Albin Michel / Spécial suspense (Paris).
ISBN : 9782226048417 ; 16,00 € ; 11/09/1990 ; 305 p. ; Broché
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Les critiques éclairs (2)
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Un peu déçue par la fin
Critique de Ptitratdebiblio (, Inscrite le 2 août 2018, 35 ans) - 3 août 2018
Le lien entre des faits passés et l'existence présente de l'héroïne se tisse tout au fil de la nouvelle.
Mais on ne peut comprendre comment ils s'imbriquent qu'une fois arrivé à la fin.
J'ai cependant eu une sensation de manque arrivée à la dernière page.
Il me fallait une suite, ce ne pouvait pas se finir de cette manière.
C'est cette absence que je déplore.
Sûrement un sentiment dû au fait inhabituel de ce type de dénouement chez Mary Higgins Clark.
Ou peut-être à la rapidité de lecture vu le format de l'écrit, en comparaison de ses romans.
Un Higgins Clark qui finit mal !
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 67 ans) - 3 novembre 2006
Alors lisez ce « fantôme de Lady Margaret ». Bon, bien sûr, vous ne serez pas surpris que l’héroïne soit ni plus ni moins que la presqu’épouse du futur Premier Ministre anglais ! C’est Mary Higgins Clark quand même. Mais la trame sort du Higgins Clark basique.
C’est qu’ici réel et surnaturel sont étroitement mêlés, à tel point que …
Et puis ! Pas de Happy end. Non, vraiment pas ! Et c’est que Mary Higgins ne nous y avait pas habitué !
Judith Chase est une écrivaine américaine, d’origine anglaise puisque devenue orpheline pendant la dernière guerre et dont on a toujours ignoré la véritable identité. Elle est venue pour plusieurs mois vivre à Londres pour écrire un roman historique sur l’époque de Cromwell et ce séjour bouleverse sa vie puisqu’outre certaines hallucinations qu’elle ressent en liaison avec l’époque qu’elle relate, elle a fait connaissance, et plus puisqu’affinités, avec celui qui va devenir Premier Ministre. On la suit pas à pas dans les jours qui précèdent l’avènement de son futur mari au poste de Premier Ministre et dans ses hallucinations qui deviennent de plus en plus prégnantes. Et c’est que la période de Cromwell n’était pas particulièrement tendre !
La suite Je vous laisse la lire. C’est un agréable passe-temps. Et ça change des inusables Happy-ends de la dame Clark.
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